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Alchimie de WiLieLmus où s'ingénie Baron-de-Synclair, ethno-anthropo-astrologue amateur et chercheur émérite en astrologie occidentale, et chinoise (les plus évidentes), voire d'autres civilisations où l'Astro-logis héberge l'AVis AVide du LaVis de La Vie, et deVeNeZ vous aussi As trop logique à l'ENVi, au Quart livré de Huitièmes de Tour(s) quand Sat(o)urne fort sans même Ha-biter en Tour-aiNe ou Lyre les idéaux-grammes intrusifs d'un
cis-elé OS-tra-cisant l'An-Ky-L'ose tis-an-ière...


C'est au V-Air sCeau essence-ciel de l'hi-Ver que l'é-troi-t de la ma-Tière fait mine Un.


Qui vient se fourvoyer sur ce blog intranquille accepte iPSo facto de se bous-culer les neurones !

Finies de bonne heure les certitudes débonnaires au bonheur illusoire... de celui qui voudrait construire une pyramide à partir du sommet !
C'est qu'en venant ici par-courir un retour aux fondamentaux sans clichés on ne doit plus chercher la vérité d'une doxa conforme à ses propres œillères...
Felix qui potuit rerum cognoscere causas ? Et bon cour-age...


Mes biens chers lecteurs,


Par les flammes de la GéheNne et jusqu'au feu de Saint-Elme, bienvenue à bord de ce blog très perturbant d'aubaines et d'aubades de légendes urbaines et rurales qui vous feront naviguer sur l'astrologie avec n'ombre de ses externalités acces-soir-es, et ceci d'une façon inédite, plus étendue, originale à capter et surtout introuvable par ailleurs, à en étioler les étoiles.
Pour plus de compréhension sur les sujets abordés, voire simplement évoqués ou élu-dés et sou-vent pas fac-iles, des liens idoines seront cliquables à disposition (en coloré ocre dans le texte) délivrant informations ou documentations sur des mots ou expressions, lesquels pourront en outre faire aussi l'objet de développements ultérieurs progressivement sur toutes les pages de ce blog.
Ainsi déjà un texte difficile à appréhender comme le paragraphe en échantillon assez mouvementé et perturbant d'exergue-sise de voltige aérienne comme le tiqué d'entrée qui suit peut devenir plus accès-cible avec des liens :

Car ici et au pausé dia-pa-son des mercuriales il vous faudra ad-mettre une prose pleine de tuyaux percés qui vous apparait tronc comme écorcé de pièges tronqués de la branche Connais-sance écorchée de l'Action en longe ronde extensible de concept synergique au CAs par K du C poussif misant Longeron(s) de feu naître aux égos pour qui L'ose egg 0 initial de fil au logis.
Certes tènement de l'appât trié sur le volet adéquat que l'i corne pour-vu qu'on ait l'ivre S dé-contra(s)Tée singeant un lyr-isme as-cète de cir-cons-tance, plus parfi de fluidité et inclusivité en finesse que par dépit de fitness trop flippoussé d'éLu-cub-rations indeXées à jouer de concert un allegro du Concret par l'Abstrait en dormance et récit-pro de moult symétries.
Cet étroit point de vue pousse un peu (*) au-delà des appâts rances que naguère shuntait, comme 2 au pouce et 3 à l'index kiffa l'ange pour le K d'L.N. rayonnante à l(y)re plus l'oint : et in arc-a-dia bingO.
Qu'a fait de nu au kiffé l'appui ou le bottant des temps pliés jadis, quand tel dédale ap-pointé d'un doigt inNo-cent Ose aNo-maL-ies ou bien p-ara-doxes, et qui des forMes refonDe carré-ment un piètre Monde riant de zèLe en ce bel et faux rond zodiacal rotacé ?
(Full-CA-nell'i, terribilis LN 2-3 ou en-corps carré-ment SyrACuse ?)
- "INDOCTI DISCANT ET AMENT MEMINISSE PERITI" -
Feint de dé-lyre. Et de colis piégés de partout ?
N.B. : Fluidité, Intrusivité et Inclusivité à ne pas Négliger, option à percuter : potion Adaptabilité des connexions en chemins de traverse !

Ce blog assez récent n'est pas encore complètement étoffé en substance mais il fait et fera surtout référence à l'astrologie médiévale, la plus authentique et complète qui nous soit parvenue.
A cet effet, blottie à l'Est des Pyrénées se situe une discrète petite abbaye du début du XI° siècle dont l'architecture hume les ferments ouvrant l'occulte collusion entre l'astrologie occidentale et le christianisme : Saint-Genis-des-Fontaines, où officiait au début du XI°s un prieur nommé WiLieLmVs.

Il se trouve là tout un protocole offrant un condensé dont N'ombre d'élé-ments seront développés ou extrapolés dans les siècles qui auront suivi, mais c'est aussi que le Pape de l'An Mil (un français, et auvergnat), leur initiateur, était astrologue médiéval, alchimiste, et mathématicien.

Guido d'Arezzo fut un de leur contemporain. Il est parfois l'idée de relater l'An Mil comme étant une première Renaissance, comparativement à celle officielle bien connue qui apparaîtra V siècles plus tard.

Ceci donc à l'aube d'un nouveau millénaire qui verra poindre sous peu le potage potache de la réforme grégorienne, ainsi que le Grand schisme d'Orient (les deux parfois considérés comme très liés), en fait dès la seconde moitié du XI°s, outre le mouvement débutant du Catharisme. Suivra au début du XII°s. la création de l'Ordre des Templiers.

Mais cet ensemble constitué peu à peu à Saint-Genis est entièrement imprégné de toutes ces structures astrologiques célébrant une forme de connaissance acquise aux aspects documentés de rouages répertoriés et supposés fondements de la Création. Lesquelles structures auront permis d'affiner, de renforcer en bien-fondé le formatage des codes ecclésiatico-dynastiques médiévaux de l'occident judéo-chrétien post gréco-romain, destinés à une promulgation discrètement confinée entre gens d'élite afin d'asseoir une autorité de pouvoir tant spirituel que temporel. Une oligarchie initialement confondue (le clergé et la noblesse, le pape et l'empereur ?), et défiant toute concurrence par suffisance d'une certaine fluidité, car le modèle proposé - et politiquement à imposer - se devait d'être à la foi(s) sûr, blindé, entièrement cohérent, réaliste et donc réputé infaillible, en faisant appel à l'émotion et pour autant acceptable aussi pour la raison avec le fai-sceau établi de pertinences et de conjectures suggérées officiellement, tout en restant une grande nébuleuse pour la majorité de la population (ou les coulisses dantesques d'une divine comédie ?).

A tel point que cette petite abbaye présentant inclusivement des éléments issus d'une kabbale chrétienne d'origine foncièrement astrologique préconisés dès l'An Mil avec Gerbert d'Aurillac (redécouverts ensuite ou déballés au grand jour seulement au XV° siècle) offre globalement une lecture ornementale extrêmement concise et explicite par contenu intrinsèque de formes suggestives et autres figures contenantes très significatives.
A la faveur de tous ces éléments elle se trouve alors naturellement et nécessairement apte à servir de trame et d'excellent support à ce blog sans que tout lui soit réservé, en permettant de faire ressortir les perspectives codifiées refondées à l'époque sur des bases directrices à schémas astrologiques élargis, actualisés, puis exploités de différentes façons ensuite et pour certains encore étonnamment d'actualité.
Mention spéciale pour le linteau de Saint-Génis qui contient initialement un extraordinaire concentré de "technologie" astrale applicable culturellement.

Et c'est là qu'il faut savoir quitter l'aseptisé et l'édulcoré de la carrosserie d'une doxa ordinaire pour accéder aux plus bruts et plus fins vecteurs des fonda-mentaux organisationnels que ce lieu révèle et met à nus, repris tels quels par les Abbés Saunière, Gillard et Moreux :

Car viennent s'y greffer Rênes-LeXTao, Tréhorenteuc (*) (**), les Avenières, puis pêle-mêle Chambord, Vaux-le-Vicomte, Bourges, Chartres, Rocca di Angera, Palais Borromée, Shugborough Hall, Dampierre-sur-Boutonne, Villa Farnesina à Rome, et d'autres de même accabit voire même beaucoup plus contemporain, pour avoir repris ultérieurement ces préconisations ou directives dis-tri-buées vers l'An Mil et qui furent déjà traduites et à mises à disposition à Saint-Genis, à en constituer une forme d'intemporalité structurelle jusque dans les implications d'hier et d'aujourd'hui.
Ainsi en matière de peinture, sculpture, architecture, enluminure, les murmuration​s astrologiques ont d'intenses ramures dans l'art ou divers autres concepts de création comme la littérature.
A ce titre, l'inattendu participe de la découverte et la discipline astro se doit donc d'être toujours en éveil, rien n'est exhaustif d'autres lieux ou références ou intrigues à documenter le sujet dans une pertinente "Libido sciendi" et en toute sereine sérendipité où seul l'insipide rend dépité.

On ne s'étonnera donc pas de voir apparaître à la faveur de ce blog certaines notions qui à priori seulement n'ont rien à voir les unes avec les autres alors que fondamentalement si, preuves que l'œuvre de Wilielmus avait instauré un décor s'avérant encore bien vivant, et sans anachronismes. L'astrologie avec ses structures ancestrales voire remaniées médiévales est en effet intrusive de nombreuses disciplines.

Et c'est donc au cours du Quattrocento (XV° s.) que seront réinitialisés tous ces éléments mis en place vers l'An Mil, essentiellement au travers de l'art, il en sera largement question sur ce blog (très riches heures du duc de Berry, tapisseries de la dame à la licorne, peintres florentins...).

Car si l'art fut très souvent utilisé à des fins de protection et de dissimulation des informations ou des opinions, il est souvent inclusif de données astrologiques qui contribuent à cette cause, à s'y perdre en conjectures où seules des lectures ornementales viendraient étayer une crédibilité au point qu'anguille sous roche devienne baleine sous gravillon, surtout avec les schémas astrologiques codifiés dans l'art, ce qui arrive par-foi(s) plus sou-vent qu'on ne le panse (!)...
L'astrologie en effet est née de cette volonté humaine de traduire des phénomènes naturels en des événement prévisibles. Elle est bien plus que la recherche d'un simple processus identitaire individuel par le signe natal et l'ascendant (comme sociologiquement revendiqué actuellement) et fut la première discipline intellectuelle de l'humanité. Ceci tout simplement pour essayer de capter le mode de fonctionnement du monde et de s'y adapter, depuis la plus haute antiquité. Voire de la connecter au mythe de l'émergence primordiale de l'humanité remontant au paléolithique, entre abstraction et figuratif, intégrant signes ou représentations de la réalité effective ou souhaitable (cavernes et art pariétal), une recherche de plus en plus acéré dès lors que la période où la domestication de la flore et de la faune va commencer (dont sélection des graminées).

Elle constitue à ce titre une base sociétale ayant formaté de fait, d'images, de calculs et de logique assortis d'un bon sens primitif assumé d'expérience, les cohérences et structures pouvant être "exploitables" par l'esprit humain pour lui faciliter l'existence (soit les prémices d'une efficacité productive) dans ce qui était initialement une société agraire et pastorale de subsistance plutôt de type sédentaire après avoir dépassé le stade initial des "chasseurs-cueilleurs" nomades.

Cette recherche d'une maîtrise mentale de l'espace et du temps en fonction du présentiel ambiant initialisait activement la notion de septenaire (2 luminaires & 5 planètes) tout en aspirant de façon pragmatique à une meilleure connaissance évoluée de l'agriculture et s'opérait dans une démarche intello-spirituelle apte à engendrer une sédentarité définitive en harmonie avec les données naturelles observées. Aussi il fallait tenir compte culturellement de la réalité d'un phénomène lent mais primordial à appréhender parce que vital à la longue dans ce contexte puisque la référence (sidérale) de l'espace se décale irrémédiablement de la référence (tropique) du temps qui passe et qu'il fait : la précession des équinoxes. Ceci provoquait un véritable challenge pour l'humain à s'organiser de façon définitive car au néolithique on ne se contente plus de cueillir, on souhaite gérer les cas-denses des semis et les récoltes avec plus de Pérennité et de Sérénité (albae sunt iam ad messem).
Spica Virginis est l'étoile principale du signe de la Vierge et dont l'attribut est un épi de blé,
Noter que Spica Virginis commence par SP et finit par CA, avec un "i" au centre, avec aussi la forme des traits en V d'un épi (au principe de Kaprekar), cette forme de graal-minée non-innocente, certes que le mot EpI est graphologiquement important puique contentant le P du chrisme avec E & I (à retrouver plus bas), faut-il encore savoir apprécier tout le charme des conjectures antiques et médiévales, accordant à ce signe la plus grande dimension sur le zodiaque des constellations, autant que l'ancienne Hydre de Lerne pourrait être assimilable au Cancer.

Les travaux observationnels célestes alliés à la sélection effective des graminées initieront alors la production intellectuelle nécessaire à une pérennité des structures agraires d'où sortiront des normes empiriquement néo-scientifiques primitives basées sur les mouvements des astres dans un rapport à la fois à l'espace et au temps, ouvrant notamment le procédé technique d'un système sexagésimal basé fondamentalement sur les 360° d'un cercle en représentation de l'année solaire de 365 jours dont 5 dits épagomènes.

La civilisation égyptienne fut pointue dans l'antiquité sur le domaine de l'astrologie, le zodiaque de Dendérah en est un témoignage et reste une référence (image ci-dessus à gauche).

Dans ce contexte pertinent d'un rituel global de fertilité envisagé depuis la plus haute antiquité, c'est au travers de la relation différenciée Soleil-Lune bien observable et au Masculin-Féminin assimilable, érigée alORs en paradigme du Rebis, que l'humain pouvait donc se caler mentalement en s'accordant d'une réalité biologique imposée par sa propre sexualité au titre élémentaire du concept de création autant qu'à celui plus élaboré du mystère de la Création. Le tout appuyé en voile acté nocturne d'une représentativité sexuelle et génitale éther-haut que le BAS lance où le bât blesse de fécondité-prospérité quand la voûte céleste si inspirante et disponible à l'éter-n(u)ité s'entrouvrait cosignataire conciliante en dépositaire de schémas stellaires très explicites plus que tangen-tiels au cercle zodiacal et à connotation sexuelle évidente, le soleil telle une flamme éclairant la Terre et la Lune.

Toute la voûte visible depuis l'hémisphère nord (où se situent majoritairement les 2/3 des terres émergées du globe) baignait ainsi dans une atmosphère d'antique anticipation freudienne par tout ce que l'humain avait estimé sélectionner de formes opportunes dans un arbitraire (art-bi-traire ?) de circonstance parmi les étoiles les plus visibles regroupées d'astérismes en constellations pour fixer de facilité pragmatique ordonnée à valeur de schéma(s) directeurs, l'ensemble des mémorisations figuratives à sanctuariser d'intérêt comme pouvant servir pour la plu(s)-par-t de repères à son devenir tant individuel que collectif.

L'énergie créatrice trouvant son fondement dans la sexualité, on ne s'étonner'a pas de voir re-surgir celle-ci comme un leitmotiv de polarisation sous-jacente dans n'ombre de concepts artistiques.

Les premiers schémas de ce type et de principe de genre sont inscrits sur la coupole de la voûte céleste avec ses constellations de référence pour l'aventure humaine, car c'est dans la nuit des temps sans ennui que la nuit détend sans nuire, et l'inverse, ou quand à pareille mélodie du sens des astres se mêle une assumée paréidolie collective sans désastre, dans une implacable logique qui mène aRôme de bon sens à justifier des schémas concernés.
Sans doute que pour Ces arts il faut laisser la Clé au pâtre inspiré qui s'y ingénie de sa vision cé-leste ingénue et éclectique...
Les observations astrales patiemment répertoriées furent étoffées de récurrences successives et s'installèrent dans les mœurs des civilisations, elles en constituent les repères empiriques habituels avec des vecteurs établis et si bien intégrés qu'ils sont encore en "fonctionnement" aujourd'hui et certes font partie directement de notre environnement culturel, voire cultuel, y compris avec des excès. C'est toute la richesse d'un passé astrologique ancestral, aussi empirique que pragmatique, renseigné au gré des découvertes de plus en plus "scientifiques" qui se sont succédées en la matière et ayant donc nécessité quelques adaptations culturelles au fil des siècles.

Exemples parmi tant d'autres et surtout bien palpables : le cercle et ses 360° (référence aux 360 jours + 5 "autres" épagomènes), les noms des tropiques, les douze mois de l'année civile "arrangés" au solaire (28,(29),30,31 j) à partir des 12 lunaisons synodiques de 29,5 j = 354 j (isiaque) + 11 j d'intercalation, les noms des 7 jours de la semaine énumérant les 7 astres du septenaire ancien (étoile chaldéenne), les feux de navigation bâbord-tribord, tandis que la lune "gouverne" les marées (avec accessoirement le soleil), et combien d'autres codes à retrouver sur ce blog, spécialement dans tous les arts et jusque dans la littérature...
La discipline astro est protéiforme et sous-jacente dans toutes les civilisations, c'est ainsi qu'il faut la percevoir.

Image à gauche : l'analemme solaire (en forme de 8 sur un an) dans l'hémisphère nord, chaque jour à midi pour 365 points, ainsi une fiction (celle de la forme du 8) peut rejoindre une réalité dont elle devient l'expression, y compris de ses extrapolations audibles à exploitations envisageables. A propos du 8, le ScorPion est le 8° signe du zodiaque, au calembour : ce corps pion.

Image à droite : Clé de Sol, produite à partir d'une esperluette (?), elle-même provenant de l'analemme ?

L'astrologie relève-t-elle d'un réflexe (naturel) atavique (dé)tourné intello-culturel et qui aurait au fil des millénaires in-fil-tré la nature humaine ?

Il est certes possible de scinder la "discipline" astrologique en trois rubriques (avec indice perso de crédibilité) :
) prévisionnelle (amusante, crédibilité 24%), ) caractérologique (intéressante, crédibilité 51%), et ) structuraliste (passionnante, crédibilité 75%).
Pour les deux premières citées, ordinaires et habituelles de l'astrologie occidentale, il est un autre blog du même auteur : Astrologyves, astres aux lots givrés ? (en cours de mise à jour -ça se fait peu à peu-, mais disponible ), ou encore ce site professionnel bien installé et explicatif (ici en lien : Astrothème) au logo indiqué ci-dessous à gauche. Il contient de nombreuses prérogatives gratuites. Ne pas oublier de cliquer sur les différents astres proposés sur les cartes du ciel.

Il est très intéressant en astrologie "people", d'un bon niveau et relativement fiable pour qui s'intéresse à la question. Attention cependant les cartes y semblent désormais dressées systématiquement avec l'Ascendant à gauche et sans option Bélier à gauche comme avant sur ce site, et cela peut être gênant et déroutant pour certains. Lien : ASTROTHEME.

Remarquer ci-dessus à gauche les caprin, crabe et tortue, allusion à Capricorne et Cancer pour les deux premiers liés à l'axe nord-sud du zodiaque tropique, que l'on retrouve aussi sur la tortue chinoise Luo Shu de 1 à 9 (et d'écart maxi nord-sud exprimée en chiffres), il en sera question sur ce blog.

Quelques vidéos à propos de l'astrologie (partisans et détracteurs):
🎬(1), 🎬(1 bis) 🎬(2), 🎬(2 bis), 🎬(3), 🎬(3 bis), 🎬(4), 🎬(5),🎬(6), 🎬(7),

Autres documents : 🎁(1). Le système solaire en direct, c'est 🎁(2) ici sur simple clic, et la voûte céleste en direct c'est 🎁(3) ici.

"L'amour est la joie, accompagnée de l'idée d'une cause extérieure." (L'Ethique, Livre III de Baruch Spinoza)

Ci-contre à gauche la fameuse fable, mais le Corbeau (corps beau ?) est une constellation (proche de celle de la Vierge), le Renard (et l'Oie) aussi (Vulpecula), tardive (XVII°), quant au fromage il s'agit d'une ou plusieurs subtilités à propos de la précession.
Le but de ce blog est d'aller beaucoup plus l'oint en astrologie au-delà d'un zodiaque trop simpliste, voir l'avant-propos à suivre, ci-dessous. Si le zodiaque est un fromage (from-âge) en-voûté, ce blog propose d'aller au cœur de la Meule, tellement d'éléments étant inscrits sur la voûte céleste...

Cependant que nous vivons encore socialement, culturellement et anthropologiquement dans des structures foncièrement astrologiques, véritables servitudes de référence et de bon sens enfouies dans notre inconscient depuis des millénaires et orientés à l'occidentale depuis des siècles.

Autre blog du même auteur, et qui pourrait bien vous surprendre : https://salses-en-scene.blogspot.com/, et ce phrasé biblique à ériger en apophtegme astro-tao pour le présent blog :
Qu'il y ait deux luminaires dans l'espace des cieux, pour distinguer le jour et la nuit. Ils serviront de signes pour les périodes, les jours et les années.


Attention quand même ce blog est un APpareil ass-eZ Rock'N'Rôle de Vol-tige aérienne !

Mais ça d'a-cui-té vous aviez cru le deviner, autant que vous soupçonnez son auteur d'être un joueur de violon, mais rassurez-vous que n'ombre de chercheurs et auteurs en mal de trouvailles sur certains sujets viennent ici pour y pomper un peu de bon sens (et même plus) qui les aide-rait dans le labyrinthe à détailler le structuralisme ambiant à l'occidentale car c'est un faîte qu'il faut savoir harmoniser autant que connecter l'abstrait si-flottant avec le figuratif le plus élément-aire, voire le plus suggestif possible. Et méfiez vous de ce qui peut apparaître comme du surréalisme ne soit pas de l'hyperréalisme.

A ce propos il sera mis en place en fin de chaque paragraphe un encart spécial Rênes-LeXTao pour tous ces chercheurs de RLC en mal d'inspiration, de compréhension ou d'acceptation des structures sans œillères de leur sujet d'études favori et quelque peu engoncés dans leur(re)s pistachiers.
Ces derniers dont quelques plumitifs d'esbroufe (parfois de cosmétiques bouquins à 500 pages de contenus simplistes d'anecdotes locales) doivent Pouvoir Sortir de leur RLC étriqué façon "Urbi" vers une perspective "Orbi" plus vaste et moins fermée, Rênes-LeXTao n'étant sur ce blog qu'un acces-sit du sujet dans un contexte de connais-sances où la grande œuvre de Saunière (et si mal com-prise !?) peut pourtant s'inscrire bien éLé-gamment par N'ombre de ses implications.
Car RLC c'est devenu le bal des minables à lustrer une carrosserie avec des chiffons usés plutôt que de capter les clés à étudier le chassis et le moteur !

- Poux, CHoux, Bijoux,Genoux, JouJoux, Cailloux, Hiboux et PeCH BuGaRaCH en Urbi et Orbi, au septenaire ancien avec 2 luminaires et 5 planètes -
- Hélène et Constantin se fêtent le même jour, et c'est le 18/8.

"J'aime ce qui n'a pas de sens, ça réveille les cellules du cerveau. La fantaisie est un ingrédient nécessaire dans la vie." (Boris Vian) Clic 1
- Avant-propos :


- Ainsi donc il ne sera pas question sur ce blog de cantonner l'astrologie au simple cliché institutionnel et étriqué à 12 éléments assortis de rubriques stéréotypées basiques et affublées de prérogatives limitées au minimum habituel proposé par les sites astro et concernant le prévisionnel et la caractérologie, mais d'aller débusquer des archétypes aussi bien en "orbi" au-delà du fameux cercle à 12 signes avec diverses mythologies ou toutes autres Rê-percussions d'origine à percevoir concernant le zodiaque, autant qu'en "urbi" avec le creuset alchimique de cet intérieur du cercle, le tout étoffant une coupole céleste motivant les tenants et aboutissants qui ont créé ces structures (un mot cher à Claude Lévi-Strauss ). Tout ceci relaté sur la carte céleste hémisphère-nord (à disposition sur la page éponyme) quant à la recherche d'une mécanique à démystifier contenue dans la carrosserie :
"Felix qui potuit rerum cognoscere causas", ou passer d'un zodiaque absolu dans son cercle à un zodiaque relatif et dissolu mais intégré à son environnement stellaire.

Car c'est un fait que s'établit un dialogue pertinent entre les signes au travers de leurs constellations d'origine, et de celles qui leur sont extérieures ou intérieures dans le zodiaque, lequel souscrit bien à un projet naturel et culturel structuré, céleste et antique. Le zodiaque ne relève effet au départ que d'une captation-sélection initiale des constellations répertoriées par l'écliptique, mais il est à concilier avec la variabilité d'un équateur céleste par le trajet de son centre : l'étoile polaire (Polaris Stella). C'est ainsi que le zodiaque est toujours à inscrire dans son contexte : la voûte céleste, comprenant une large cinquantaine de constellations pour le sujet qui nous intéresse ici et ayant servi entre autres dans le passé à la navig-ation aux étoiles dans l'hémisphère nord.

- A préciser que l'astrologie étant foncièrement plus instrument de connaissance qu'ustensile extensible de voyance, il ne s'agira pas sur ce blog d'envelopper d'agrément quelque doxa zodiacale aseptisée ou édulcorée et caressée dans le sens du poil à polir les préoccupations existentielles, mais de développer correctement tout le brut à décoffrer des concepts plus lourds en besogne à propos des constituants élémentaires de la psyché individuelle et collective à partir du sujet astral en règle générale et conséquences, et de ses influences présumées :

- Astrologie, numérologie, et tarologie interfèrent en un Medley harmonique et se correspondent dans une trilogie alchimique effective à l'ancienne, nuancée de fluides et subtils rouages d'où découlait en toute cohérence un "ordre logique des choses" assorti du réalisme d'un Système Pertinent productif et reproductif induisant des schémas comportementaux issus d'un biomimétisme traduit au figuratif et autres rituels de fécondité allant du ça crée au sacré et du devin au divin. Ceci formatant un melting-pot antique puis médiéval à délivrer sur ce blog tant le zodiaque dans son environnement stellaire se trouve intimement lié à un répertoire que l'humain a composé sur la voûte céleste en son entier, et simplement parce que ce dernier célébrait (plus que maintenant ?) de gré, de force ou de contenance l'optimisation de la vie.
Mention spéciale pour la numérologie à l'ancienne concomitante aux différents carrés tel que suggéré sur le linteau de Saint-Génis dans ce qui pourrait ressembler à un jeu de chaises musicales, toujours à propos du rite de fertilité, voire évoqué ensuite dans les jardins "à la française".

- Le siècle des lumières marquant l'époque contemporaine ne peut ni ne doit s'avérer aveuglant de tous ces éléments savoureux d'un passé ancestral, qu'ils soient du registre du réel, du symbolique ou de l'imaginaire et parvenus du fond des âges jusqu'à aujourd'hui, avec cette pertinente inclusivité de l'expérience vécue. Les formes et les couleurs y sont d'importance, autant que les sons que celles-ci peuvent suggérer dans une fluidité harmonique entre l'image et le verbe, et qui plus est encore plus palpable dans une lecture ornementale.
(Du type : "Et comment qu'on se la raconte au-delà des nuages dans la voûte céleste et la voie lactée, d'autant que le zodiaque concerne trois cercles dont un totalement mutable !").

Ce qui incite à définir plusieurs fonda-mentaux indices-pensables à l'essence-ciel, ci-après taraudés en 22 points précis comme les confits denses du tarot quand LN 2-3 eût lys à l'Aude hissée d'un cocktail culturel pas ordinaire constitué pêle-mêle des rubriques vigueur, rigueur, érudition, technicité, humour, et saupoudrées de grains de fantaisie et poésie (voire de calembours) quand un propos s'y prête en toute fluidité, chaque sujet étant (en principe) de connivence avec son N° d'ordre, juste après cette introduction (assez consistante) au bain astro-médiéval :


(N.B. : Les paragraphes numérotés 1°, 2°, 3°, 4°, 5° seront extrêmement importants car fonda-mentaux)

« L'ignorance provoque un tel état de confusion qu'on s'accroche à n'importe quelle explication afin de se sentir un peu moins embarrassé. C'est pourquoi moins on a de connaissances, plus on a de certitudes. Il faut avoir beaucoup de connaissances et se sentir assez bien dans son âme pour oser envisager plusieurs hypothèses » (Boris Cyrulnik).

- N'a-guère schéma zodiacal, s'enlace trop logique d'une suite 3 à 9 au jour d'Huît-re moulée ain'Si fi'ère à N'œuf ou quand ascèse de poids le carrelet se fête optimisé jup-i-térien filé dépêcheur bi-aisé à y Voir d'em-Blé-e Le cat-i-min-i à 8 clos en P-ara-gon de vert-u non dis-cri-minant pour l'octOgOne :

Case tord ou case rôle central,
valse des T en coins et triangle d'éTé,
et 13 cases en schéma directeur.
Détail linteau
Saint-Genis
sans los-
ange(s) ?
Cathédrale de Chester, sol
De 3 à 9 sans écarter l'épate
des jours de la sem-aiNe
ni le nombre 39
(rehaussé du 6).
Ptolémaïque Système
1+9=X, 2+8=X, 3+7=X ...
Pré-carré précaire de Saturne et
pavé numérique dans l'amarre,
en coins : 1,3,7,9 en Z,
par Saint N-à-Z-aire.
Nombres Pairs en losange
et 2,4,6,8 en N descendant..
Constante de 15 déjà acquise
dans la plu(s)-par-t des axes,
ceux passant par le V central.
Case centrale et diagonales de carré per-sis-tant en main, ou quand Wilielmus donne carré-ment d'entrée le ton sur le linteau :
(image a-droite, tel un véritable artéfact)

Autrefois le thème de naissance (nais-sens) était tracé non pas dans un rond mais dans un carré divisé en 12 secteurs par l'adjonction d'un losange régulier incluant lui-même un carré central et 13° case relié en ses quatre angles aux quatre coins du carré de base. Ainsi déjà tout ceci constituait un prémice d'octogone.
A chacun des côtés des carrés correspondait une des quatre saisons à l'occidentale, se définissant logiquement en occident comme l'écart entre un équinoxe et un solstice ou réciproquement.
Le losange relié aux quatre coins du carré initial évoque un X et forme ainsi quatre "T" en coins, avec ses côtés en barre supérieure de T.
C'est donc en chaque coin les triangles des T !

Observation faite que le carré extérieur comporte un tracé de 8 secteurs "triangles" (2 par "T") sur son périmètre et le carré intérieur 4 triangles pointant en losange les milieux de saisons, pour un total de 12 triangles égaux entourant une 13° case carrée en Stand-By aux données de naissance (voir ex. § 10).
Et 13 est la case centrale du carré de Mars à 5x5.
★ L'ordre des astres du septenaire :

Ce schéma de thème natal à l'ancienne ci-dessus à gauche ainsi que le personnage central du linteau à Saint-Genis exhaussent le concept de case centrale à retrouver dans les carrés planétaires dits magiques (ordrés par vitesse apparente des astres, du plus lent au plus rapide en perception géocentrique - ou vu de la Terre, voir image ci-contre à gauche de 3 à 9 - de type étoile chaldéenne à 7 branches), et en premier ceux d'ordre impair (Saturne 3² case centrale 5 ou V romain, Mars 5² à case 13 (à 1 & 3), Vénus 7² à case 25 (à 2 & 5), Lune 9² à case 41 (où 4+1=V à rejoindre Saturne au début), mais concerne aussi le carré pair de Mercure (8) sans case centrale ou à case vir-tu-elle (le 8 s'incrivant dans la séquence de Fibonacci), avec ses diagonales et surtout ses sous-diagonales "préfabriquées" qui lui confèreraient une vocation particulière puisque laissant apparaître ainsi le Cas du C d'une grande Case Centrale en losange (voir plus bas dans ce §).
Le cloître de Saint-Genis est composé 8 arcades sur chacun des 4 côtés, ce qui lui fait évoquer la composition virtuelle d'un échiquier, tout en tenant compte de l'objection ci-dessus.

★ L'instauration d'un arbitre des élégances :

Wilielmus, adrombré par Gerbert d'Aurillac, s'instaure comme arbitre des élégances en matière astrologico-numérologique à travers le personnage central du linteau, tenant son carré dans la main gauche, avec diagonales et case centrale, carré qui souligne l'importance de ce type de figures géométriques, mais aussi de leur consistance : nombre de la case centrale réelle, voire virtuelle quand absente, nombre de cases, dispositions particulières de certaines cases, constantes, relations chiffrées entre les différents carrés, lesquels s'en trouvent ainsi numérologiquement interconnectés.

La constante d'un carré d'ordre pair ou impair s'obtient de la façon suivante : diviser le nombre de cases du carré par 2, y ajouter 0,5 et multiplier l'ensemble par le numéro d'ordre, carrés pairs : Jup 4x4=16 cases 8,5 x4=34, Soleil 6x6=36 cases 18,5 x6=111, Mercure 8x8=64 cases 32,5 x8=260, idem pour un carré d'ordre impair cependant que pouvant être plus directement palpable puisque c'est aussi le produit de sa case centrale par le numéro d'ordre de ce carré : Sat 3x3=9, 4,5+0,5= 5 x3=15, Mars 5x5=25, 12,5+0,5= 13 x5=65, Ven 7x7=49, 24,5+0,5= 25 x7=175, Lun 9x9=81, 40,5+0,5 = 41 x9=369, avec un souligné pour Mars carré de chiffres mais aussi de lettres (palindrome), autant que sa constante 65 à 6 + 5 = 11, le nombre "gémeaux" par excellence. On aura remarqué que le "/2 + 0,5" fait appel aux chiffres 2 et 5 qui sont aussi à retrouver dans la formule du nombre d'or.

Mais de fait tous les carrés au naturel, d'ordre pair ou impair, disposent de diagonales entières toujours "pré-faites du nombre de leur constante", mais seuls les carrés à case centrale (donc d'ordre impair) peuvent revendiquer cette même constante initialement aussi en croix grecque (parité associée au principe de genre ? Voire carrément sexuée...).
A ce titre le carré de Saturne (image ci-dessus à droite) offre une lisibilité assez directe du principe d'octogone principe qu'offrent également ses acolytes d'ordre impair.

Ne pas oublier aussi que si la diagonale d'un carré concerne le nombre d'or, celle du rectangle divise le périmètre en deux L, non plus que le nombre 13 mythique est la somme de 5 + 3 + 5 et accessoirement de 4 + 5 + 4 : uniquement des chiffres isiaques (3,4,5) dans ces deux sommes mentionnées, mais disposées toutes deux en constant teint de forme 313 tel 2 x 3 (LN) de symétrie à partir d'un 8 divisé en deux verticalement par le 1.

C'est ainsi que les astres se voient "embarqués" dans une numérologie vouée à servir de forge aux diverses manifestations de la Création, où les performances actées d'opportunismes par corrélation des différentes modélisations seront à apprécier comme d'aspect transcendantal émanant d'un Ordre Divin.

C'est aussi que dès avant l'An Mil apparaissaient en Occident les chiffres indo-arabes, et accompagnés du zéro, soit de nouveaux idéogrammes à intercaler dans le staff culturel et cultuel existant déjà et notamment les chiffres romains, le tout avec de nouvelles dispositions intellectuelles provenant des diverses civilisations de la grande plaque eurasienne, où des échanges matériels et culturels avaient lieu d'un bout à l'autre depuis des millénaires (routes de la soie).

Les astres édictaient alors toujours les mêmes rythmiques connues et propres à chacun d'eux, mais à capter et surtout à exprimer dorénavant de façon différente par un Occident hégémonique à l'éjet-momie sans rejet, aux prétentions légèrement infuses autant que diffuses avec toutes ces nouvelles dispositions scripturales à intégrer dans les compétences et documents célestes antérieurs dans le but d'être explicites par actualisation formelle implicite à effectuer sans faille pour être reconnue univer-sellement, d'autant qu'une certaine modification s'imposait sur le fond et dont il sera question tout au long de ce blog, provenant du phénomène de précession.

Cet empouvoirement astrologique fut donc la tâche principale de Gerber d'Aurillac à cette époque, Pape de l'An Mil et sans doute le plus grand savant européen de son temps, auteur de traités originaux de mathématiques et d'astronomie, philosophe réfléchissant sur l'organisation du monde et de la société, qui dans les novations de formes et de fond va savoir tirer tout le profit nécessaire à établir un profil de révélation avec cette refonte où toutes les particularités arithmétiques et géométriques devront du fait de leur exactitude relever conceptuellement de cette divine organisation qu'elles réveilleront et révèleront, ceci dans la plus grande opération de restructuration et de "marketing chrétien" à marteler l'histoire médiévale occidentale autant et au temps que "l'aigle en plein vol" de Saint-Jean arrivait en bout de course (à découvrir sur ce blog dès le § 1).
C'est ainsi que son nom de Pape fut Sylvestre II, marquant l'importance de cette renaissance du christianisme, Sylvestre I était en effet le pape ayant couronné l'Empereur Constantin converti au christianisme au début du IV° siècle (313).

Les références temporelles indiquées par les cycles des astres accompagnées de leurs schémas accessoires avaient ainsi vocation à devenir la représentation officielle du temps, de l'espace et de l'univers à l'occidentale avec perspectives urbi et orbi d'autant qu'elles intégraient et ingéraient des prérogatives idéogrammiques espacées venues d'autres civilisations plus continentales, bien acceptées quand elles étaient accessibles et appréciables à l'expression de la réalité, à toutes fins de pénétrer irrémédiablement l'inconscient collectif planétaire de façon monocorde et in-conte-stable.

★ A option réductibilité ou non à des conditions de perception phénoménologique ordinaire, potions de réalité Naturelle & réalité Ordonnancée (initiales ON, tel onze) en conflit d'intérêts et pourtant en confit de raison :

Tous les éléments ci-dessus devaient donc être globalement tangibles et cohérents et ils l'étaient, le concept naturel de géocentrisme (en toute subjectivité) est en effet réductible à une simple perception phénoménologique ordinaire fontionnant en "autosuffisance de type individuelle" dans le registre "Ai-je besoin de savoir autre chose ?".
Exemples de perceptions phénoménologiques :
- 1°) basiques : Soleil luminaire du jour et Lune luminaire de la Nuit
- 2°) élaborées : Phases de la Lune, rétrogradations des planètes
- 3°) particulières ou exceptionnelles : Eclipse de Soleil ou de Lune, Super Lune (ou Pleine Lune de Périgée).

Ces perceptions phénoménologiques étaient exprimées depuis l'antiquité ptolémaïque par le concept des sphères célestes.
Cependant que les deux circonstances particulières citées en dernier interpellaient nécessairement celui qui les observait (c'est encore le cas actuellement), l'intensité du plan émotionnel rejoignant celui métaphysique de par les schémas mentaux proposés, provoqués et induits par ces deux phénomènes, lesquels peuvent d'ailleurs à l'occasion être conjugués (c'est le cas relaté au linteau de Saint-Genis et en équatorial, image ci-dessus).

Un questionnement individuel qui tombait à poing (!) nommé pour qui s'ingénie au fait qu'une collectivité de type agraire ne pouvait non plus se satisfaire pleinement de cette simplicité apparente car confrontée à une réalité phénoménologique complexe, demandant un effort intellectuel élaboré qui relève des notions karmiques (en relation avec ce qui précède) et les révèle à travers la connaissance-reconnaissance du phénomène de précession des équinoxes (attenant à la gestion du temps - qui passe et qu'il fait) dont la question de sa résolution constituait une préoccupation ancestrale depuis la plus haute antiquité.
C'est ainsi que les deux axes karmiques (axe nodal pour les éclipses et grand axe pour périgée-apogée lunaire) vont constituer à la fois la charnière et l'épine dorsale du passage de la réductibilité à l'irréductabilité à de simples conditions de perception phénoménologique ordinaire puisque non directement palpable de visu et intégrant un raisonnement organisationnel complexe attentant même à la constitution même des rouages célestes (Rotas ?).
Césure cérusée par conflit autour d'une réalité (sujet - objet) confite ? Et pour autant les deux aspects sont vrais. Il existe donc 2 catégories dans les perceptions phénoménologiques : l'une d'apparence qui est vraie (mais Subjectivement) et l'autre d'appâts rances qui est vraie aussi (mais Objectivement) ! La similitude de consonnance a été expressément recherchée en fonction de celle signes-constellations.
Un peu de la même façon il est possible de comparer la réductibilité des perceptions phénoménologiques ordinaires aux carrés naturels, qui demeurent alors accessibles au plus grand nombre de par les apparences subjectives, et l'irréductibilité aux carrés ordrés de leur constante qui leur transfère alors un aspect "magique" réservé à une élite médiévale. L'accès à l'interprétation intellectuelle créant intrinsèquement le pouvoir puisque l'interprétation des phénomènes et spécialement celui de la précession était indispensable à la pérennité d'une collectivité de type société agraire (du fait d'un décalage effectif mais très lent). S'opérait de fait et de faîte une trilogie de collusion pouvoir - astrologie - religion. Il existait alors une dimension transcendantale et ineffable à laquelle il fallait se plier d'évidence(s), instinctivement rapportables à un monde palpant le divin palpitant d'émotions et des motions, dès lors que (presque) tout ce qui apparaissait de l'ordre des coïncidences pouvait devenir signifiant.
Le concept d'héliocentrisme était nécessairement envisagé même si non déclaré officiellement mais surtout manquant des éléments qui peuvent le justifier, à apparaître ultérieurement, au XV° siècle et après (Copernic, Galilée, Observatoire de Paris, Cassini). Se pose alors cette question : depuis combien de temps (en siècles, voire en millénaires ?) avait-on de fait en stock intellectuel ce réel appât-rance de l'héliocentrisme, incompatible avec le géocentrisme et ses réelles apparences ?
Cependant qu'il n'existe pas de conflit entre le géocentrisme et l'héliocentrisme à propos des deux axes karmiques (nodal pour les éclipses et grand axe apogée-périgée) puisqu'il s'agit d'axes, bien que de ceux-ci résulte le phénomène de précession.
Exemple aussi simple que sophistiqué, voire alambiqué, et même cocktail clé de ce blog : les 6 & 9 du sigle du Tao ayant le privilège de tenir ensemble dans un cercle ou un zéro en dessinant même un S, respectivement blanc et noir globalement (tels le Cygne et l'Aigle formant CA de consonnance K et début de CAncer et CApricorne du référen-tiel tropique), et numéros d'ordre du Soleil (6) astre du jour et de la Lune (9) astre le la nuit composant alors un rebis alchimique au total de 15 qui est la constante de Saturne, or 1+5 = 6 (Soleil) et 6x9=54 appelant à la foi(s) un 3 phytagoricien isiaque et une somme de (par Mars et Jupiter) 5+4 = 9 (Lune) lui même carré de 3, numéro d'ordre de Saturne. Ces 6 x 9 = 54 et 5 + 4 = 9 renvoient au "plus" et au "par" (zodiaque des signes et zodiaque des constellations), mais aussi à deux nombres qui vont intéresser particulièrement ce blog : 65 avec 6 & 5 (et 6 + 5 = 11) et 13 et avec 9 + 4 (et 49 cases pour le carré de Vénus), 13 pour 1/4 et 3/4 d'année ou 39 semaines pour ce dernier rapport à 52, outre les aspects géométriques des différents carrés, des cases et de leurs numéros.
Autre exemple en architecture : La tribune jubé du Prieuré de Serrabonna (aux initiales P & S, dit le "Prieuré ScorPion") fait allusion aux deux colonnes de droite du carré initial de Saturne (colonnes verticales 2 & 3, voir "calculs" en horizontal ci-contre à gauche) et dévoile six cases fonctionnant "en autosuffisance" de plusieurs façons, dont celle d'un rapprochement avec le sceau de Jupiter (mis en légende sous l'image de gauche).

C'est ainsi qu'un certain nombre de réflexes sont à acquérir sur des nombres (voire irrationnels), des formes, de simples chiffres, lettres, ou numéros qui semblent si innocents mais ne le sont pas par leurs inclusivités (souvent même symétrie oblige), ceci pour bien percuter l'esprit des structures médiévales (et suivantes dans le temps).
A ce titre l'expression "l'An Mil" est assez intéressante à dé-cor-tiquer de zèle du phonologique au très flétri scriptural, d'autant que le nombre 1.000 comporte un 1 et trois 0 (= ♣ ?), façon Masculin / Féminin ? Outre le fait qu'en verlan l'An Mil devient Milan (comme un Aigle et comme une ville italienne hébergeant une certaine fresque).
★ Mars et Vénus, Osmose de Synergie au KaduCée de Mercure

C'est que cette notoire invitation à la case centrale sur le linteau de Saint-Genis (par la main gauche du personnage central) est en effet fonda-mental-e, établissant not-amment des relations figuratives entre Mars et Vénus par le 25 (mises en osmose par Mercure et son caducée) et touche donc à la sexualité éther-haut en qualité de vecteur de création et suggère ainsi une idée de pérennité de l'espèce (com(m)e de 3 à 9 en commun -racine et carré- voir plus bas), ou quand les impairs vont de pair(e) avec une perspective de navig-ation structurée d'entre roc(her)s carré-ment impér-is-sable.

Le sable est, en héraldique, un émail de couleur noire. En représentation monochrome, il est symbolisé par un quadrillage de hachures horizontales et verticales.
Le substantif masculin, « sable » a probablement été emprunté à l'ancien bas francique, lui-même emprunté au russe соболь (sobol'), désignant la zibeline, dont la fourrure est noire, ou à l'allemand, Zobel, martre noire.
Autre hypothèse : Le terme sable proviendrait du sable de forge, terre noire et humide qui servait aux peintres du Moyen-âge pour fabriquer du noir. (Source : Wikipédia) - image ci-dessus à droite.


Le sable de forge étant un élément important intervenant dans la fonderie.

Sans oublier : "ALBAE SUNT IAM AD MESSEM" (naut au nié ?)

Cette ambiguïté entre les cases centrales des carrés "impairs" est entretenue, et convenue de nécessité démonstrative expresse par un lien plus que symbolique entre les nombres 5 (ou V romain), 13, 25 et accessoirement 41, et de plus au total 84 = 7 x 12 ou 4 & 8 en 3° et 4° positions d'une suite géométrique ? Qu'à propos de ces derniers chiffres 8 = 13-5, 12 = 25(V)-13(M), et 4x7 = 28 (Lune). Noter pour 41 (4 & 1) la consonnance "quatrain", c'est entre autres une partie d'un sonnet (en 2x4 + 2x3)..

Remarquer dans le schéma zodiacal à l'ancienne le carré-case centrale relié aux quatre coins tout en pointant le centre des côtés du grand carré initial au travers du losange, soit les 2 solstices, 2 équinoxes et 4 milieux de saisons, ce qui laisse envisager ainsi huit directions, à la façon de la faculté de déplacement du roi aux échecs en virtuelle case centrale d'un carré de Saturne (images plus haut à gauche et à droite) dont il sera question par la suite sur ce blog comme le carré initial d'ordre 3, et de base puisque afférent et affairant au V romain, au 8 (par 2³) et au N'œuf (par 3²).

Ci-dessus à gauche : Que le 8 puisse se diviser par 2 verticalement en 3 symétriques, c'est un cube (2³) ou un comble pour 33 sur un carré ?
Un 8 comme fendu par l'axe astro des solstices en deux trois et autant d'émis se faire en haut débat.

Les 9 numéros d'ordre (et leurs carrés respectifs), autant que le nombre de lettres dans Wilielmus forment un des fondements astrologiques (métaphorisable sous forme d'un moteur 9 cylindres en étoile, voir autre blog déjà cité : https://astrologyves.blogspot.com/).


Le sceau de Saturne est un tracé de la suite numérique naturelle dans le carré à constante 15 (1+5 =6, n'ombre d'ordre du Soleil) et cette constante est aussi le produit de 3x5, remarquer dans ce sceau le losange en diagonale (montante) sens 8-5-2 qui sont des nombres de la suite de Fibonacci auxquels s'ajouterait (ça joute raie ?) le 3 (voir plus loin au moins le § 3) à évoquer la forme de la constellation de La Lyre, remarquer aussi la suite naturelle 4,5,6 dans l'autre diagonale, descendante.
Au 3²= 9 de Saturne, Mars et Vénus : 20 somme des pairs ou des impairs (sans le V) en coins du carré de Saturne, et 15 la constante de ce même carré, ou une approche de 35 (en 20+15)...pour justifier que 3+5 = 8 ?.
Noter que le 1 parcourt un L depuis sa position initiale d'en haut à gauche pour se retrouver en bas au centre en position de solstice et que le 3 initialement en haut à droite aussi parcourt un L et se retrouve à gauche au centre en position d'équinoxe et même de point vernal, ceci dans le cadre d'un 13 mythique où 1 & 3 sont d'importance puisque liés respectivement à Mars et Vénus, voir plus loin. Ces positionnements en axes de solstices et d'équinoxes sont fondamentaux en astrologie occidentale puisqu'ils déterminent la croix cardinale, et se faisant ici à partir du carré de Saturne. Les 1 et 3 se retrouvent en position de coefficients à la fois sexués (pairs/impairs) et dans des angularités de 45° quant à la parité pour arriver au résultat final de ces deux L, qui seront récurrents aussi.

2, pair, père, masculin : 1x45° à droite
1, impair, féminin : 3x45° à gauche en L (consonance elle), aux chiffres isiaques (4 & 5 étant aussi les numéros d'ordre de Jupiter et Mars).
Total 1x45° + 3x45° + 45° d'écart initial = 5x45° = 225° (où 22 peut renvoyer au nombre d'arcane et le 5 (v) au graal).

Le coup du 1 cran de déplacement à droite devient le masculin avec les nouveaux emplacement des chiffres pairs et les 3 crans de déplacement à gauche déterminent le féminin avec les nouveaux emplacement des chiffres impairs, 1 & 3 sexués évoquant alors le 13 déjà case centrale du carré de Mars et apanage du cycle de la Lune. Dans cet échange de bons procédés + devient x et réciproquement, à former huit branches pour structurer un octogne.

Premières objections : La diagonale montante 8,5,2 (où exit 3 de Fibonacci) est aussi incluse par ces chiffres dans 1258 autant que dans 1582 (et 1285), et par ailleurs outre 1294 et sa signification le schéma de 1492 (du Nouveau Monde) à inscrire dans le carré de Saturne ci-dessus n'est pas innocent (1,2,4 suite géométrique, et 9 carré de 3, avec 1 et 9 axés nord-sud façon axe des tropiques), le carré lui-même n'étant pas innocent non plus avec l'autre diagonale commençant par 4 (comme autant de côtés) et ouvrant la suite à 5 & 6 - arcs du cloître à Saint-Genis, et beaucoup plus : IN HOC SIGNO VINCES où 2 + 3 = 5 et 2 x 3 = 6 quand la plus-parT du tant (!) un carré avec une case en plus peut composer un rectangle... et à Lire seule-ment en deux triangles isiaques dans un piètre monde riant (*) ? Ou plutôt se remémorer les diagonales du fou aux échecs (fou, foune, ailée foune, éléphant(e) ?). PSittt : Soyez constamment sur le qui-vive, il vous faut ôTer vos œillères de la modernité ou perception contemporaine pour avoir une vision à 360° (comme le zodiaque).

Image plus haut à dr. : Saturne rond de parité en geLée de coings forts de T (EgO d'Est en Ouest ?) : + ou pairs 1/8° de tour (ou 45°) à droite, et x ou impairs 3/8 de tour (ou 3x45°) à gauche (noter les 1/8 et 3/8 (chiffres de 13) et 3,4,5 isiaque dans 3x45) - exit le N°5 au centre ou V romain, graalesque.

Possible de rajouter avec ce carré de base Saturnien l'ar-bi-traire idée du "x 3 + 1", ce fameux élément de la conjecture de Syracuse (S'y-R-AC-use ?) où tout nombre doit pouvoir se ramener à l'unité (qui n'ombre symbole phallique ?) et où 1492 serait à l'aise, voire graalesque. Et de contribuer à institutionnaliser les chiffres 1 et 3 (13) autant que + et x. Le second élément de cette conjecture étant 4,2,1, soit les trois premiers termes inversés de la progression géométrique de raison 2 et de premier terme 1, dont on vérifie ici sur le carré de Saturne la forme graalesque (V) procurée dès la constante en place, outre l'aspect tétraktys de l'ensemble des deux éléments réunis (4,2,1 & 3).

L'Hydre de Lerne ? Le Pseudo-Apollodore est précis : « Elle était d'une grandeur démesurée ; elle avait neuf têtes, dont huit étaient mortelles, et la neuvième immortelle ». Façon pieuvre de la Dalle de Blanchefort (prae-cum).

Et toujours avoir en tête que Verseau (Air, Bleu) et Capricorne (Terre, Ocre) forment l'apanage de Saturne (à retrouver en § 15), autant que ces deux signes de l'hiver font face sur le zodiaque au Lion (Feu, Rouge) et au Cancer (Eau, Vert), ces deux signes d'été. Chaque signe du zodiaque jouant un rôle plus ou moins particulier...
Car à Saint-Genis SATOR le coup aux ides reclues à 5/5 - voir la suite.

Les carrés (et surtout eux) forment une modélisation gigogne, en effet ils sont tous proportionnels entre eux. C'est donc que des points communs les animent, et tout spécialement au centre. Pour autant le cloître de Saint-Genis aurait bien quelque lien avec le schéma zodiacal carré ci-dessus à gauche, de même pour l'œuvre la plus connue de Ieoh Ming Pei ?
WILIELMUS de symétrie au linteau de Saint-Genis donne le ton,
WI = VI & V, à retrouver plus tard avec l'homme de VItruVe,
ou 6 & 5 totalisant 11 (1 & 1) engagés pour une gémeLLité.
E & I de Wilielmus, au centre du linteau,
ingrédients à facilement formater un 8,
autant qu'à évoquer les chiffres 3 (inversé)
et 1, comme une allusion au 13 (TREIZE).
E & I ici présentés en losange avec un N
vertical dans le dégradé bleu en filigrane
N lui-même partant Z au quart de tour.
Noter en italien au pluriel les terminaisons
en E pour le féminin et I pour le masculin,
et en français les pronoms IL et ELLE
(en plus avec les L du cavalier d'échecs).
(Fou-le CA nell'i ?)
E & I comme dans EDIMbourg...

C & A : Ark of the Covenant, D'Or et de Ténèbres,
Ailes à l'UniTé à ne pas nier de zèle : ceLLes du Cygne et de l'Aigle ?
3² + 5² = 34 ≃ 5,831² = 34,000561
125 x 75 x 75 = 703125
A droite ci-contre : 13 et le SerPentaire, 8 et le ScorPion, S & P comme dans éSoPe ou comme SPort.
Ci-dessous un rectangle qui ressemble à un terrain de fooTbaLL mais qui n'en est pas un, pourtant que 11 & 11 font 22 autant que 4x1 font 2x2 =2², surtout quand ce rectangle tel un livre ouvert qui L'ivre où verT de zèle tels E & I rapprochés à huiT clos comme dans WiLieLmus lu à l'envers où E&I = 8 autant que 13, est constitué de deux carrés à insinuer (ainsi nuer ?) une symétrie (s'y mettre i ?) dans une évocation du nombre d'or à 8,1,6 (Phi) autant que du nombre Pi en 3,1416 à l'assomme de ses trois premiers chiffres :
B d'enluminure,
à la foi(s) 8 & 13
Mys-tère de l'Occi-dent
K-rôle, èRe,
Soleil et Lune ?
Lyre antique


Ci-contre le jeu de la Rithmomachie, un jeu "numérologique" datant du début du XI° s. et faisant appel à la parité et aux carrés, pour élite intellectuelle du clergé, noter déjà la diagonale montante de 49 à 25 (Vénus 7² et Mars 5²) = 64 + 10, et celle descendante de 361 à 289 (Total 650, soit 65 par X). Se joue sur un rectangle de 16 x 8 cases (équivalent à deux échiquiers), trois chiffres du bas du carré de Saturne et du nombre d'or, où accessoirement 6 avec 8+1 = 9 crée le sigle constaté contrasté du Tao, conformément d'ordre Soleil 6 & Lune 9. Ces 128 cases renvoient à 12 & 8 autant qu'à 21 & 8 et à 18 & 2, mais surtout à 1 & 28, et ce dernier : lunaire, autant que le 18 précité évoque la Lune du tarot, où le 12 est l'arcane du Pendu et 21 celui du Monde, aux précipités 1 & 2 ou 2 & 1, tels les (verTs ?) sauTs du cavalier d'échecs : Longueur 2, Largeur 1, et réciT-pro de zèLe à 16 & 8 pour 12 et 21...

Ci-contre à droite le sceau de Charlemagne (KaRoLuS Magnus), antérieur à Wilielmus, plus haut ci-dessus à droite carré de Saturne en losange sur chaufferette, carré de Mercure ou échiquier ci-dessous (absence de case centrale pour les carrés d'ordre pair), et à gauche ci-dessous tortue Luo Shu (sa ca-rapace ventrale), où l'on notera l'axe nord-sud (tropique) de 1 à 9, et avec un 7 et 3 à rapporter au sablier plus haut à gauche. La tortue de par ses caractéristiques numérologiques adéquates en relation avec l'astrologie extrême-orientale et surtout occidentale pourrait même être l'animal fétiche de ce blog.🎬, 🎬
Eve en 9 et en œuf, et
6 et 9 = quiNZe
A Tréhorenteuc
En lien avec l'image au-dessus, les armoiries du Royaume de Jérusalem : "D'argent à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes du même".


- 1°) La Précession et son coroll-aire : L'AYANAMSA
Aigle aux ailes ouvertes, 2° S.,
sanctuaire de Zeus Hypsistos,
Dion, Μacédonia


Indivis-dualité et aphorisme haletant de l'ère des PoissonS, et fait établ-i sans écarter l'épate d'un décalage à assumer entre l'espace et le temps : ("Ad Lapidem Currebat Olim Regina" ?)
(Lourd mais impensable de se dispenser de cet indice pan-sable)
Le soir ou la nuit vous voyez une planète ou la Lune dans une constellation de l'écliptique zodiacale ? Soit, mais en fait elle est à ce jour au XXI° siècle dans le signe qui la suit, et inversement quand un astre est dit dans un signe du zodiaque tropique, il est physiquement dans la constellation qui le précède, ce que traduit clairement le schéma de droite avec même la dualité annuelle jour-nuit au centre, où pourrait se placer le sigle du Tao :

Abordons d'entrée ce qui constitue le plus grand non-dit culturel de l'histoire de l'humanité : la précession des équinoxes, tant ce phénomène déjà difficile à comprendre comportait de paradoxes dans une approche palpable pour nos ancêtres, et qui faisait du Soleil en connaissant sa course annuelle et son mode de fonctionnement céleste (où s'insère l'analemme) le maître du rite de fécondité-prospérité-fertilité.

De plus c'est un élément essentiel pour comprendre l'œuvre de Wilielmus à Saint-Genis, puisqu'elle est fondée essentiellement et en toute logique là-dessus, en tant que principale préoccupation dans l'antiquité et de son suivi dans tout le moyen-âge et même au-delà : le zodiaque tropique suit la course des solstices et équinoxes, qui n'est pas fixe.

L'ayanamsa est ce décalage (progressif) entre le zodiaque (naturel et initial) des constellations (inégales) dit sidéral, lié à l'espace, et le zodiaque des signes (tous égaux en 30° d'arc) dit tropique ou saisonnier et lié au temps (qui passe et qu'il fait), ceci est traduit sur le schéma ci-dessus à droite.

Ci-dessus à gauche le bateleur, à repérer les jeuX du batôn dans une main (feu, lion, masculin, 1) à l'"influence potentielle" auX trois autres éléments sur table (liés à l'hi-ver, et au féminin, 3, voir §3 et 4), déjà fonction solaire vs lunaire, avec l'idée d'un vert si près (!) sous la table (à trois pieds), et deux jambes où chacune encadrée sans écarter l'épate comme pour évoquer une alternative : "Jouez hautbois, résonnez musettes ! ♪♪♫♫♪♪..." ?

Les signes sont un procédé d'intellectualisation temporelle de la course du soleil du fait de la précession des équinoxes dû à la précession satellitaire de la Lune et à l'inclinaison de la planète Terre, et cette intellectualisation-extrapolation était nécessaire et même indice-pensable (!) : il fallait bien se caler dans le temps sur l'équinoxe de printemps (ou tout autre repère tel un solstice) pour gérer dans une société foncièrement agraire la réalité des quatre saisons particulièrement bien marquées en occident. Car s'opérait un décalage de fait entre les étoiles fixes de référence spatiale initiale et la réalité temporelle : la toile de fond sidérale n'était pas fiable pour constituer des repères pérennes dans le temps, il fallait accepter de la transposer (d'une valeur de 1° rétrograde -ou en marche arrière sur le zodiaque- tous les 72 ans). L'étoile de référence pour l'écliptique est Régulus du Lion, le fondement de la la mutabilité précessionelle s'exprime avec le Capricorne.
A gauche la fontaine aux 12 lions de l'Alhambra à Grenade, à droite : de Lion à Capricorne sur la tapisserie de la Dame à la Licorne.🎬 Cette question de la précession des équinoxes exprimée par ce décalage est fondamentale d'un point de vue anthropologique, et elle constitue le principal justificatif "technique" du christianisme - en collusion avec l'astrologie antique -, proposant et offrant volontiers la date du jour officiellement admise aujourd'hui sur la planète. Cette notion induit l'ère des Poissons, actuellement relativisée par l'ère (future) du Verseau dans la grande année précessionnelle ou platonicienne, et est toujours à mettre en filigrane sur toutes les pages de ce blog, de même que le 11 de la notion d'intercalation, comme toujours en astrologie occidentale.

Le christianisme apparaît alors dans ce contexte comme le concept génial d'une dissociation signes-constellations ayant délivré empiriquement l'humanité des désagréments de ce décalage spatio-temporel perturbant à long terme la pérennité d'une agriculture sédentarisée, par décalage entre les repères d'étoiles fixes marqueurs de référence spatiale nocturne (de type sidéral) et la réalité solaire et saisonnière diurne (de type tropique), avec comme marqueur temporel l'équinoxe de printemps. Ceci en liturgie profane au-delà d'un simple mythique et mystique psychodrame fondateur.
Constan-tin(²) reporte ère ?

Si ce phénomène naturel de précession avec les équinoxes comme repères concerne les deux plus grandes constellations du zodiaque (Poissons et Vierge), toutes deux de l'ordre de 45° d'arc (+ ou -), elle s'exerce concrètement d'armature et d'art mature à partir du Capricorne vers le Sagittaire (puisque ce phénomène est naturellement rétrograde) au travers de la constellation de l'Aigle dont il sera question plus loin (§4) mais déjà perceptible sur la carte du ciel ici en bas à gauche, où l'on peut voir la constellation du Capricorne surmontée par celle du Petit Cheval et accessoirement par celle du Dauphin.

Constellation et signe du Capricorne jouent en effet un rôle référent particulier à l'embarquement dans le phénomène de précession.
Ci-contre à droite : l'épée Ex-CA-libur est elle une métaphore de la précession ? (anagramme : Exculibra)
Ci-dessus à gauche : une ancre et son décor à Palairac (11).

Parce que si le phénomène de précession des équinoxes concerne le point vernal et donc le parcours inverse du signe des Poissons (et de la Vierge de l'autre côté à former ensemble le bras transversal d'une croix), deux autres constellations vont intervenir pour "battre la mesure" de cette précession : Le Capricorne qui tient initialement le socle de la croix (puis le signe éponyme), mais aussi l'Aigle pour le déplacement de celle-ci au moins sur les mille premières années de l'ère en question (L'Aigle de Saint-Jean, voir un peu plus bas).
C'est ainsi que signes des Poissons et Vierge à l'équateur et Capricorne au solstice forment un T, voire une croix Tau, (initiales PVC, amusant, non ? ou lu en apex : PC-V), dont la barre du bas est "tirée" par l'aigle, du Capricorne vers le Sagittaire.

Image de droite : Verticalité au-dessus du scorpion mise en place à Saint-Genis aux ides de Mars 1020, sera reprise cinq siècles plus tard par la Dame à la Licorne et par la Joconde.
(il en sera question plus loin avec des images adéquates)

Rappel : ce phénomène est l'œuvre de l'axe nodal (axe des nœuds lunaires) à partir de la précession satellitaire de la Lune, notions assez ardues consultables sur internet (ne pas trop se prendre la tête, c'est assimilable peu à peu mais complètement indispensable, après compréhension tout devient plus facile). Enfin la constellation de référence pour le cercle de précession est celle du Dragon, s'y inscrivent autour les étoiles polaires successives (actuellement l'étoile polaire de référence se situe en queue de petite ourse), voir l'image plus bas à droite.
Qu'avec cette constellation supplémentaire du Dragon la croix Tau pourrait ressembler à une croix Ânkh...

Cependant que ces deux zodiaques (signes et constellations) tout en ayant vocation à être distanciés l'un de l'autre restent paradoxalement indissociables culturellement dans la mesure où les signes reprennent des éléments des constellations et leur symbolique mythologique. Et de plus les signes (égaux entre eux à 30° d'arc zodiacal) reprennent exactement les noms des constellations (inégales entre elles sur l'écliptique).

Ceci constitue déjà une première forme de gémellité entre zodiaque sidéral et zodiaque tropique ou saisonnier, cette notion de gémellité sera récurrente sur ce blog à propos d'éléments présentant des similitudes, voire des possibilités d'assimilation ou autres amalgames.

Ainsi les Poissons dans leur constellation forment une gémellité bien qu'ils soient inégaux en taille (petit et gros poisson pour un V comme pour une racine carrée), et il convient alors de se poser la question de la gémellité pour tout autre signe avec ses "accessoires", tel le signe de la Balance avec ses deux plateaux tel un huit (lequel signe autorise d'ailleurs le calembour "bas lance", induisant deux possibilités, voir § 8). Ou encore les deux aiLes de PégaSe (à priori égales), constellation située à la foi(s) au-dessus des Poissons et du Verseau, aiLes issues d'un carré passé au rectangle, lui-même composé de deux triangLes affu-blés d'une paradoxale "nuance" (voir plus loin, et page carrés astro).

Et qu'une esperluette aux deux boucles inégales pourrait aussi relever de la constellation des PoissonS, comme La Cène de Léonard de Vinci (avec ses deux plats de poissons de part et d'autre sur la table) peut relever de l'analemme ou de la méridienne, aux deux boucles égales seulement à l'équateur, autant que la représentation du Yin (- -) et en trois lettres sous forme de deux Tirets...égaux contre un seul plus long pour le yang (_) en quatre lettres ?

Le cercle de précession, c'est celui des étoiles polaires successives, l'aile gauche du cygne y est connectée (image de droite quart en bas à gauche). Il entoure la constellation du Dragon, et aussi la tête du personnage central du linteau de Saint-Genis (image plus bas à gauche.). En bas au centre de l'image plus bas à droite, remarquer l'écart entre l'écliptique (solaire) en jaune et l'équateur céleste au-dessus (en blanc-bleu), ces deux arcs ne constituent pas directement l'ayanamasa mais ils lui sont liés. On les retrouve aux pieds du personnage central du linteau à Saint-Genis (image ci-dessous à gauche, voir aussi en § 8).

L'arrivée en l'An Mil marque un tournant où tous les possibles s'annonçaient avec le développement des savoirs et des échanges pour le monde occidental qui amorçait un essor économique et spirituel, signe de confiance et de dynamisme le rendant ainsi plein d'espoir. Mais cette période est pourtant souvent racontée comme une terreur apocalyptique pour les chrétiens d'alors : "On croyait que l'ordonnance des saisons et des éléments, qui avait régné depuis le commencement sur les siècles passés, était retournée pour toujours au chaos et que c'était la fin du genre humain" (Raoul Glaber, Moine, Histoires IV, v. 1048).
L'aigle de Saint-Jean, un des quatre vivants du tétramorphe, désormais en bout de course, posait vraiment un pro-blème dans le contexte de la précession, ce phénomène de référence fondamentale pour la chrétienté. Le cygne étant déjà "largué" depuis environ 500 ans (c'était deux oiseaux en forme de croix dans le ciel nocturne). C'est ainsi que Cygne et Aigle avec Wilielmus prennent l'initiative du SerPentaire (Sagittarius Serpentarius) comme en témoigne le linteau à Saint-Genis.

Le contexte culturel de l'An Mil (avec Gerbert d'Aurillac par Herodote.net) :

Chiffres hindous, chiffres arabes
Avant de devenir pape en 999 sous le nom de Sylvestre II, le savant Gerbert d'Aurillac a introduit en Europe les chiffres arabes (on le surnomme parfois pour cela le « pape des chiffres »). Gerbert avait découvert ces chiffres lors de ses études en Espagne. Avant lui, les Occidentaux s'en tenaient aux chiffres romains, très peu pratiques du point de vue du calcul. Les opérations même les plus simples échappent en effet à toute logique : comment justifier par exemple que XIV + CII = CXVI ? Au Xe siècle, les Arabes, suite aux conquêtes de l'islam, font de leur capitale Bagdad un lieu de rencontre entre l'Orient et l'Occident. C'est ainsi qu'ils empruntent aux Persans une numération que ceux-ci ont découverte en Inde. Cette numération s'avère infiniment mieux adaptée au développement des mathématiques que la numération romaine. Elle comporte 9 signes distincts (ou chiffres) qui désignent les premiers nombres. Les nombres ultérieurs s'écrivent par addition de colonnes supplémentaires (dizaines, centaines...).

Surprenant zéro
La numération hindoue se caractérise aussi par l'usage du zéro. Le mot est une déformation de l'arabe as-sifr qui nous a donné aussi le mot chiffre. Le zéro a été imaginé par les Hindous pour combler les manques dans leur système de numération fondé sur le rang des chiffres. En effet, si les Hindous n'avaient pas de difficulté à écrire 23, ils ne savaient pas en revanche écrire 2 0 3... Le zéro désigne donc au départ le néant ou le vide, une notion familière aux Hindous (nirvana...) mais étrangère aux Occidentaux. Ces derniers n'accepteront pleinement le zéro qu'au XIIIe siècle. Ils en tireront ensuite l'immense profit que l'on sait dans le développement des mathématiques, jusqu'à l'informatique actuelle.
Une graphie variable
Les Arabes orientaux ont conservé jusqu'à nos jours la graphie indo-persane des 9 chiffres. Mais les savants arabes d'Afrique du nord et de Kairouan (Tunisie) ont développé quant à eux une nouvelle graphie appelée maghrébine ou tout simplement arabe. Ce sont les chiffres de cette graphie, dits gobar, que le pape Sylvestre II a introduits en Europe. Ils sont employés aujourd'hui par les scientifiques du monde entier. Si l'on en croit une tradition populaire encore vivante en Tunisie, les chiffres gobar se caractérisaient à leur origine par autant d'angles que leur valeur numérique : ainsi, 1 s'écrivait avec un angle, 2 avec deux, 3 avec trois... Les utilisateurs se seraient écartés de ces règles au fil du temps et il est vrai que l'on a du mal à identifier aujourd'hui les angles originels dans nos chiffres courants.


D'un Trait rouge rayon-nant s'ex-prime le protocole de Wilielmus au centre du linteau de Saint-Genis, méCAnique céleste au pot-en-tiel du tri-angle d'éTé et carré-ment des T, à cet instant-tanné de repère-âge dans le mille et en l'An Mil : L'AigLe de Saint-Jean, fin de ca-vaLe !
Et mise en place de nouvelles perspectives...


WiLieLmus ha potuto presentare al pubblico il suo primo grande lavoro :

L'aigle, Le Cygne et la Lyre : A partir du triangle d'éTé (des T de Tenet au carré de Mars, chiffres et lettres mais surtout image à droite avec Altaïr, Deneb et Véga), il s'agissait d'effectuer une mise à jour de l'ayanamsa à partir du phénomène de précession, démarré avec le chrisme dont axe nodal au curseur initial en Capricorne (signe ET constellation en tropique éponyme, socle de la croix du zodiaque tropique).

Un Cap à franchir vers l'An Mil : les nouveaux jalons, TOUT EST LÀ, en rouge rayon-nant et vert fonda-mental sur cette image ci-dessus à droite, qui traduit le centre du linteau.

Vers l'An Mil le curseur du socle de la précession (et rayon du cercle zodiacal), au pas annuel extrêmement lent (1° d'arc tous les 72 ans) dans la précession, se trouvant passer par la Lyre était en bout de l'Aigle de Saint-Jean et "entamait" plus bas la théière du Sagittaire ainsi que de l'autre côté touchait le Serpent (Serpens lié ou associé à Ophiuchus).
Remarquer les constellations du Cygne et de l'Aigle en forme de croix (et aussi les initiales C et A comme CAncer et CApricorne).
(Gag : la constellation du Sagittaire est réputée avoir la forme d'une Théière et celle du Serpentaire (Ophiuchus + Serpens) la forme d'une CAfetière) - CAT pour l'ensemble (SchrÖdinger ?).

PSiittt : Cafetière et K fait tiers (voir plus loin, 11° lettre, § 11).

Cette image ci-dessus à droite est visible telle quelle tous les soirs d'été en allant vers minuit, mais dans le siècle actuel et nettement plus en décalé dans les siècles passés et dans ceux à venir.

Les ailes à Lyre seraient celles du Cygne et de l'Aigle, d'après WiLieLmus qui S'ingénie au vol de pente aux mimes sur le linteau ? C'est que du fente-astique huit clos de haut en bas à Hélène deux trois face à face pour s'y mettre "i", c'est leste...
Aux pieds du personnage central du linteau à Saint-Genis l'évocation de la fin de l'ère des PoissonS avec le curseur en Scorpion (correspondance marque verte en bas à droite sur l'image), et à l'écart maximal entre deux cercles.
Ce schéma à droite du rayon-curseur vers l'An Mil est essentiel pour comprendre l'œuvre de Wilielmus à Saint-Genis. Il autorise l'intronisation du Scorpion et donc du Serpentaire.

A gauche la reprise qui en est faite dans le bleu du ciel par Saunière à Rênes-LeXTao : Axe CAncer-CApricorne, angularité évoquée de l'écart ayanamsa (à 4 "a" comme autant d'éléments, et A comme Atlas), contenant parcours du Cygne et de l'Aigle (initiales C & A) : ça semble marron pour eux (comme indiqué aussi par le curseur dans l'image au-dessus à droite).
- Le phénomène de précession fut le principal vecteur de motivation cérébrale depuis la plus haute antiquité jusqu'au siècle des lumières...
L'équateur céleste a pour centre l'étoile polaire tandis que le cercle de précession et le zodiaque ont pour centre commun le pôle (nord) de l'écliptique, ils sont en effet concentriques. Le cercle de précession est constitué des étoiles polaires sucessives dans le temps (1° d'arc tous les 72 ans environ), ceci sur une durée de + ou - 26 000 ans : c'est l'année platonicienne.

Une première dualité se constitue à partir de cette excentricité de deux cercles similaires et dûe à l'inclinaison de l'axe de rotation de la planète Terre mais avec apport des effets lunaires (précession satellitaire) pour produire le phénomène de précession des équinoxes. Avec des aiRs printaniers à émoustiller les jonquilles autant que la Joconde qui reprend le schéma directeur instauré à Saint-Genis. C'est ainsi que sur la Tapisserie de la Dame à la Licorne les deux porte-oriflammes sont le Lion avec Régulus pour l'écliptique, et la Licorne (qu'a pris corne) pour l'équateur céleste et le curseur associé. Cette "corne" rappellera aussi la diagonale d'Orion (voir plus loin). Cette "unicorne" est-elle tressée à partir de deux ou trois axes (dont Wilielmus aurait déjà le secret) ?

Différentes vidéos à propos de la précession : 1 🎬, 2 🎬, 3 🎬, 4 🎬, 5 🎬, 6 🎬
(Dragon oblige où la Joconde s'entête de précision au DJ de la précession ? Voir plus l'oint § 8). Ci-dessous Saint-Michel terrassant le Dragon, médaillon de plafond à Saint-Sulpice (par Delacroix), l'abbaye de Saint-Genis est également connectée à Saint-Michel, et pour cause...de Dragon (constellation) :


- INTERLUDE entre 1 et 2, kiffons 12 en douce

Clé des ambivalences, l'UniTé non reniée serait composée de deux moitiés comme ce V graalesque de la constellation des Poissons, où Mira de la Ba-l'eiNe ne se-rait point mi-rage à PloMBer relou aux lou-anges d'un plan B, quand par la ruée du Caducée de Mercure à la rue plus qu'à la Hure :
A droite le + comme indicateur du zodiaque tropique et le x comme celui du zodiaque sidéral. Les deux superposés avec un centre commun formant un astérisque à 8 branches, qui induit la notion d'octogne elle-même issue du carré de Saturne. Pour autant 1 + 1 = 2, et 1 x 1 = 1² = 1

Ci-contre de part et d'autre : Rosslyn Chapel (XV°S.) et ses mystères...
Le 11 de la géMellité différen-ciée adroite, dont celle de Mars et Mercure à gauche :
M, inclusif de deux 1 symétriques :
à l'11 en faon de l'appât trié. Que le
Jeu Ruse à L'M, C'est LEste ?

Rênes-LeXTao,
fresque Marie-Madeleine
avec 2 M comme Mars et Mercure
ou V (5) & 8 pour 13
D'une façon générale dans l'antiquité et à l'époque médiévale surtout il faut toujours envisager la symétrie pour tout. Ainsi M donne 1 & 1, 32 (4x8) a pour symétrique 23 (LN), 52 (semaines annuelles) a pour symétrique 25 (palindrome TENET), etc.
Constant teint tinte de symétrie en perspective des 7 erreurs
- 2°) LES DEUX SOLSTICES en indivis-dualité d'une Synergie mercurielle



Tels les points de l'Obélus ou la pertinence d'une relation d'opposition différentielle des phases bisannuelles dans le rapport en jeu de la durée du jour et de la nuit : une penda-ble orque idée pour un certain mode binaire essence-tiel référencé et à deux nier d'un seul "S" si ressemblant au 8
C'est plus facile mais faut s'acc-rocher : "Nous sommes tous dans le CAniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles." (Oscar Wilde)

Dans le zodiaque tropique (ou saisonnier) que nous connaissons et reconnaissons en occident (où les saisons y sont bien marquées) :

Ne pas s'éloigner des fonda-mentaux, et même y revenir de visu :

Viser dans les deux schémas ici de part et d'autre le S dans le O préfigurant de cible le sigle du Tao, et le 8 clos en bulles en suite,
autant que deux trois face à face apparaissent en effet miroir.

Les deux solstices sont en opposition nord-sud sur les tropiques, au maximum des déclinaisons solaires sur chaque hémisphère (amalgamme solstices, tropiques, hémisphères par nord et sud : petits ronds (haut et bas) inclus dans le grand rond (cercle zodiacal) ici sur les deux schémas).
Le solstice d'hiver exprime la durée maximum de la nuit (dominance de la durée de la nuit sur celle du jour de l'équinoxe d'automne à l'équinoxe de printemps) et le solstice d'été la durée maximum du jour (dominance de la durée de la nuit sur celle du jour de l'équinoxe de printemps à l'équinoxe d'automne), c'est important pour la suite !

Les 2 (doubles) schémas ici de part et d'autre sont essence-ciel :
(aux 2 "S" bien dessinés et destinés, voir page construire un zodiaque)
Ce sont les schémas fondamentaux explicites du passage d'une relation d'opposition différentielle (par les solstices) à une harmonie conflituelle de synthèse (par les équinoxes) avec Singulier (individuel, diurne) en bas, Pluriel (collectif, nocturne -en haut -et fait-mine-un), noter le PS.
Et accessoirement question différenciation Nord-Sud, se remémorer la force de Coriolis.

Bien voir ici dans ces schémas initialement un S se dessiner dans un O comme une alliance sans os entre Ophiuchus et Serpens (deux noms de constellations qui comportent un "p"), c'est de l'inclusivité (OSée ?). OS que l'on retrouve aussi dans SOcle, avec clé, c'est de l'anagrammo-phonologie, autant que dans les cornes qui ornent le Capricorne, là c'est de l'insinuation justifiée (Cf. la dernière image du paragraphe précédent), O & S aussi en début et fin de ObéluS.
Et visualiser le schéma explicite en haut à g. sous le titre de ce blog faisant office d'école informelle d'astrologie et pour rappel ici en plus petit image à droite, voir également plus loin le § 6.

Ésope reste ici et se repose (palindrome). Figuratif ScorPion de l'opuscule Serpent Rouge.
S barré = 8 ?
Les deux "Saint-Jean" -d'hiver et d'été- sont des fêtes placées en marqueurs de solstices. Voir le J (de Jean) au pied droit du personnage central sur le linteau qui S'inGénie à transmettre les directives de l'An Mil, celles de Gerbert d'Aurillac. Aussi à ce titre (et à d'autres) les Gémeaux revêtent ainsi des caractéristiques de dualité, d'effet miroir, de "coalescence", de complicité qui permettent d'affirmer en toute ambiguïté pragmatique que 1 & 1 = 11 (autre référence à l'intercalation ?), ou encore 1 + 1 = 2 ou 1/2 + 1/2 = 1, mais surtout comme 0 & 0 à la verticale = 8, à moins que d'un 8 il ne s'agisse surtout d'un seul 0 (jeune et) vrillé.

Mais déjà les deux schémas ci-dessus permettent d'apercevoir un D dans un O, ainsi qu'un 8 ou un B dans l'un ou l'autre O, tel qu'on les retrouvera plus loin dans une étoile essentielle en voie lactée et d'importance majeure pour le zodiaque dans la constellation du Cygne : DeneB façon TeneT, avec le T hanté des 2xL de cavaLerie qu'il propose en sa division verticale et inversée, voir §5, outre que Bélier et Balance en positionnement d'équinoxe commencent chacun par un B, ressemblant à un 8 (en lecture ornementale) et qu'un double 8 (par 88 j) est tant lié à Mercure (et à son caducée), voir alchimie de Chambord en page Art et Astrologie.

Le D avec sa forme de premier quartier de Lune éclairé par le Soleil ne peut être une forme innocente et se trouve ainsi comme placée sur un Siège Périlleux (voir le paragraphe intermédiaire suivant).

A remarquer le B aLLonGé de ROBERTO sur le linteau de Saint-Genis et où les G sont d'ailleurs si légers qu'ils constituent des SPirales...

Ne pas oublier que la frontière septentrionale du pays de France se situe à Bray-Dunes (initiales B & D) où une raie consiste en la méridienne nord-sud telle Cancer à Capricorne, mais le "unes" au pluriel en suggérerait-elle plusieurs ?

Ci-dessus à gauche le symbole alchimique du SEL (comme Soleil Et Lune), a-t-il été mis en place à Saint-Génis-des-Fontaines à l'occasion d'une éclipse d'équinoxe, aux ides de Mars de l'An 1020, avec 10 moitié de 20 sur une église dédiée à Saint-Michel ?

Toutes les écritures ont commencé avec des rébus, qui sont inclusivement expressions de réalités perçues.

La fête de Noël est aussi un marqueur de solstice, affublé d'un 25, de ces chiffres 2 et 5 dont il sera souvent question ici (voir §7 pour leur total), tandis que Pâques est un marqueur d'équinoxes, nuancé d'une lune ecclésiastique, voir la notion de comput. 25 est aussi le nombre de cases du carré de Mars (aux deux aspects) et la case centrale du carré de Vénus.

(2x15) + (3x22) = 96, inverse du Tao (69) et chat Malo tôt brillant (SchrÖdinger ?) et 21 + 19 + 1 au quatrain qui usa de la case centrale du carré de la Lune indiquant suis à G de gamme ou de game.

CAncer (qu'enserre) et CApricorne (qu'a pris corne), signes des tropiques (référence géographique, initialement astrologique), et CA initiales de Cygne et Aigle, deux constellations tête-bêche en forme de croix (Cygne blanc et Aigle noir ? à voir plus loin), Cancer et Capricorne avec leur initiale C (suivie d'un a) marqueurs de solstices comme Bélier et Balance avec leur initiale B marquent les équinoxes dans un abaissé d'ère (voir à ce sujet La Cène de Léonard de Vinci avec les tropiques tracés au sol, voir page Salses en sCène, d'autant que l'orthographe de Salce (avant Salses) se compose de Sel et C&A, voir également § 6 et page Art et Astrologie). Car CAs sonne le glas de Saint-Nazaire-et-Saint-Celse (Ceint Salse) ?
Liens vidéos, très conseillés à propos des solstices : 🎁 Les solstices 1 🎁 Les solstices 2 🎁 Les solstices 3 (archéoastronomie), voir également plus loin §9.
Noter à propos des schémas proposés dans ces vidéos que si dans l'ère précédente le point vernal se situait entre Taureau et Bélier, les cornes respectives de ces deux animaux du bestiaire zodiacal reflètent les phénomèmes d'arcs indiqués d'un côté et de l'autre (secteur jour dominant ou nuit dominante) comme indiqué dans une des vidéos, tracés d'arcs de solstices "récupérables" en un seul insecte d'eau :
A gauche ci-dessus : 12 (le pendu au tarot) inverse de 21 (le monde au tarot), mais à l'assomme de 33 (à former un 8), et Longueur 2 pour Largeur 1.

Leur(re) secret ? : 2 x 5 + 2 = 12, 3 x 6 + 3 = 21, par HéLèNe deux trois !
PSiittt : Le S nous fait l'honneur d'annoncer le Pluriel en fin de mot au grammatical, mais paradoxalement aussi celui d'être l'initiale de ce mot : Singulier.

Le singulier (?) K du C à deux au début de CAncer et CApricorne de même ? (Phonologie : qu'enserre et qu'a pris corne). Et question de genre l'axe des solstices serait à mettre au masculin avec 1 pour l'axe de référence d'opposition, 2 pour les solstices et 4 quarts pour éléments et saisons, soit le début d'une suite géométrique, où le nombre suivant est le 8 (qui est également membre de la séquence de Fibonacci, en 6° position), ce 8 qui évoque tant une réalité à la fois d'opposition, de dualité et d'unité à en devenir fondamentale dans le sujet qui intéresse ce blog, d'autant que la forme à l'horizontale du 8 exprime des éléments complémentaires (à voir plus loin §8). Image à gauche : un T unitaire sous forme d'un 2 inversé qui cacherait donc 2 "L", à droite deux "D" tels deux moitiés d'un tout comme insinué par l'orthographe de la note DO, et dont la forme évoque le symbole alchimique du sel.

Le nombre 2 s'écrivait II parmi les chiffres romains, et renvoie ainsi directement au 11. A ce propos une lapalissade sera évoquée en § 11°) Dualités et gémellités. Il existe nombre d'amalgames effectués en dualités, parfoi(s) même en ouvrant la voie au trois, exemple : hémisphères nord et sud ouvrent implicitement la notion du concept d'équateur, hémisphères nord et sud assimilables au 6 et au 9, ouvrant la voie rationnelle au sigle du Tao, Cygne et Aigle ouvrant la voix (via la Lyre) au SerPentaire, ou les trémas de Schrödinger à tchater sur un O, comme celui-ci qui manquerait à Le Guerchin dans son Arcadie au deux "en va lyra" (voir plus l'oint), le y étant ascèse édifiant sur ce point (tropique et sidéral, dualité mais synthèse, et sidéral et synodique : dualité aussi ? Voir § 3 suivant).

Autres vidéos à propos de l'archéoastromie et de l'antiquité : Néolithique 1 🎁, Néolithique et religions 🎁, A l'aube de la sédentarisation 🎁 + 🎬
Car tels deux arcs opposés et inégaux tracés en quatre corbeaux de chaque côté du linteau, ils sont bien aussi deux oiseaux au centre sur le linteau, le Cygne et l'Aigle (C & A comme dans CAncer et CApricorne aux directions opposées et tropiques éponymes), comme des Gémeaux qui ne seraient pas siamois (six à mois ? voir plus loin § 6 les axes), d'autant que le Cygne et l'Aigle sur la voûte céleste volent en sens contraire.
Ce qui permet d'envisager une "réunion type gémellaire" en un lieu n-eu-tre : la lyre et d'introduire ainsi le 3 et surtout le SerPentaire (avec 6 & 9), voir en § 9 l'œuf cosmologique.
(CA aussi comme dans CA-i-LL-oux ?)
Image en haut à droite :
Un sens d'Entrée et un autre de Sortie, comme dans un port, s'agissant de navig-ation ? C'est qu'une autre dualité apparaîtra en § 4, celle du rouge et du vert à partir de notions 1 & 3.


Ci-dessous : Et in arcaDia egO-tique à l'indivis-duel, et à Rênes-LeXtao de l'atour noir du petit r(au)que à l'atour blanc du grand r(au)que ou de la tour de vair à la tour Magdala, par le bel-V-éd-ère. Et au cas de la onzième lettre Saturne rond quand 1 et 1 font 11 ou M à lyre in-ver-sés ou tête-bêche façon cygne et aigle comme un losange allongé.
PSiittt : C'est aussi que le pronom masculin IL contient un "i" ressemblant à un 1 et le pronom ELLE contient deux L (comme dans aiLes ?) et deux E ressemblants à un 3 inversé, une suggestion au 8 imagé dans l'introduction ci-dessus et aux r(au)ques ci-dessous ?


- INTERLUDE De 2 à 3

- TER-y-BI-lys LN 2³ à 3² s'exposant de 8 à 9, avec l'UniTé de disette en disserte amère cure, d'un DOuX-bleU ou de la Moi-tié, tel 1 et 2 (le Pendu) ou 2 et 1 (le Monde) Kifons 3 du haut d'un duo, et que sous la case 23 en s'y-métrie 32 se crée terre centrale d'un 9 x 7 (63) à 8 clos qu'en Jup-i-ter CA-P-i-taule 1 au centre (II papesse et III impér-a-trice au tarot) quand 23 X 3 = 69 au Tao, au PIre à 3,1416 Cygne et Aigle à ouïr ne sont oies du Père Igor ni du péri gore :
L.N. 2-3 ou la Lune Noire transite entre 2 et 3 jours dans un signe, soit 2,5 j en moyennne (2,5 x 12 = 28).

Il arrive parfoi(s) que deux côtés ne soient pas égaux, tel le petit et le grand roque ou que l'un des deux puissent en évoquer un troisième comme l'étoile DeneB et son graphisme, autant que la voie lactée s'y divise en deux comme un signe des temps. DOs au mûr et dorsale étiolée du terrain des étoiles :

Hormis l'harmonie des sphères de Pythagore devenue peu à peu obsolète bien que structurante du solfège avec la note Ut (et son code associé) devenue Do, le fait même d'écrire DO (la note) évoque une moitié D suivie de deux mOitiés réunies (comme un œuf), tel un premier quartier de Lune suivi d'une Pleine Lune. Deux lettres permettent ainsi de définir trois moitiés de cercles au vertical, façon axe des solstices. Mais également quand mis à l'horizontale de définir hémisphère(s) et équateur, et d'arborer le symbole du SeL (à g. ci-dessous).

Que le fait d'écrire DeneB puisse être considéré similaire à ce qui précède mais écrit différemment pour les deux moitiés réunies puisqu'ici superposées et dans le même sens que la moitié initiale D, avec "ene" entre, comme entre deux T dans le palindrome TeneT (ou Sator), et à la prononciation N, tout comme les mots Aine et Haine. Le nom de la note Do pourrait ainsi venir de DeneB, avec B de gémellité résumé en O : un seul œuf (lettres = idéogrammes).
Etoile DeneB, étoile des neiges ♪♪♫♫♪♪...
(Et D & B pas débile d'initiales à Dampierre-sur-Boutonne)

Arriverait-il le fait qu'une seule voile actée puisse être l'équivalent de deux autres (*), ou qu'un seul oiseau puisse aussi être en équivalence de deux autres (*), comme la lettre D rivaliserait avec le B de DeneB ou avec le O de la note DO ? Et la note DO grave hors de portée des 5 lignes ressemblerait-elle au symbole alchimique du SeL aperçu dans le dernier paragraphe séparant un espace en deux...à la façon du Do du Milieu pour un clavier musical ? Mais c'est qu'en Deneb la voie lactée se divise en deux. Et quid de l'étoile en DOs de la constellation du Capricorne ? Pour autant Dragon et petite Ourse ne forment qu'un seul cercle puisque la première constellation citée inclut totalement la deuxième.

Poussyvement sur la berge erre l'hébergé d'art caddy au chariot de la grande ourse !
Tarot 18 la Lune, 19 le Soleil : Total 37, ou 7 & 3 entre les deux...
La papesse 2 l'impair-à-tri-x 3 en vertu d'Hélène 2-3 ?

L'étoile centrale de la constellation du Capricorne est Dorsum (Theta Capricorni), un nom proche d'Ormus, un nom qui résonne d'OR-mus-ical tel le système de notation de Guido d'Arezzo, ce langage codé d'origine (entre autres) astrologique (où figure en bonne place Mira étoile principale de la Baleine, noter le MI, comme notion de moitié, comme Michel, voire comme Wilielmus qui contient aussi mus ou sum). Do, Ré, Mi...

OrMus est proche de Horus, hormis que MicHel à Saint-Genis comme au DragOn en rang Do aurait bien dans son ciel M & H à faire le lien ?

DorMus c'est aussi Sum d'or (je suis d'or).
Damnatio Memoriae * :

Si DorsuM ce dos du Capricorne relève de D & M, il révèle aussi "ours", comme une évocation des deux constellations : petite ourse (dont étoile polaire actuelle) et grande ourse. Mais c'est aussi le plantigrade figurant (avec un cygne) sur la salière de Janvier des très riches heures du Duc de Berry (image à droite), et très important pour l'aspect saturnien en décalé (au XV° s) des deux signes concernés par ce mois (image de gauche).

Une salière très astrologique avec deux arcs ou croissants en bas : écliptique (le plus bas) et équateur céleste, et socle en Scorpion. Deux arcs de cercle qui évoquent nécessairement un troisième cercle puisqu'il justifie leur dualité : le cercle de précession (nous sommes bien dans l'interlude § 2 à 3). Noter la présence de deux petits ronds à l'intérieur de la salière, plus à gauche sur cette enluminure de janvier (lien ici) ce seront deux petits chiens tels Sirius et Procyon (noter les S & P). Un mois de Janvier à retrouver à Rênes-LeXTao.

C'est ainsi que la note DO lue de droite à gauche, dans la série nos lettres sont aussi des idéogrammes : O est apte à relater le cercle de précession et le D un formé d'arcs de cercles méridionaux (écliptique & équateur céleste) à la façon du croissant de cette salière, la barre du D ici en haut. De la même façon on retrouve ce croissant formé de deux arcs à Tréhorenteuc (à voir plus loin entre § 6 et § 7). DracO (le dragon, constellation type de la précession) contient DO et arc, c'est comme épeler IAD à l'OD hissé(e) ?
Tandis que la clé d'Ut ressemblerait à une lettrine enluminée B, un peu comme l'initiale commune des signes d'équinoxes. Idéogramme B pour 2 et DO pour 3 moitiés ? (Comme DuponD et DuponT, ou encore Alioth, Alkaïd, Alcor et Mizar du manche de la Grande Ourse, et in arcadia èGO ou egg O ?).
Image de gauche : Pouce de Deneb à Véga et Index de Véga à Altaïr : le triangle d'été néo-isiaque.
Ourse (grande) et Cygne, ces constellations sont tangeantes à la ligne gulus (du Lion) / Dorsum (du Capricorne), noter les notes Do et Ré, pour Mi : Mira, étoile de la Baleine pointée par la constellation des Poissons. Noter qu'avant Do c'était Ut, comme pour occulter une nuance incluse dans DO à ne pas officialiser, y aurait-il un lien à établir avec Remus et Romulus (5 et 7 lettres sans louvoyer) dont les noms contiennent RMUS de DORSUM ? MUS à retrouver dans Wilielmus, c'est le must ?
Nostrada-mus aidant le cheminement (strada) ?
Qu'il faille y voir par D.M. une allusion à l'hébergé de Shugborouh Hall comme un Don Mystérieux ? Autant qu'avec Dis Manibus ?

C'est aussi qu'entre les deux étoiles Régulus et Dorsum (RheDae ?) autant qu'entre la grande ourse(*) et le cygne on trouve en troisième lieu la (ronde) constellation du dragon (DracO, = DO + arc), animal mythique si cher à Saint-Michel, à qui fut consacré la petite abbaye de Saint-Genis. En outre Dragon contient rang & DO).
La grande ourse présentant elle-même Dubhe et Megrez en débords de casserole (image à droite). Mais également Dubhe et Merak dans l'autre sens (Réf. Dame à la Licorne pour la diagonale à 2M : Mégrez-Mérak, avec deux "M" comme dans Marie-Madeleine ou comme dans Mars et Mercure).
Ne pas oublier en ce cas l'étoile Phekda (ou Phecda) qui comporte le P de Pollux, H & e d'Hélène, K de la future division (arbitraire) du carré de Mercure (§ 4 & 5), et D & A à retrouver au § 3.
Petite Ourse et étoile polaire temporaire en ligne de mire aussi ? Très certainement.

Image à droite : la tour MagDala (M.D. + 2 et 3 lettres) à Rênes-LeXTao, remarquer la ressemblance avec Graal, et Malaga dont il sera question au paragraphe V (5) avec Poussin.

Le DO "as-tro-logique", sans redondance ? : Qu'on ne s'y trompe pas, le D représente une moitié de cercle, le O à droite deux moitiés de cercle jointes, donc DO c'est deux moitiés de cercles dans un sens et une dans l'autre, des profils particulièrement bien adaptés aux 3 éléments de l'hiver et leur couleur respective (dont vert D'eau), et au § 3 qui va suivre avec la notion de Lune Noire d'une part et des Nœuds Lunaires d'autre part, ou grand axe périgée-apogée et axe nodal. En effet leurs cycles respectifs de 9 ans et 18 ans, qui plus est ne "tournant" pas dans le même sens sur le zodiaque constituent bien une moitié et un entier (La Lune noire se déplace d'environ 40 degrés par an et sa révolution s'effectue en un peu moins de 9 ans, et le cycle des nœuds lunaires (saros) est de l'ordre de 18 ans et demi).

C'est au XVII° siècle officiellement que la note "ut" deviendra "do", soi-disant pour plus de facilité à chanter de prononciation, mais surtout pour passer de Urbi à Orbi. C'est la DéMo-crazy des mots et des maux.
Jean Lemaire (XVII°) et la note DO en tableau ?

"Nous avons l'art, afin de ne pas mourir de la vérité." (Friedrich Nietzsche)

De l'ombre à la lumière entre UT et DO est-il possible de passer sous silence la Douât des égyptiens, scripturalement inclusive de ces deux mêmes notes avec leur passage : Ut à Do ?

Extrapolation ? : Mais c'est aussi que le fleuve côtier Aude peut s'abrévier OD, comme Ode en effluve, son ancien nom était l'Atax, anagramme de Axat. On envisagera aussi une similitude avec l'Odyssée d'Ulysse par "Aude hissée du Lys", où O & U (Urbi et Orbi) peuvent attendre X pour les 7 pluriels en OUX syntaxiques (!) spécifiques et liés au PeCH BuGaRaCH : Soleil et Lune + les V autres planètes dans le septénaire, toujours le 2 à 3 ? Un Pech Bugarach où au centre on retrouve la Pique Grosse. D'eau (anagramme de Aude) se prononce Do, et l'eau est un des quatre éléments, qui intéresserait le scorpion et avant lui l'aigle ? Daterie à Canigó = Et in arcadia ego (anagramme), et d'autres Do : Dordogne, GAronne, et Gi-ronde : Cordouan.
Vitraux de la chapelle du phare de Cordouan à retrouver en § 11, noter que Cordouan contient doua, suivi d'un n comme ayant remplacé le t, le temps d'un sire qu'on flexe.
Image ci-dessus à droite : Manque les chiffres 1,4,7 de la première colonne du carré initial de Saturne, ainsi amputé au Prieuré de Serrabona, au remplacement acquis sur la tribune jubé ?
Pousse cet inconvénient de l'ambiguïté
Lune Noire avec Lune Nouvelle mais
avec l'avant-age de pouvoir montrer à
l'index le E de 3 façons différentes, c'est
le talent latent d'Hélène mais pas que
et c'est pas clocHe kiffa l'ange...
Trois demi-lunes composent la
note DO, et deux lettres,
dont une qui fait mine un...
comme 2³ + 1 s'éclipse en 3²
Aux erre(s) de lionne ?
DeneB pas DéBile de
de Hue à Dia, jusqu'à Do
qui adoube Doble à l'aube
d'un p-ara-do-X-e ?
mODus operandi, moTUs opérant-i
l'A norme en DIx ? 25 + 13 = 38
et K du C à barres de T
O & D = Soleil et Lune,
19 + 18 = 37 ou 7 & 3 entre eux.
Une syllabe Do à retrouver (bizarrement ?) dans le mot paradoxe (P-ara-do-x-e) qui aurait à voir avec le carré de Mercure ?
Tout comme le O en forme d'œuf (do & feu anagramme) de ce Do pourrait cacher i & a d'une cloche et son battant (Osséja) pour la syLLabe Dia (à retrouver entre autres dans l'expression "à Hue et à Dia").
Au DObleu vaut vert ? (voir plus loin, c'est que DO comme une Demi-lune croissante ou décroissante et un sOleil (ou plus) ouvrirait sur Dia, comme de 2 à 3 lettres))
A propos, le dimanche, jour du Soleil dans le concept de l'étoile chaldéenne (voir en § 7 : les 7 jours de la semaine) se dit bien Sun-day en anglais et Sonn-tag en allemand (en conformité avec la traduction de soleil), mais Domingo en espagnol et Domenica en italien (Diumenge en catalan), cependant que Dimanche (di-âme-anche ou diamanX ?) contient DIA.
Do à retrouver trois fois dans les étapes majeures du processus alchimique : nigredo, rubedo et albedo.
Image à droite : 1 + 1 = 2 oiseaux allant en sens contraire et une Objection de gémellité...ainsi que sur la partie centrale du linteau de Saint-Genis (image de gauche), dans la série : "nous n'allons pas dans le même sens, pourtant qu'issus d'un même œuf", autant que 1 ressemblerait si bien à L comme dans Lyre où le Y évoque une jonction.

DO(s) fin et le Dauphin (D'eau fun, Do-ph-un) à l'endos :

P & H initiales de Pollux et Hélène, les immortels de Léda, mais également P axe central du chrisme et H initiale de Hermès (Mercure, et son caducée).

En rapport avec les images de gauche, ci-contre à droite le même type de "construction" qu'au centre du linteau, noter les aiLes de chaque côté (et leurs couleurs respectives), à rapprocher de la tapisserie de la Dame à la Licorne, à revoir ci-dessus. De plus ici évocation de Jupiter à gauche (Poissons et Sagittaire) et Mars à droite (Capricorne et Scorpion), numéros d'ordre respectifs 4 & 5.

Ci-contre à gauche D & O en 1 et 2 ou 1/2 et 1 (ou la moitié et l'entier), en remplacement de la note UT incluse dans Neptune (reste nepe plus un "n" à inverser, du strident si près du trident ?), 1 et 2 comme une ode au Pendu (12) ou au Monde (21).
Ce sont 33 vert-èbres dans le dos fin de l'humain, et le Vercors dans le Dauphiné (où se situe Saint-Antoine-l'Abbaye). Et DiagOnale contient D & O, mais DOble aussi, que Diable ! Ou quand le D'O-ble(u) fait mine un d'eux par œuf(s). Au DOble ou Au d(ia)ble(u) vau(t) vert sans do-ut-e quand la note Do remplace Ut ?
Ou quand le W (double V) reconnaît 3 V dont un à l'envers (allant vert ?) comme l'est la demi-lune centrale en DO (images ci-contre à gauche).

La seigneurerie du Dauphiné de Viennois fut vendue en 1349 par Humbert II au roi de France Philippe VI de Valois, et l'héritier du trône portera désormais le titre de Dauphin de France.
La constellation du Dauphin occupe une position stratégique au-dessus du Capricorne et proche de l'Aigle et du Cygne, ce qui explique aussi l'acceptation de ce titre par la royauté. Et non loin de la Lyre, à considérer que le Dauphin peut compléter le triangle d'été pour constituer un losange.

Charles-OrlanD de France, Dauphin de Viennois, contient D & O dans son nom.

Contre UT est ruse au DOs ? L'épeler IAD en OD hissée pour le cheval 2-3 à deux aiLes à Lyre aux échecs où git bras le tare ! (Et art-mûr em-portée)

Au fait, Don Quixote de la Mancha et Sancho Panza contiennent D & M et S & P, autant que Schrödinger contient O & D (dont ö à tréma) des personnages à retrouver plus l'oint sur ce blog (et peut-être même pour ce dernier : image juste ci-dessus à droite).

LyS = Luna y Sol, Alchimie du Rebis ?
A droite le lys de Florence où une partie centrale émerge de deux anses de part et d'autre qui la fait ressembler à un trèfle, initialement la fleur de lys était une allégorie issue de l'iris des marais et attachée au royaume de France, mais il y eut cette étrange déclaration d'une autorisation pour 3 fleurs de lys à ces florentins de Médicis, datant du XV°s. siècle (ci-dessous à gauche) :

Qu'on ne s'y trompe pas à ne rien ivoire entre les deux, à DOs d'éléphant ou dans les intervalles listés si lisses et en coins si denses de l'HIStoire en liesse, sans écarter l'épate des accou-tre-ments du flot rance de la pythie, s'agite ter-re en ver de grise à livrer d'hiver quand Sat(o)urne de saison : au nid soit qui mâle y panse.
DO, que l'on retrouve aussi dans cotylédon (cotyle est d'on ou aide on ?), DO également dan DOmme (et templiers), accompagné de deux M comme les initiales de Mars et Mercure ?
- Annexe RLC sous l'éGide Zélée à l'égosillé d'HélèNe 2-3

Important à RLC : K du C de MerCure en 8x8 aux segments 3/8 et 2/5, et les carrés des astres (de 3 à 9), ici avec rectangles naturels associés plus à droite ceux accessibles ou éligibles à la séquence de Fibonacci, et complètement à droite les numéros d'ordre des astres. Les entiers ont des carrés supérieurs d'une unité à leur rectangulaire direct. Noter colonne de gauche total 280 soit 28 x 10 (10=X romain dont la forme renvoie à la notion de diagonales), total au centre 273 soit 10 x 27,3 le "concurrent lunaire" direct de 28 au sidéral. Saunière n'a-t-il pas placé l'évocation d'un K (11° lettres) sous le manteau en haut de la fresque ? Egalement ci-dessus noter la suite 63, 64, 65 ou 6-3, 6-4, 6-5, soit 666 et 345 isiaque (6 étant le numéro d'ordre du Soleil).
13 & 5 et un biais pour 2 L comme ceux de
Longueur et Largeur
13 et 5 comme la case centrale de Mars
et le pentagramme de Vénus
135° comme 3x45° à accomplir par les impairs
Deux et Un ? : Anne de Bretagne fut deux fois Reine de France (ép. Charles VIII puis Louis XII), et deux Médicis furent chacune Reines de France : Catherine ép. Henri II et Marie ép. Henri IV. Autrement : mythologie, histoire d'IO.
- 3°) TROIS CYCLES LUNAIRES et autant d'axes du Chrisme
Tri-ph(r)asé princ-i-pale-ment à propos de l'horloge lunaire et fé-mi-nine bio-logique interne quant aux d'i-vers audible(u)s attr-i-buts de tri-bord à la naVig-ation, pour autant que 111 aux 3 un-i-Tés soit la constante au CArré du Soleil, APpât tr-iad-e en cause aL'OR-s attentive-ment charismatique avec Hermès Trismégiste au registre un-sang-d'hier de L'une et l'autre à deux mains, serpe hantée en ter :
(c'est toujours aussi lourd mais in-dis-pen-sable égale-ment)

- 1°) La Lune notre satellite est indépendante du Soleil pour tourner autour de la Terre. Son cycle à elle (seule) est dit Sidéral de 28 jours officiellement (en fait 27,32 j exactement) soit 4 semaines, cycle hors "intervention" solaire (important) se produisant 13 fois en une année pour 364 jours (noter le 365 -1).
C'est une "horloge purement lunaire" qui sonne (les heurts ?) 13 fois en une année et est liée au cycle féminin, tout à fait admis en astrologie, et pour cause (!). C'est un cycle en Stand-By de fécondation (noter le BS, comme à RLC) et comparable à un tour de grande aiguille (seule) sur une pendule (Lune).
13 x 28 = 364, soit un jour de moins qu'une année complète, et 28 présente l'avantage d'exprimer exactement 4 semaines, contrairement à 27,32 j.
Noter que dans 364 peut être incluse une allusion au 3 (objet de ce paragraphe) et également à 64, le carré de Mercure déjà aperçu plus haut avec ses diagonales et sous-diagonales (et 3*64 c'est une "case" en moins que 3*65).
27,32 x 13 = 355,16 où l'on pourra toujours repérer au centre que 5+5-1=9 pour obtenir 3,6,9 les chiffres du carré de la Lune (ces chiffres formant un V grand ouvert sur une pendule), ou encore que 5 & 5 = V & V = W, tout comme 1 = i, et d'obtenir ainsi le Wi de Wilielmus, en Wi-fi du passage de 3 à 6, soit du simple au double, dans une allusion à ce qui suit de bisbille(s) :

- 1°bis) Mais le soleil éclaire en permanence et la Lune et la Terre, et c'est lui(t) le Soleil qui nous montre la Lune qu'il éclaire. Du cycle purement lunaire, il est loisible (loi-cible d'éclairage ?) de passer à celui dit Synodique (remarquer le "y"), celui du calendrier (NL, PQ, PL, DQ) déjà évoqué plus haut, où le Soleil a rendez-vous (relatif, voir plus loin le cycle draconitique) avec la Lune tous les 29,5 jours pour constituer la notion de Nouvelle Lune (à ne pas confondre avec la Lune Noire, voir ci-dessus).
Il a induit la notion de mois, après arrangement des 29,5 jours en 30, 31 et accessoires en fait vrillé (et du Moi par conjonction théorique Soleil-Lune) -voir aussi §13. Ce cycle synodique est comparable à un tour complet entre superpositions des deux aiguilles sur une pendule Soleil et Lune), à ce titre il est évocateur de fécondation, sa correspondance avec un cyle sidéral lunaire fécondé par le soleil, et devenu alors synodique, c'est l'alchimie Soleil-Lune, l'éclairage du Soleil simil'aire à l'élément feu.
C'est le "VENEZ A MOI"S sous la fresque de Saunière à Rênes-LeXTao.

C'est signe qu'il faut bien rajouter un manche au trident de Nep-tu-ne Posé-i-don, autant qu'un E au genre féminin.


Ainsi déjà noter la possibilité (et la vocation normale) du S de Sidéral à devenir Synodique (par le Soleil 🎬) tout comme pour ces deux "S" la possibilité de rester indépendants l'un de l'autre dans une dualité (et ce ne sera pas la seule sur ce blog), voir également §13. Sidéral et signe de la Vierge, Synodique et signe du Scorpion (VS ?, voir aussi §11).
PSiittt : De sidéral à synodique à suivre après le S on passe d'un "i" à un "y" !
Et quand le sidéral reste caché pour éviter le synodique, c'est le syndrome de la Licorne, voir ci-dessous dans ce même paragraphe.

A droite le cartouche BS de Rênes-LeXTao (Bismuth et Soufre ?), façon 8 et 5 (en pente(s) douce(s)= 13) sous 22 lettres + uNe suggérée dans les plis = 23, comme Hélène 2-3 ou un fuLL au yams ou au poKer ?
Noter que B est la 2° lettre, S la 19° lettre de l'alphabet, total 21 : Le Monde au tarot de Marseille (anagramme = Mira selle ?). Image à droite : Tria Sunt miraBilia ? (*)(*) ou encORe de forme Trivia Monacha ?

A gauche une pendule, 12 écarts de nombres comme 12 signes, une grande aiguille pour la Lune, une petite plus lente pour le Soleil. Il existe bien une similitude avec le zodiaque, voire un phénomène de causalité pour le cadran.
- 2°) Le cycle Anomalistique : La Lune s'écarte de la Terre et s'en rapproche, tout en tournant autour d'elle en 28 jours (cycle dit féminin, en réalité 27,32 j), -mais 28 est plus pratique à diviser en 4 semaines- tout en ne montrant jamais son "derrière" (face cachée), ce qui suppose que sa propre rotation soit égale à cette révolution, et c'est le cas. La Lune ainsi en Périgée (près) apparaît plus grosse et en Apogée (loin) est perçue comme plus petite à voir, c'est le grand axe, induisant la notion de Lune Noire comme second foyer d'une ellipse. Cet axe apogée-périgée est dit cycle anomalistique et transite 9 mois environ dans chaque signe de 30° du cercle zodiacal.
Noter le A de Anomalistique, comme celui de Altaïr (constellation de l'Aigle). Apogée - Périgée, happés dans Aproche, AP-roche (janvier) ?
Encore que cet axe périgée-apogée propose en anagrammes phonétiques : péri-j'ai (ou G), et appeau geai (l'oiseau qui se dé-chaîne aux Bains de fourmiS).

- 3°) Le cycle Draconitique : Parce que la Lune non seulement s'éloigne et se rapproche de la Terre en 28 jours et qu'elle tourne sur elle-même dans le même temps, mais en plus elle monte et elle descend sur et sous l'écliptique qui est la course apparente du soleil vu de la Terre. Et quand elle coupe exactement l'écliptique et que le soleil est aussi au rendez-vous dans l'axe alors peuvent se produire les éclipses de Soleil et de Lune, totales ou partielles, ça le fait deux fois par an pour chacune, suivant un axe dit nodal (de nœuds lunaires : ascendant et descendant).
Noter le D de Draconitique, comme celui de DeneB (constellation du Cygne).

Ce cycle draconitique sert de paradigme ou de modélisation essen-tielle pour la relation Soleil-Lune, à inciter le cycle synodique à devenir la norme, puisque les éclipses de Soleil ne peuvent se produire qu'en Nouvelle Lune et les éclipses de Lune en Pleine Lune, obligeant donc à prendre nécessairement en compte ce cycle Soli-Lunaire du calendrier comme un fondement.
Le terme « draconitique » vient du fait que le nœud ascendant et le nœud descendant étaient appelés « tête » et « queue » du Dragon, animal mythologique avalant le Soleil ou la Lune au moment des éclipses.
Ces nœuds lunaires rentrent bien dans la composition du phénomène de précession dont le cercle entoure la constellation du dragon (revoir § 1).
Le tour complet du zodiaque est effectué par cet axe nodal en rétrogradation ("marche arrière dans le zodiaque") en 18,6 ans (avec des chiffres similaires à ceux du nombre d'or et une virgule entre 8 et 6 qui insinue le 7 pour un 17, voir plus loin le § du même nombre).

PSiittt : Les deux axes karmiques (Draconitique et Anomalistique) sont-ils des "externalités négatives" (aux nouvelles et pleines lunes "ordinaires") ?
Ou alors L'IDEAL serait-il l'inclusivité de A & D auprès de I & E (à réunir en un 8) dans une cavaLe Liée entre deux aiLes ? Ces trois cycles sont omniprésents sur le zodiaque, et pour deux d'entre eux (A et D) déterminent la base de l'astrologie Karmique (voir page astro-karmique). Ils figurent tous trois également en diagonale sur l'oriflamme de droite sur la tapisserie de Dame à la Licorne (ci-contre et voir page Art et Astro). Le K sera à retrouver plus l'oint, avec Mercure, son carré, son caducée.
On retiendra outre ces deux cycles A & D ces deux notions proches phonétiquement : ellipse et éclipse, mais aussi Anomalistique pour Anomalie(s) et Draconitique pour Dragon (et constellation éponyme, voire également en astrologie chinoise l'animal mythique autant que l'évocation de Saint-Michel en Occident).

La représentation ancestrale de ces trois cycles serait la ceinture d'Orion, sur laquelle auraient été calquées les pyramides de Gizeh. Noter que la diagonale d'Orion (de Rigel la bleue en bas à droite à Bételgeuse la rouge en haut à gauche, image de gauche) se prolonge ensuite vers les Gémeaux, en traversant la Voie Lactée en un point précis aux pieds de ceux-ci dont les jambes évoquent (déjà) pour l'un un trapèze (Pollux) et pour l'autre un triangle (Castor). La constellation de la Licorne est située sous celle des Gémeaux et entre Procyon et Sirius, juste à côté de celle d'Orion.

Image de droite : la tapisserie de la Licorne Captive, remarquer les lettres A et D (dont 3 pour cette dernière) entourant un losange régulier où passe un arbre gêné à logique avec A et D à rapprocher de cAput-cauDa (et pourquoi pas de Acapulco...), mais beaucoup plus certainement de Anomalistique et Draconitique, afférant aux deux axes karmiques (voir ci-dessus).

Objection A & D : Algedi (α Capricorni), « l’Enfant » en arabe , brillante à l'est dans la constellation du Capricorne, et à l'ouest c'est Dabih (β Capricorni), ainsi on retrouve A & D dans les extrémités est-ouest de la constellation du Capricorne, et Algedi (l'enfant) est aussi nommée DeneB, à la façon de la constellation du cygne. L'étoile centrale de cette constellation (Theta Capricorni, ou Dorsum) est très proche de l'écliptique (en léger extérieur) et fait le pendant du Lion (Régulus), voir la tapisserie de la Dame à la Licorne. (Rappel : Anomalistique-Draconitique, Algedi-Dabih, Altaïr-Deneb, et sans oublier Dorsum et Antarès -voir carte-image en fin du § 5)
Au hasard A & D comme Alexandre Dumas, ou comme D'Artagnan apostrophé d'un chrisme à trois axes dont P au centre : Ara-Miss, Porthos, Athos ?
Le terme Kadi (Qāḍī) -et in ar-cadi-a ego ?- contient aussi A & D...
Mais A.D. = Anno Domini
La Licorne apparaît comme un dérivé du concept de chrisme (aux trois axes, image de droite) et marque le propos de la virginité. Elle est tout à fait fondée à partir du "qu'a Pris corne", surmonté du petit cheval (constellations), échaffaudage pointant (via le Dauphin) vers le cygne, lui-même par son aile gauche membre de la "communauté des étoiles polaires" ou cercle de précession autour de la constellation du dragon, évoquant la grande année platonicienne. L'ensemble Capricorne, Petit Cheval et Dauphin fait face à la constellation du Lion, affublée d'Arcturus, en référence au zodiaque annuel seulement (écliptique), mais plus précisément :

L'unicorne est formée de deux axes torsadés telles des cornes allongées d'un Caprin (Capricorne) s'enroulant autour d'un troisième fictif à occulter et qui doit le rester temporairement ou définitivement.

Ces deux axes sont constitués de l'axe nodal (luni-solaire, éclipses) et le grand axe périgée-apogée lunaire et ils évoquent le caducée de Mercure, notion reprise dans le donjon de Chambord avec l'escalier à double révolution.
Le troisième axe est celui sidéral de la Lune (uniquement lunaire) et il doit rester sidéral et surtout et caché pour ne pas devenir synodique (soleil + lune (calendrier) = fécondation, non-envisagée - lune jamais "pleine"). C'est donc la faculté de création féminine qui est ainsi mise en veilleuse, en fiction et donc symbole de virginité. Noter que l'étoile princiale de la constellation de la Vierge est Spica Virginis, où l'on retrouve SP et CA (autour d'un "i").
C'est peut-être aussi avec la licorne le moment de se rappeler que le moi(s) de fait vrillé (!) est composé de 28 jours (parfois 29, une foi(s) sur quatre), le chemin de croix dans les églises étant composé de 14 stations. Le mythe de la fécondité est un des plus anciens de l'humanité, c'est devenu un rituel. L'unicorne est également en soi une évocation phallique.
Image à droite, d'un côté Lune seule et de l'autre Soleil et Lune en nodal : les trois grâces, le chrisme, tel le massif du Canigó ?

C'est tout le charme du langage médiéval en lecture ornementale, à la foi(s) métaphorique et à valeur figurative...


Le symbolisme céleste est extrêmement vaste et revêt une importance cruciale dans la majeure partie des civilisations et des religions. Dans de nombreuses cultures, la manière dont le ciel est appelé constitue une évolution symbolique directe du dieu ou des dieux. Le ciel est le lieu divin, un « surmonde » réservé et opposé à la terre. Le ciel participe ainsi du symbolisme de la verticalité (l'A-vert-i CA-lité ?) dont il est l’extrémité du mouvement ascendant.
Nombreux sont aussi les symboles qui mettent en relation sur cet axe vertical le ciel et la terre et signifient la communication entre l’humain et le divin : l’air, l’arc-en-ciel, l’arbre, l’échelle, l’oiseau ou encore la tour.
La lyre est en revanche l’image de l’harmonie divine unissant par sa mélodie ciel et terre. Pour les chrétiens, les anges sont les intermédiaires privilégiés entre les cieux et les hommes. Le ciel est donc un lieu sacré. Le ciel peut être symboliquement représenté sous la forme d’une demi-sphère, d’une coupe renversée, d’une coupole (églises byzantines), d’une voûte (symbole du firmament dans les églises occidentales), parfois d’une cloche, etc.

Mais dans le sujet qui nous intéresse, la connection pragmatique avec l'astrologie est évidente (d'autant que la Lyre est une constellation) :

Wilielmus fut le génial opportuniste d'une éclipse retranscrite sur la façade en arc outrepassé à Saint-Genis, car il arrive que les trois cycles soient conjugués (Anomalistique, Sidéral, Draconitique lunaires) ici précisément en vernal sur l'équateur où le soleil s'invite pour le quatrième (Synodique) à provoquer une éclipse de Lune de Sang :
L'Apocalypse de Saint Jean dans la Bible : dans le chapitre 6, il y décrit "un grand tremblement de terre, et le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière parut comme du sang, et les étoiles tombèrent vers la terre".

Sur le linteau seront reprises ces données alchimiques émanant de particularités astrologiques, ainsi que sur la façade entière de Saint-Genis.
C'est ainsi que Wilielmus écrit son nom à l'envers sur le linteau, en évoquant à la foi(s) les sept astres du septenaire, les deux axes lunaires, et ainsi les 9 critères principaux d'un thème natal :
Antérieurement le 26 févier 1020 avait eu lieu une éclipse partielle de soleil vers midi (méridien adéquat Perpignan) bien visible depuis Saint-Genis des Fontaines, à situer dans le signe des Poissons.

Wilielmus célébrait-il ainsi l'équateur, qui divisait la sphère planétaire reconnue comme telle en deux hémisphères : nord et sud, tel le symbole alchimique du sel (Soleil et Lune) ? (à gauche ci-d(i)ssous)

On remarquera sur le linteau trois groupes de trois (gauche, centre, droit), le 39 constituant un critère commun à Mars, Vénus et Lune, autant que 9 est le nombre de lettres de Wi-liel-mus (en 2-4-3) et aussi nombre de cases du carré de Saturne (en 3 x 3). Le groupe de droite (W sur le i) évoquant le chrisme. A noter pour Mars et Jupiter, tous deux en "L" et en aiLes, leur importance dans l'astrologie chinoise; c'est bien signe qu'autrefois existaient de façon intense des échanges commerciaux et donc culturels entre l'Orient et l'Occident. Mais Jupiter et Mars ont aussi à voir avec deux "L" dans le sujet qui nous intéresse à l'occidentale : la Lyre et la marche du cavalier d'échec. Noter la ressemblance entre le symbole du sel à gauche et la lettre theta (capricorni ?) à droite. PSittt : 25 + 39 = 64 (+ 5 = 69), soit les trois personnages de gauche au linteau.

Extrapolation sur les trois cycles lunaires : Comme des anneaux borroméens, ils forment à l'unisson (!) une triade pour Hélène de Troi(s) (pratique pour la consonnance LN de 3, avec ambiguïté sur Lune Noire et Lune Nouvelle) et comme autant de branches d'un trident de Neptune ou de têtes de Cerbère, ou comme des tableaux des trois grâces - une si belle Hélène étant si proche de Séléné (d'étroit) avec la consonnance "aine" si proche aussi de Onenne, un nom qui contient 3 "N", voir divers § plus loin (5,13). Ce 3 renvoie nécessairement aux 1+2 et 2+1 de la marche du cavalier d'échec, comme il sera vu plus loin, également aux arcanes 12 et au 21 du tarot.
La Lune et bien que le féminin soit lié au nombre 3 -voir plus loin : CVP ou CUP, signes d'hiver et tribord- n'a cependant pas le monopole du 3 puisque c'est aussi la racine du carré de Saturne ou son numéro d'ordre et que 111 est la constante du carré du Soleil, outre une autre trilogie plus alchimique en trois lettres : S-M-S (Soufre, Mercure, Sel) conjuguée alchimiquement comme telle par le duo Soleil - Lune.

PSiittt : Cependant que le Soleil n'ayant qu'un cycle (l'écliptique) et la Lune trois cycles conjugués, il peut sembler logique d'attribuer le 1 au masculin et le 3 au féminin (1 & 3 font 13, à la foi(s) Lunaire et Martien, voir plus loin). On retiendra également le S de Soleil semble bien dessiné pour évoquer deux solstices (carte du tarot ci-dessus en § 2), et le L de Lune le déplacement du cavalier en cavales liées à 1 & 2 ou 2 & 1 (= 3 dans les deux cas) sur l'échiquier, voir plus loin également (§ 13 entre autres) et autres pages de ce blog.

A noter que 3 à l'envers (en symétrie horizontale) c'est Epsilon, ayant pour anagramme Sinople, voir ci-dessous. A repérer aussi que sinople et le poisson sont presque anagrammes, différence o & s comme Ophiuchus et Serpens, et le signe des Poissons est un signe d'eau (vert).


Retour au basique élémentaire des trilogies facilement perceptibles pouvant faire l'objet de spéculations néo-intellos sur un plan Karmique. Car le 3 se retrouve sur d'autres terrains ayant trait à l'astrologie, composant avec les trois couleurs primaires et les trois états physiques de la matière :

- 3 couleurs primaires (excluant le vert, secondaire), afflilées au printemps pour les éléments : Feu (rouge), Terre (jaune ou ocre), Air (bleu) respectivement pour Bélier, Taureau, Gémeaux (image de gauche), leur point commun est le "G" des teintes à l'ancienne : guède, gaude, garance, pour bleu, jaune, rouge.

- 3 états physiques de la matière (l'amas tiers, à tri-bord) : Solide, liquide gazeux, transcrits Terre Eau, Air en éléments, "privilège" de l'Hi-ver (H comme Hélène) pour les trois, et dans le désordre de la séquence zodiacale : Capricorne, Verseau, Poissons -initiales CUP- (voir schéma-image ci-contre à droite et son commentaire, ainsi que § 4 plus loin). Bien noter hiver où Ver-seau et "i" vert (1 & 3).


Ces 2 x 3 notions sont importantes pour la suite (voir § 4), et surtout à retrouver sur les arcanes du tarot.

Le "vert" -élément eau- se trouve de fait exclu des trois couleurs primaires puisque c'est une couleur secondaire, et le rouge -élément feu- se trouve lui aussi exclu mais des trois états physiques de la matière puisqu'il n'est pas qualifiable comme tel, et bien qu'il soit sous-jacent dans l'idée des mutations : 0° & 100° (cent, comme sang - rouge aussi), et sans (!) être vraiment présent mais sous-jacent (!) comme intermédiaire annoncé, tout juste ainsi insinué comme catalyseur.

Le rouge et le vert, ces deux exclus chacun à leur façon -ça peut créer des liens- vont précisément constituer la base des feux de navigation dans un chenal façon point vernal imparti en astrologie mais également sur les coques au tra-vers des émaux d'héraldique. C'est ainsi qu'un V est inclusif de 3 "composants" façon étraVe : une pointe (en Vernal) et deux flancs, un en Hivernal (H comme Hélène), l'autre en Printanier (P comme Pollux).
Ce V en Vernal est aussi celui qui sépare ou allie en pointe 25 et 33 sur le carré de Mercure (voir § 8), 25 + 33 = 58, où 5 + 8 = 13.


N.B. : La constellation des Poissons est aussi en forme de V (comme une étraVe), pointé vers l'étoile Mira de la baleine (voir §11).


A noter (au hasard ?) que le vert est la couleur convenue (par bon sens au naturel) des végétaux (chlorophyle) et le rouge (hémoglobine) celle du règne animal. Mais également que la consonnance vert est aussi celle de verre (coupe-graalesque ?), de vair (Cendrillon), de ver, de vers (direction), la première syllabe de Verseau (vert seau, vair seau ou sot, verso), la seconde syllabe de hiver et la première syllabe de vernal. La couleur verte est traditionnelement attribuée à Vénus et "son" métal le cuivre s'oxyde en vert-de-gris.

Egalement la couleur verte se nommait autrefois prasine (vert poireau), puis est devenue sinople, un nom dévolu auparavant à une teinte rouge (!), outre les S & P à retrouver plus loin avec le SerPentaire, mais également initiales de Singulier et Pluriel, respectivement comme pour les 2 groupes (bas et haut) des 6 signes du zodiaque, voir plus loin en § 6.

Sur les arcanes du tarot (et ils sont présents sur cette page), le vert est peu présent, il est distillé comme une évocation (alliance entre Jaune et Bleu, Gaude et Guède) de la faculté d'une création.
Car c'est au V-Air sceau essence ciel de l'hi-ver que l'é-troi-t de la maTière fait mine un ?

Repérer aussi les "transactions" vert-rouge sur le zodiaque, et outre Poissons / Bélier en Vernal : Cancer / Lion et Scorpion / Sagittaire et leurs métaphores respectives, voire aspects féminin-masculin.


De l'importance donnée au "trident" des cyles lunaires en occident : à gauche par l'Abbé Théophile Moreux, directeur de l'observatoire de Bourges aux XIX et XX° siècles, et bien avant lui par Wilielmus, prieur à Saint-Génis-des Fontaines au XI° siècle (image de droite). Ces trois cycles forment également la "transparence" qui traverse le Château de Vaux-le-Vicomte et notamment son grand salon ovale aux cariatides zodiacales (voir §18).

Et à propos du tricoloriable : cette vidéo en lien🎬 (attention c'est ardu). Les trois cycles lunaires seront à retrouver à nouveau en § 13.

Extrapolation : Les éléments respectifs attribués à ces deux couleurs (feu et eau) sont en opposition solsticiale (nord-sud) sur le carré de base chinois Luo-Shu, similaire à celui de Saturne en occident (correspondance numérique 1 - 9 mais couleurs noir et rouge ou tortue et phénix) -voir page carrés structurels astro et astrologie chinoise- avec antagonisme maximum dans les deux cas : nord-sud et 1-9, en effet ces deux éléments eau et feu sont aussi communs à la foi(s) aux 4 éléments à l'occidentale et aux 5 agents à l'extrême orientale outre l'agent terre mais avec son "pacte" particulier de déploiement façon svastika d'intersaison(s) - voir page astrologie chinoise et image en bas de ce paragraphe.

Il est à considérer que le mot GRAAL est inclusif en son centre de ces trois lettres AAR formant le mot ARA, que l'on retrouve dans ARA-Mis(s)... Le 3 appelle les 4 et 5 pour la dimension isiaque, et c'est justifié par les 3 x 45° (des impairs) sur le carré de Saturne, lequel est lui-même assimilable au carré Luo-Shu.

Coefficient 3 pour impairs (mère ?), coefficient 1 pour pairs (père ?), de quoi mettre sur son 31 la case 13 centrale du carré de Mars et même d'introduire le 4 du paragraphe suivant par 1 plus 3, comme la plu-par-t des chiffres à dis-position seraient capables d'offrir des justifications palpables pour l'esprit et apparemment fondées ?
C'est pas plus que l'art rouX qui tourne, avec deux auXiliaires : Etre et Avoir (mêmes initiales que Eau et Air =OR) et 3 & 1 en PA-on d'Or ?

Ci-dessus à gauche image (cliquable pour l'agrandir) : la façade de Saint-Genis des Fontaines et son Perron d'entrée à 3 niveaux pour la mise en place de la Lune en scorpion trois jours après l'éclipse. La constellation du Scorpion contient elle-même trois étoiles à l'ouest d'Antarès pour la tête et les deux pinces (ciel des soirs d'été).

Et comme dirait la Señora Conchita Vé'las'qu'ez de la Benz'ina à sa bonne co-pine Dona Maria Mercédès del Carb(o)urad'or à inyección : une étoile à 3 branches c'est pour la prédominance sur Terre, Air, Mer (ou eau), sans tam-tam.
D'ailleurs le problème mathématique sur un nombre à 3 chiffres pour obtenir une des constantes de Kaprekar à 495 ne consiste-t-il pas à élever au carré un chiffre central comme issu d'une perspective isiaque ?

Des trilogies :
Trois abbés réputés sulfureux mais géniaux : Saunière, Gillard, Moreux.
Trois psys avec chacun sa particularité : Freud, Lacan, Jung.
Trois ordres de réalité de Pascal : Le Corps, l'Esprit, le Cœur ou la Charité.
Trois signes d'hiver : Capricorne, Verseau, Poissons.
Aramis (ara miss), Porthos, Athos, ils sont trois comme les axes du chrisme. Noter le H pour les deux derniers.
Le quatrième est D'Artagnan, noter le D'A mais aussi GRAA, où manquerait un L, remplacé par un T et 2 N.
T et N comme dans Thanatos, lequel comprend alors 2 T et 1 N tel TeNeT, et incluant lettres et consonnance "Athos". Outre que Portos et Athos finissent par les initiales de Ophiuchus-Serpens ou le SerPen-taire (de même final que mousque-taire) et débutent respectivement par P & A, initiales de Périgée et Apogée...Lunaire, ces P & A à retrouver dans Paon où vient se greffer un pronom indéfini : "on".

Les 3 tests d'une largesse de la boîte de Pandore :

Que les 1 et 2 (au total 3) se trouvent liés au dé-but sur le carré de Saturne (comme sur tous les autres carrés d'ailleurs) en Stand-By comme dans l'arcane 12 au tarot, ils se retrouvent in fine en L comme dans l'arcane 21 (et dans l'arcane 14 également, sur ce dernier on appréciéra la couleur des vases "communiquants"). Boîte de P'Andorre à retrouver chez Le Guerchin sur son tableau "Et in arcadia eg-O", façon Arcadie et Art Cadí..., c'est le premier test, les deux autres c'est avec Poussin V1 et V2 même formule latine.
A droite : alchimie d'une triade façon Cerbère,
- Mercure à gauche (principe Féminin),
- Soufre au centre (principe Masculin),
- Sel à droite (union des deux).

- INTERLUDE 3 à 4

- Mousse que taire du triskèle au svastika sous l'égide d'Hélène de(ux) Trois, à huits clos Kiss aise à n'œuf où DO case ver-sant d'égos épi-neux un 88 gémeLLaire, au CAs où 12 et 21 fonde-raient un 33 christique, du 3 de Saturne au 4 de Jupiter vers le V isiaque, en pas-sant par là Mercure ass-em-blant les dua-lités en élégance de gémellité :
ET IN ARCADIA EGO avec L N 2-3 et d'après la dalle de Blanchfort : Mercure 88 jours (87,97 jrs en sidéral exactement) mais aussi 2x8 pour le sceau de Jupiter, d'autant que 12+ 21 = 33, + 65 = 98 chiffres 9 & 8 ou 3² et 2³, à 88 + X avec la place exacte à insérer un los-ange au centre entre les deux 8. Huit caractères de chaque côté et caducée de Mercure (8x8), sur 6 lignes et carré du Soleil (6x6), 8 d'analemme solaire. Noter le C (de forme lunaire) devenu X (entre autres modifications de Blanchefort, mais la seule bien palpable ici). Noter que le losange se situerait où 6 et 5 lettres sont inscrites deux fois. La première ici pour la mutation de 8 à 9 et la seconde pour celle de 5 (V) à 12 aux carré et sceau de Jupiter. Les différences ? 9-8 = 1 et 12-5 = 7, soit...17 (voir le paragraphe 17). Deux huits ci-dessus à relier d'un trait par le centre évoquerait un H, celui d'Hélène 2³ (pour 3²-1), et celui d'Hermès trismégiste autant que quatres ronds pour quatre saisons.


Et une justification du caducée de Mercure. Chargé d'une "osmose" jupitérienne entre Mars et Vénus.

Dans le carré du Jupiter (ci-dessous à gauche) 5,8,9,12 restent à leur emplacement d'ordre naturel, et 2,3 ainsi que 14,15 se trouvent inversés. Autrement dit 16 ares sur ce carré, où biais de 8 à 9 ("moulée à N'œuf au jour d'Huît-re") est particulièrement intéressant à relier à 2 & 3, puisque 8 = 2³ et 9 = 3².
D'autant que le Scorpion est le 8° signe du zodiaque, le 9° étant le Sagittaire, ces deux signes étant bien concernés par l'Aigle de Saint-Jean. Voir également le biais ci-dessous à gauche entre ces deux chiffres sur le sceau de Jupiter. Noter également à propos de ce sceau et de ce carré de Jupiter la suppression des 16 et 12 (total 28 lunaire) dans le carré de Subirachs pour arriver à une constante de 33 au lieu de 34 en les ayant remplacés par 10 et 14 (total 24, une unité inférieure au carré de Mars et à la case centrale du carré de Vénus).
HéLèNe 2³ ou 3² s'imposant à la tribune jubé du Prieuré de Serrabona dans un carré de Saturne tronqué de sa première colonne ?
1 & 3 pour 13 et bâbord-tribord,
1 élément feu maître de l'éTé,
face aux 3 éléments de l'hi-ver ?
Lune de trois visages,
attendant l'autre ?
2 x 8 de chaque côté aussi, et
comme une échelle au centre,
Michel et mi-échelle,
et caducée de Mercure
OCRVXAVES - PESVNICA, en 9 & 8 lettres (pour O CRUX AVE - SPES UNICA, en 1,4,3,4,5, où le deuxième 4 est "entamé" par le 3 de la première formule à constituer un ensemble de neuf, ce qui permet de faire une sorte de césure à "valoriser" S & P, autant que O & S et P & A (SOAP ?). On aura aussi remarqué l'utilisation du V (5 romain) au lieu et place du U, voire proche du X (10 romain).

- 4°) LES QUATRE ELEMENTS, sous vent à 1 + 3 très enrobés
Saisons bien tranchées à C'Ara-meli-ser d'un en-tier d'année solaire fiXé à résoudre un é-troit conflit ou confit d'in-té-rêt(s), et Véraison à poireauter en vraie raison :

2 et 2 (2+2 comme 2x2) sont égaux comme 22 sont les arcanes majeurs du tarot, cependant si le premier 2 provient du rajout d'une unité au 1 et si le deuxième 2 provient d'un retrait d'une unité au 3, seront-ils en-corps égaux dans une telle différentiation et pourtant qu'il le faille, sans faille ?

Conflit de forme et de teinte prasine qu'on fit varier, et conflit entre 1 et 3 pour un confit de 4 in fine.
Les Quatre éléments : s'agit des Feu, Terre, Air, Eau (et distribués trois fois de suite dans cet ordre sur le zodiaque dans le sens horaire) avec toute l'alchimie antique et médiévale qui les accompagne, qu'elle soit basique et réaliste ou d'ordre plus imaginal mais où seuls 3 éléments déja évoqués plus haut (donc hors feu) correspondent effectivement à des états "ordinaires" de la matière (solide, liquide, gazeux), et où l'élément feu permettrait les mutations et où le PlaSma serait à relier à un cinquième élément : la Quintessence ? Mais déjà Eau (O) et Air (R) évoquent phonétiquement l'OR - s'agissant aussi des éléments respectifs des Poissons et du Verseau, et dans le sens de la précession des ères.
Alors qu'il faille ici évoquer les notions de Nigredo, Albedo, Citrinitas, Rubedo dans des processus donnant lieu à toutes formes de spéculations intellectuelles ou symboliques, philosophiques voire spirituelles, et qui ne basculent pas directement dans l'objet de ce blog.
Quatre c'est un chiffre qui ramène aussi par 2 + 2 ou 2 x 2 au mythe de Léda (PSiittt : "NEC PLURIBUS IMPAR" fut la devise de Louis XIV).

Ce mythe de Léda et le Cygne intéresse l'astrologie à plusieurs titres :

Résumé : Léda est la fille de Théstios, Roi d’Etolie et sa femme, Eurythémis. Elle est mariée à Tyndare, Roi de Lacédémone.
Zeus veut s’unir à Léda et demande l’aide d’Aphrodite : cette dernière se transforme en aigle, et Zeus en majestueux cygne : une poursuite commence, et Léda, à la vision du Cygne terrorisé par la présence de l’aigle, ne peut s’empêcher d’accueillir le cygne dans ses bras, lequel en profite pour s’unir à elle. Mais le même jour, Leda avait aimé son mari, et deux œufs résultèrent de ces unions, chacun contenant deux enfants : Castor et Pollux et Hélène (de Troie) et Castor et Clytemnestre. Pollux et Hélène étant considérés comme des demi-dieux, donc immortels et Castor et Clytemnestre simples humains et donc mortels.
Lien vidéo dalinienne 🎁 ici.
(PSiittt : deux œufs, un peu comme les melons de Dupond et Dupont).

- Tout d'abord et outre l'allusion à l'aigle et au cygne, ils sont quatre comme autant de saisons, et comme les saisons sont liées deux par deux (deux saisons à suivre chronologiquement ou/et deux saisons en opposition).

- Les deux demi-dieux Pollux et Hélène commencent respectivement par P comme Printemps (et P comme dans le chrisme), et Hélène par H comme Hiver, mais aussi de consonnance LN comme Lune Noire.

- Accessoirement les deux autres Castor et Clytemnestre ont C pour initiale, à la forme d'un croissant de Lune. Et que Castor autorise ce calembour : case tort ou tord, tout en commençant par CA (comme CAncer & CApricorne).
S'agirait-il de la fameuse case 33 de la page carrés astrologiques, où εpsilon et 3 forment un 8 navré de haut en bas ?

- Les deux dioscures y sont présents : Castor et Pollux, de la constellation des Gémeaux, et du signe éponyme. Outre que Pollux contient deux "l" comme 11 (intercalation) contient deux "1" et que cela aura à voir avec la constellation de la Lyre, qui forme avec le Cygne et l'Aigle le triangle d'éTé. Le Cygne et l'Aigle tous deux en forme de croix seraient ainsi jumeaux d'autant que situés chacun sur une branche de la voie lactée qui se divise en deux en Deneb (image de droite), de plus celle-ci est initialement partie de la constellation de la Licorne (voir page voûte céleste) au pied de la constellation des Gémeaux.
Une Licorne "tressée" à relier au caducée de Mercure ? Cygne et Aigle ont pour initiales CA, comme CAncer et CApricorne, gémellité aussi des sostices ? Après l'Aigle, une branche de voie lactée ira rejoindre le zodiaque (en Sagittaire) et une autre par le Cygne ira rejoindre le Serpentaire (constellation Ophiuchus et Serpens image de droite, en bas à droite).
A ce stade et sur un plan métaphorique il convient de ne pas oublier que notre ère actuelle a une constellation de référence constant en deux Poissons inégaux de taille et reliés par la queue, lesquels font face au signe de la Vierge, ce qui sera développé plus loin et notamment dans la page Navig-ation.

Le Tétramorphe, figure à la fois cosmique et chrétienne, les quatre éléments :

– Le premier être vivant ressemble à un lion,
– Le deuxième à un jeune taureau.
– Le troisième a un visage semblable à celui d’un être humain,
– Le quatrième ressemble à un aigle qui vole.


Tétramorphe, Apocalypse de Jean (4, 7-8)


Le Lion de Marc, le Taureau de Luc, le Verseau de Matthieu, L'aigle de Jean..., celui qui fut "remplacé" par le Scorpion vers l'An Mil. (Caput - Cauda, et l'Aigle devint Scorpion, le bec = un dard, deux serres = deux pinces, deux aiLes = huit pattes n'ombre d'échiquier (en 2 x 4) et aux 2 L sauts de cavalier...et roques). Aigle de PatmoS et calembour de ScorPion : ce corps pion.

A ce stade il convient de se remémorer les 4 éléments avec leurs items et leur couleur respective attitrée, mais aussi de forme en idéogramme de lettres, voire d'un chiffre romain (qui plus est aux couleurs de Vénus), sans négliger les signes concernés dans le zodiaque par chacun d'eux, arbitrairement ? : (items ci-dessous séparés comme par des diagonales. Le bleu et le jaune (ou ocre) peuvent s'associer pour créer du vert, là est l'arraisonnement du bâbord (rouge, feu) et tribord -vert, eau, complété par les bleu et jaune au potentiellement vert-mer-e => 🎃 ?)

Très important ce schéma ci-dessous à droite, c'est le code astrologique de base avec formes et couleurs de chacun des 4 éléments en 1+3 :. "Toutes les écritures ont commencé avec des rébus" (Silvia Ferrara, Université de Bologne - Session Inscribe)

On observera sur le zodiaque que chaque saison concerne trois signes donc trois éléments et que le quatrième élément manquant se trouve toujours au centre de la saison d'en face, dans le signe fixe de saison (à la façon d'un Trèfle de dess(e)in, et au plus évident de Lion à Vair-seau, voir plus loin).
A observer ici également la "cission vernale" entre le rouge (Bélier) et le vert (Poissons), où seul le vert se prolonge d'Air et de Terre (toujours 1 et 3).

Image (ou photo) à droite, un des personnages clés de Rênes-LeXTao : la Comtesse de Chambord, dans une saga royaliste de la seconde partie capitonnée du XIX° siècle en France. Image à mettre en rapport avec celle ci-dessus à droite, et avec la constellation de la Lyre.
Et ce n'est pas la Comtesse de Cagliostro.
Non plus que l'acompte S (de Solstices) ?

La dame de pique (pas lasse)
est la seule de profil ! (pro-fil)
Mais le froid est par-fois si piquant !
Serpent vert (et diagonale)
Spiritus Mundi (XIV°s)
Ci-dessous le vitrail (zodiacal) en o-cul-us du fond de l'église de Rênes-LeXTao, il s'insère dans la voûte cé-leste du choeur en chevet à aBSide :

Elément - (signe fixe) - Tarot - Cartes - Ordre médiéval

- Feu (Lion) => Bâtons => Trèfles (Tiers état, paysans)
- Terre (Taureau) => Deniers => Carreaux (marchands)
- Air (Verseau) => Epées => Piques (Noblesse)
- Eau (Scorpion) => Coupes => Cœurs (Clergé)

Précision : d'après certains auteurs le feu serait Intuition, la terre Sensation, l'air Pensée ou Intellelect, et l'eau Sentiment, on notera le fait de pouvoir y trouver ISIS par les initiales.

Descartes aurait-il pu affirmer que chaque couleur des cartes ressemble fortement à un idéogramme élaboré à partir de chaque élément d'origine astrologique à en développer par suggestion la potentielle fonction ?

PSiittt : Rouge et Noir : Feu et Eau, Masculin et Féminin, 9 à 1 verticale au carré de Saturne et au carré Luo-Shu (où dans ce dernier 9 feu & 1 eau). Le point vernal (équinoxe de printemps) étant aussi entre Feu (Bélier) et Eau (Poissons), à en établir une référence d'opposition (en 25 et 33, voir §8). Noter la forme de chacun des motifs des cartes, notamment le carreau évoquant un losange (à retrouver autour de la case 13 dans le §5 qui suit).
N.B. : 4 est aussi le numéro d'ordre de Jupiter, tout comme un K (11° lettre) peut diviser l'aire d'un échiquier en 4 (exposé à 2 figures similaires et 2 autres), et paradoxalement à le faire "exploser" en rectangle version Fibonacci, à deux composantes de type isiaques en raboutant de façon contiguë les figures différentes deux par deux autour d'une diagonale, voir § 11 & 16 et plus loiN et page carrés.
Ci-dessus à gauche le K divise arbitrairement l'échiquier en deux triangles et deux trapèzes (en limite de case 25), respectivement à 3 et 4 côtés, deux chiffres qui "appellent" le 5 (voir §12), remarquer la ligne de séparation (diagonale) des figures similaires -triangles et trapèzes- respectivement en 3/8 et 2/5. C'est un des nombreux arbitraires circonstanciés significatifs qui motive l'avertissement ci-après :


Avertissement : Certains schémas sont quelque peu orientés car présentés avec des spécificités intrinsèques incluant plus ou moins de visualisation créatrice en lecture ornementale, ce sont des "cas particuliers marquants" afférents et affairant au sujet. Ceci pour mettre certains éléments en valeur ou le texte à faire ressortir en évidence, il s'agit de spécimens choisis mais qui s'accordent bien de la généralité du sujet présenté et réciproquement. L'exemple type est le triangle de Pythagore à 3-4-5 dit isiaque, c'est un cas particulier parmi tous les triangles rectangles mais qui n'altère ou ne modifie en rien la validité d'un théorème qui les concerne tous, outre sa fonction de leader paradigmatique isiaque en suite numérique repérable de (tracassante ?) 3-4-5. C'est aussi ça l'inclusivité. Objection faite aussi qu'un triangle dit rectangle peut aussi être isocèle et dans ce cas porter le nom d'apex, deux apex reliés par l'hypoténuse forment un carré, façon losange (ici, le carreau), ce qui introduit d'ailleurs le nombre d'or avec la notion de diagonale du carré en hypoténuse.

Zodiaque pour horoscope à l'ancienne
La Rodella d'Arles-sur-Tech :
4/4 dont 1/4 = 3/4
3/4 d'année = 9 mois
Ci-contre à gauche les quatre T de la croix TeneT du palindrome Sator (à suivre, en § 5) disposés dans chaque coin, laissant leurs places initiales aux 4 pointes du losange précisément formé par les quatre barres hautes des "T".

A droite la Rodella, depuis Montbolo (dont un T et trois O) en procession jusqu'à Arles-sur-Tech où l'on trouve la légende des simiots (Yin-Yang).

Ci-dessous : nouveauTé ? 1 & 3, et codes couleurs ?
NUTRISCO ET EXTING(U)O
Bourges, cathédrale Saint-Etienne, vitrail des quatre évangélistes, en rapport avec les quatre éléments (baie sur la gauche pas loin de l'entrée).
Par ailleurs le problème mathématique sur un nombre à 4 chiffres pour obtenir une des constantes de Kaprekar à 6174 est-il de considérer que
17 s'insère entre 6 et 4 comme dans un X ou que 7 se place entre 61 + 4 (= 65) ?
PSiittt, de l'importance parfois de la symétrie : Prend n'importe quel nombre à 4 chiffres qu'on appelle A, prend le nombre B qui est le nombre A dont les chiffres sont triés dans l'ordre croissant, et prend C qui est le nombre A dont les chiffres sont triés dans l'ordre décroissant. calcule B-C qui te donne un nouveau nombre A-bis (A' ou A*), et refais l'opération, tu arrives à une boucle stable qui te donne ton A-bis = 6174.




- Hallali à lire à l'ivre où vair sur la Lyre et Vautour à l'ire autour d'un V d'un gaVé de Lyre au 4 à 5 isiaque croisé de vain de-pui(T)s un 3 d'éTé à encarter :

Est-ce Véga qui bec et ongles provoque deux aiLes dans une cavale liée d'échecs ou pas sur un échiquier où un fou de diagonale(s) hors ange aurait remplaçé l'éLéphoune qui ne s'y trompe pas dans un dilemme que le deal aime sexué entre PoLLux et HéLène ?

Initiales H et P que l'on retrouve avec Hélène et Pâris, protagonistes de la guerre de Troie, et H & P comme dans Horse-Power.

Peut-on considérer que la constellation de la Lyre représentée en haut à droite à partir de ses six étoiles principales pourrait bien représenter un poisson, constitué d'un trapèze et d'un triangle ? Ce qui pourrait alors renvoyer au fameux cryptogramme Sot Pêcheur de Rênes-LeXTao, où l'arête serait ici tracée en orange.

A gauche la constellation du Bouvier, un possible rapprochement à établir avec la Lyre ?
Arcturus est son étoile principale, calembour : arc tu rus(es), qui renverrait à Et in arcadia ego et ses tableaux ?
Qu'à propos de dia (comme dans diagonale) :
Au dia-bleu vaut vert, ou Au dia-ble vau(t) vert(u), et qu'à enlever dans chaque cas les U & T (de UT) ça donne :
Au diable vauvert (si bien que ut est ruse ?). PSiittt : Vauvert à Paris et Vauvert (en petite camargue).
Et ce diable de Rênex-LeXTao qui regarde en BiaiS les diagonales d'un losange au sol ne serait-il pas un v-autour ? (image de droite)
Un diable aux allures d'Atlas et d'Héraclès (ou Hercule) dans le onzième de ses travaux, la constellation d'Hercule étant située au-dessus de celle du Scorpion (calembour "ce corps pion"), elle-même surmontée du SerPentaire. Atlas ayant aussi son calembour : "A te lasse", Hercule également : "Ere recule".
Le premier peintre du XVII° siècle à "jouer de la lyre" sur un tableau est Le Guerchin (ci-dessous). En effet sur sa boîte de P'Andorre de la Serra del Cadí, il propose en relation avec la constellation des Poissons : La Vallée du Valira du Nord et la Vallée du Valira de l'Orient (O & N, on, pronom indéfini). (à suivre...)

- 5°) PALINDROME SATOR malin d'aRôme sacré des QUINTES de tout :


Le V, à la foi(s) chiffre (5 romain), lettre V, servi item de l'élément eau, sur-tout dess(e)in graalesque ou idéogramme de l'aiNe, et en outre schéma-Vecteur des constantes 3 & 4 dites de Kaprekar :

Palindrome Lettré en 5 x 5 et Chiffré de même, pas l'ombre d'un do-ut-e ♪♪♫♫♪♪.

Remarquer la croix formée par TENET en vertical et horizontal et le N au centre, comme dans l'étoile Deneb (de la constellation du Cygne) mentionnée au paragraphe précédent, située à l'endroit où la voie lactée se sépare en deux. Avec un N central dans ce palindrome (consonnance "aine", comme dans baleine).

Noter à droite en numérique l'ordonnancement du carré de 5x5 à constante 65 (somme de chaque ligne verticale, horizontale et...diagonale), et le losange régulier "formé" par les nombres impairs où le 13 remplace le N. Les nombres pairs sont "relégués" par groupes de trois nombres dans les coins, à suggérer l'idée des saisons.

Un peu comme la BNF et ses quatre tours : des Lois, des Nombres, du Temps, des Lettres, noter 2 L, un T et un N...soit 2 V comme 2 voies, consonnance si proche de Lois et de L'oie, dont également oi comme IO, que l'on retrouve aussi dans Cassiopée aux trois syllabes croustillantes. Mais tout ceci à la BNF s'inscrit dans un rectangle, cependant que se retrouvent quatre tours également sur un carré d'échiquier (à 8x8 = 64) qui lui ès-qualité de côté pair (père ?) n'a pas de case centrale à symétrie (s'y mettre "i" ?) -voir page carrés astrologiques. A noter la similitude ainsi obtenue dans chaque coin du palindrome, à différencier les saisons d'axes masculin et féminin et en les reliant par les éléments des signes fixes de saisons (au féminin : LA Terre & l'Eau pour Printemps et Automne, au masculin : LE Feu & l'Air pour Eté et Hiver, mais voir par la suite §11) - également axes d'auxiliaires pour Avoir et Etre ? (où le A serait phallique comme un 1 et le E féminin comme un 3, au graphisme inverse ?). Le T de Tenet (quatre artéfacts dans le palindrome) serait-il à rapprocher de la croix Ânkh ? (et de la note UT).

Le palindrome SATOR a été mis en place il y a plus de 2000 ans, il en a même été retrouvé un exemplaire dans les fouilles de Pompéi. Sa traduction fait état des cycles (rotas, les roues), allusion directe aux cycles du soleil, de la lune et des planètes dans une société agraire primitive à optimiser en fonction de ce qu'il était possible de retirer de ces rouages es-qualités de repères spatio-temporels célestes avec chacun sa rythmique propre interférant avec celle des autres. Ceci y compris plus directement et culturellement pour la nature humaine sur les plans réel, symbolique et imaginaire, avec l'option de sacraliser le "ça crée" -naturel- en sacré -culturel-, voire d'ériger ainsi le devin en divin et récit-pro dans des opportunismes de circonstance (voir §13).
Cependant que 26 est le nombre de lettres dans notre alphabet, soit 25+1, à la façon cette "loi" des carrés impairs qui fait que la case centrale immuable est centre de symétrie (s'y mettre "i") à organiser la constrution des constantes par somme des cases opposées (voir page carrés astrologiques), ici 26/2 = 13 au centre (1 masculin, 3 féminin).

Wilielmus propose le pentagramme de Vénus en façade à partir des encorbellements, suivant 2 cartes célestes aux ides de Mars en 1020 :

L'intronisation du Scorpion et donc du Serpentaire s'est chronologiquement effectuée en deux temps, à trois jours d'intervalle.

Ce décalage de trois jours rappelle évidemment la légende de Jonas et la Baleine :
1°) Le linteau relate la carte céleste du 12 Mars 1020 date de l'éclipse de Lune.
Elle est transcrite sur le linteau qui a alors une vocation équatoriale sur la façade, relation Soleil-Pleine Lune toute proche équinoxes : Soleil situé en fin de Poissons, Lune en fin de Vierge, 3 jours avant l'équinoxe. Carte disponible dans le § 3.

2°) Les encorbellements relatent la carte céleste du 15 Mars 1020 date exacte de l'équinoxe de printemps avec passage ce jour-là de la Lune au centre du signe du Scorpion. Ce 15 de la date de Mars (le mois) est aussi le nombre de la constante de Saturne. Peu de modifications par rapport à la carte du 12, seulement à noter le transit de la Lune en milieu de Scorpion.
Ainsi le calage s'effectue sur le Scorpion, il est mis en relation avec le signe du Cancer pointé en bas par le pentagramme, voir ci-dessus l'axe nord-sud des solstices passant entre les ventaux, allusion comprise des trois marches du perron.

Et enfin pour couronner le tout : deux clés de voûte et non une seule, pour introduire Etamin et Rastaban de la constellation du Dragon comme référence à la verticalité pour une précession à répertorier la fin de l'ère des Poissons. Un vituel fil à plomb (de Saturne) sur la façade ?

Cette disposition évoque une phrase latine bien connue dans l'"affaire" de Rênes-LeXTao :
"IN MEDIO LINEA UBI M SECAT LINEA PARVA. P‑S PRAECUM" (Coume Sourde à RLC)
Une pierre qui délivre une date au dos : MCCXCII (1292), année du décès du Pape Nicolas IV.
Le Saint-Siège resta vacant pendant 27 mois avant de voir élire Célestin V pour une papauté éphémère, peu avant le XIV° siècle pontifical en Avignon.

Saint-Michel sur la façade S'inGénie donc à une Verticalité de la tête du Dragon, au-dessus du Serpentaire, lui-même surplombant le Scorpion.
Cette notion de verticalité étant à superposer sur celle des solstices par anticipation de la fin de l'ère des Poissons et pour évoquer celle-ci.

Le fait est qu'il s'agit bien des soirs d'éTé en Occident et en nocturne depuis des siècles, en évoluant très lentement et que ces images sont faciles à vérifier de visu.

A gauche : Verticalité (importante) au-dessus d'Antarès du Scorpion (calembour "ce corps pion").

Et tant qu'à avoir évoqué plus haut la légende de Jonas et la Baleine il ne peut être passé sous silence ces deux tableaux énigmatiques de l'affaire Gasc-Poussin, ci-dessous : D'autant qu'on retrouve ici deux inclinaisons de mâts qui s'accordent étrangement (?) des deux directions indiquées ci-dessus à droite, en rouge et en vert.

- Tableau de gauche : C'est Assez cocasse et cos-su d'envisager le Sagittarius serpentarius (Messager sagittaire) sous forme d'une baleine ou d'un serpent de mer quoique bien survolé par un oiseau, et bien de couleur rouge conforme au signe du Sagittaire qui se voit attribuer dans le zodiaque l'élément Feu et nageant ici dans le décalage précessionnel où il est partie prenante, s'agissant de l'ère des poissons. Baleine serpentant dans l'eau en forme de W, tel Wilielmus et...la forme de la constellation de CAssiopée (entre Céphée & Persée, ci-contre à gauche). Cassiopée est dans l'alignement du Cygne et du Sagittaire par la voie lactée, voir carte céleste plus bas.

Cette baleine est visiblement appelée à "recueillir" un personnage effectuant un vert saut, vers la mer (vers mer ?), vert à confirmer à partir de deux couleurs primaires dont une en jaune ou ocre (jaunasse ?), ocre-élément-terre du signe du Capricorne enveloppant le signe bleu-élément-air du Verseau, dans un drap en forme d'hippocampe, telle la Méditerrannée occidentale (également option Licorne ?).
La coque d'un navire qui s'enfonce dans le sombre à gauche représente la constellation du Capricorne et ses voiles représentent l'Aigle (en bas) et le Cygne (plus haut), c'est l'abandon du Capricorne en qualité de constellation dans la désuétude dûe au phénomène de précession, comme suggéré par la flèche orange dans l'image au-dessus à droite, et sa valorisation en tant que signe par le personnage, ceci en référence directe à Saint-Genis-des-Fontaines (revoir le § 3). Le Verseau habillé des vêtements du Capricorne (socle) sautant vers l'uni-vers des Poissons pour un changement d'ère prématuré à receptionner par le Sagittaire, intermédi-aire.
Une Baleine-sage-y-taire qu'a pris corne, précession oblige, comme pointant Etamin et Rastaban de la constellation du Dragon au zénith, et cercle des étoiles polaires. Ceci confirme la dérive du socle de la croix (initialement en Capricorne) dans son parcours de précession dans la constellation du Sagittaire, et surtout sous la constellation du Serpent associé dans le ciel à Ophiuchus : trait rouge au-dessus incluant la Lyre.

- Tableau de droite : La voile gonflée représente la constellation d'Ophiuchus au-dessus de la constellation du Scorpion (coque), revoir l'image au-dessus du tableau. En haut à droite de ce tableau la croix de la tête de la constellation du Serpent.


Voiles actées dans le cadre céleste de la voie lactée et de sa division en DeneB (image au-dessus du tableau de droite), bien représentée par les nuages et l'écume sur les deux tableaux.
A bien reconnaître toute leur signification dans ce sens astro-logico-nomique il est évident que ces deux tableaux ne peuvent être que l'œuvre de Poussin qui y appose alors sa signature d'une façoN Peu orthodoxe ! Et ils sont bien liés à d'autres tableaux du même peintre. Ne s'agit-il pas d'ailleurs de PendantS (allusion au SerPentaire) dans ce dyptique à propos de la précession ?

Málaga (Magdala ?) est-ce si proche du mot Graal que dans le fond en approche à 3 heures, les deux colonnes (1 claire et 1 foncée) pourraient être celles d'Hercule à Gibraltar (un dé-troi-t, 1 de 3 à l(y)re), et calembour : gît bras le tard, correspondant au mouvement du personnage sur le tableau. Voir aussi la constellation d'Hercule sur l'image plus haut à droite.
Ce qui induit alors de proximité géographique l'idée d'El Hierro, ancien méridien de référence d'une des (îles) Canaries (Cf. Poussin ?) présentant aussi son calembour : Ailes - Hier et O. Tout y est : ailes (aigle, cygne, serpentaire), hier (l'ancien méridien et le nouveau, en parallèle au mouvement de précession), O pour Ophiuchus, et option RR de El HieRRo pour les ères (Poisson et Verseau), également les aires et les airs où l'on aperçoit les étoiles regroupées en constellations ar-bi-traire-s.

Le fait même d'évoquer cet ancien méridien au départ de l'Atlantique confirme bien quand au personnage en saut l'aspect "hippocampe" sur ses positions médit-er-anné-ennes (!) à quitter le navire pour ne pas franchir Gibraltar et confirme aussi la relation entre le méridien et la notion de curseur de précession à cette époque.

Mais il se pourrait bien que ces deux tableaux (pendants) Poussin-Gasc constituent une réponse à La Laitière de Vermeer (où gît bras le tare à manche verte deux fois), vers 1658 (apprécier les chiffres : 8,1, 65, et 618, 5) qui elle-même serait une réponse aux (fameux) PasteurS d'Arcadie de Poussin Version 2, sa Version 1 étant déjà une réponse à Le Guerchin à propos de la première toile à l'intitulé "Et in arcadia ego" à boîte de P'ANdorre, avec cette principauté (principe ôté ?) à paréage (une notion de dualité) -tableau déjà aperçu plus haut.
Arcadie, le pays des chèvres, caprin, capricorne.

Toujours cette question de méridien en vogue à l'époque du XVII° s., avec certains tableaux qui seront développés ultérieurement sur une prochaine page "ET IN ARCADIA EGO : Le Méridien". Un extrait de Vermeer (La Laitière) est disponible dans le paragraphe introduction de ce blog et faisant référence au carré de Saturne. Toute cette superbe polémique entre peintres de ce siècle-là pourrait bien concerner la potentielle gémellité de Louis XIV, ce qui justifierait que Vogue la Petite Nef à deux mâts du tableau de droite, en se dirigeant vers le vaisseau à deux voiles du début (par Hercule et ère recule) : le cygne et l'aigle, respectivement l'un dans le clair de la lumière (le roi), l'autre dans le sombre de l'osbcurité (le masque de fer ?), souligné par l'évocation de deux palais dont un seul avec une couronne boréale en crabe au pied sur les rochers. Serait-ce là une capitale raison de Poussin à ne pas a-Voir signé ces deux pendants ?
Ou quel donc C.V. sans cinq (Capricorne-Verseau sans Lion(s) 5° signe, mais Verbe ?) en Méridien(ne) à ne pas Lyre d'ego ou d'égaux (en bissectrice) passe entre ces deux PendantS : L'amerri de hyèNe ?

Ces deux pendants Poussin-Gasc ont ceci d'extraordinaire, c'est que leur principal but est d'exprimer au mieux la raison qui les sépare, un peu à la façon du dessin bien ultérieur de Cocteau aperçu en fin du § 2, et pour des raisons similaires ayant trait à la précession (rappelé ici, image à droite).

Tant il est vrai que le mot CA-SS-IO-Pée évoqué plus haut peut être scindé en quatre : CA pour CAncer-CApricorne (axe nord-sud), SS pour Sagittaire-Scorpion (espace entre ces deux constellations), IO pour l'idée de méridien (I à centrer sur le O pour le partager en deux), et Pée pour le P du chrisme, tout un "uni-vers" astral typiquement poussinien facile à retrouver également ailleurs que ces deux tableaux si proches de son sceau. D'autant que le P est aussi celui de Poussin à Tao brillant, idem pour les deux S, autant que le O qui s'accorderait bien d'uN i ou 1 unissant deux tropiques (voir § 11), ou qu'un Pou surgissant du Pech Bug-ara-ch, pond-il le pont-i-fi-cal ou le Pont-Eux/in. Outre que Poussin contient le pronom indéfini "on", déja aperçu avec le Guerchin tout juste plus haut, quant au reste des cinq autres lettres, "i" ne se-rait pas y ?

Extrapolation : Plus haut "Málaga - Magdala", Saunière à Rênes-LeXTao avait-il connaissance de ces deux tableaux Poussin-Gasc ? (Guadalmedina et Guadalhorce, horse ?). Pas de quoi en gaz pas show versatile allant bras donneur en jalousie orientable prononcer un pronunciamiento andaloux à Séville parce que Poussin est né au hameau de Villers. Poussin en fera encore une allusion avec Villiers -1er duc de Buckingham, fameuse affaire avec Anne d'Autriche (à nœuds d'eau ou dos triche)- : le berger debout dans et in arcadia ego V2. (PSiittt : Andalousie, anagramme : D'Ana è Louis).

Ci-dessus à gauche : « EFFIGIES *NICOLAI POVSSINI ANDEL: * YENSIS PICTORIS. ANNO ÆTATIS . 56 * ROMÆ ANNO IVBILEI * 1650.* »
Tandis que la croix (image ci-dessous) à l'œuf céleste cherche à placer son socle dans l'espace libre (d'étroit ?) entre les constellations du Sagittaire et du Scorpion, et en limite d'Hercule, l'ensemble en fonction de ce qui précède.
Certes le V évoque aussi le sigle de la racine carrée, mais 5² = 25, nombre des cases du carré de Mars, en deux chiffres 2 & 5, 2 étant lié au transit bisannuel de Mars, 5 au numéro d'ordre de Mars tout comme afférent au pentagramme de Vénus en 8 ans (moins deux jours)- 8, 5, 2 : trois chiffres à retrouver plus loin dans une diagonale montante (§15). 25 est également la somme de 13 et 12 comme de 12 et 13, ce sont des nombres qui intéressent les clycles lunaires, 12 et son symétrique le 21 intéressant (aussi) le tarot.

Ci-dessous à gauche : Cinq hau-bans d'essai de Mars au-dessus d'un carré de six barr-eaux, du Soleil ?

Extrapolation : 25 c'est aussi le nombre de membres d'un ordre de chevalerie (avec la devise « Cominus et Eminus ») apparue à la veille du XV° siècle (1394) : l'Ordre du "Porc-épic", du nom de son emblème initial (dit aussi Ordre du Camail), emblème repris au XV° siècle par Louis XII qui supprima cet ordre, au profit de celui de Saint-Michel (toujours le Dragon ?). Saint-Michel, comme à l'abbaye de Saint-Genis.

Porc-Epic en 2 x 4 lettres (=8 Mercuriel), un nom loin d'être innocent puisque (important) les lettres p & c représentent respectivement de chaque côté dans le mot l'inversion effectué par chacune des tours dans chacun des roques, incluant également "or", et avec un o énigmatique à la clé, à placer de fait tel quel en œuf et en neuf sur l'échiquier), outre l'inclusion de "épi" en référence à Spica -étoile principale de la Vierge- et à propos de roque(s) : Saint-Roch intéressera Saunière à Rênes-LeXTao, autant que par ailleurs l'anagramme de roque est le mot orque (en 5 lettres, et coup p(a)nda-ble de noir et blanc).

Etonnamment Porc-épic sans les P & C contient "iéro", prononciation d'un nom (Hierro) cité dans le paragraphe juste au-dessus. Porc-épi-c ramène aussi à Pollux et Castor (case tort), mais également par ses pointes à Saint-Sébastien (originaire de Narbonne) et légendes associées, une fresque lui est consacrée dans les appartements Borgia au Vatican et une chapelle lui est dédiée dans la forteresse de Salses.
Mars d'ordre V et son carré 5x5 se voit doublement encadré de nombres qui le sollicent rectangulaire d'une case en moins à 24 (avec 2 & 4 d'une suite géométrique déjà évoquée) : 4x6 dans la suite naturelle (et surtout dans la triade 4,5,6 à retrouver dans la diagonale descendante du carré de Saturne), mais également 3x8 = 24 dans la suite de Fibonacci (3,5,8), soit 25-1, ceci deux fois.
Avec d'un côté 3+4 = 7 et de l'autre 6+8 = 14, des multiples du 28 féminin-lunaire. Ceci alors même que le centre de symétrie à 13 appelle le 25+1 = 26 pour la mise en place de la constante 65 (et 26 nombre de lettres de l'alphabet), formule suivant les carrés impairs (25+1) x2 + 13 = 65, avec une spécificité réputée unique pour 26 double de 13 (case centrale de Mars) d'être inséré entre un carré et un cube : 5²=25 * 26 * 27=3³ (ou 3³ – 5² = 2), carré et cube de nombres de la séquence de Fibonacci, déjà évoquée pour 24 avec 3 & 8, mais aussi allusion in fine au 27,321 661 547 lunaire.

Toujours cette notion de case centrale "1" pour les carrés d'ordre impair, constante de formule (n²+1) x (n-1)/2 + (n²+1)/2, avec le coup de la case (centrale) en plus, contre (n²+1) x n/2 pour les carrés d'ordre pair, et le coup de la case en moins (centrale), finalement dans une sous-jacente très sexuée. Tout ceci sera important au sujet de la (K)onstellation de la Lyre, ou quand 3 carrés d'ordre impair viennent titiller un carré d'ordre pair, de Saturne à Mercure, comme indiqué sur la partie gauche du linteau de Saint-Genis (3,7,8,5 , traduction : sous l'égide de Saturne Mars et Vénus viennent plus que sol-liciter Mercure).
Plus d'infos également sur la page "carrés astrologiques", l'effervescence intellectuelle médiévale.



Ci-dessus à gauche la Stèle de Blanchefort dans l'affaire de Rênes-LeXTao : la droite des T (3 dont un absent), d'éTé comme le triangle Cygne-Aigle-Lyre, qui plus des T de TeneT en croiX (palindrome).
Remarquer également les 3 "e" minuscules en lignes 1,2,4 en haut à droite ainsi que le E majuscule en 3° ligne, un M détaché également en haut à droite. Celui de Mars, suivi de Arie : par le Bélier.

Image en haut à droite : une signature sous forme de griffe à 5 éléments dès l'entrée à RLC. 5 étant aussi le numéro de la case centrale du carré de Saturne et point de rencontre des diagonales, autant que le V romain à évocation graalesque.
- Break faste à papoter des cinq premiers échafaudés :

1°) Le phénomène de précession :
- Un décalage du temps qu'il fait (saisons, donc solstices et équinoxes) dans l'establishment de la voûte céleste, rapport signes/constellations, écart, deux zodiaques aux "circonstances" éponymes.

2°) Les dualités dont les solstices :
- Des pertinences de relation d'opposition différentielle.
- Nord-Sud ou Cancer-Capricorne, deux fois la syllabe CA, comme la lettre K, 11° lettre de l'alphabet, et C & A comme Cygne et Aigle.
- Symétrie axiale et centrale à s'y mettre "i".

3°) Le tribord, féminin essentiellement, et lunaire :
- Que l'on retrouve dans les trois signes d'hiver avec leurs éléments respectifs associés.

4°) Les quatre éléments astro dits platoniciens :
- Les trois féminins ci-dessus et états basiques de la matière auxquels il faut ajouter le feu, soit 3 et 1 à évoquer le 13.

5°) Le V romain et les atouts graalesques de la quintessence :
- Où le carré de 5 (V romain) contient 13 en case centrale ou N (aine au V romain de forme) en lettres au palindrome, 13 étant également la somme de 4 + 9 afférente au carré de Vénus à 49 cases.

Subsidiairement importants quelques "gadgets" numérologiques, mais très importants à l'époque médiévale, voir plus :

2³ + 1 = 3² (Hélène de Troie ?)

8² + 1² + 6² = 101 à partir des chiffres du nombre d'or et bas du carré de Saturne ou 64 + 1 + 36 à partir des carré de Mercure et du Soleil (100) à ajouter 1

26 s'inscrit entre un carré (5² = 25) et un cube (3³ = 27), 3 et 5 de la suite de Fibonacci, et avec 2 + 6 = 8 (numéro d'ordre de Mercure)

64 du carré de Mercure (8x8) s'inscrit entre deux rectangles : 63 ou 9x7 et 65 ou 5x13 (ces derniers : deux chiffres du carré de Mars, numéro d'ordre et case centrale)



- Entr'acte 5 à 6 où l'in-verse à 8 clos mercuriel :
Si la Joconde s'ex-prime, c'est que le pied de coch-on s'Ose vi'N'aigrette plus que gris-biche !


Question de saison Mona Lisa se rend à La Mo(l)ina en hiver et en été elle est à Sain(t)-Malo sous les Ma(g)nolias, et pas sur la route du Rome en tics.

Pour savoir qui est la Joc'on-de ce sera à voir dans le § 8, son portrait y est détaillé.

Bien remarquer que dans 365 jours, y'a 3 (revoir § 3 ci-dessus) et 65, ce dernier nombre étant la constante de Mars et aussi contenant 1 unité de plus que le carré de Mercure (8² = 64), pour ça R.V. à l'interlude entre les § 12 et 13.
C'est ainsi aussi que l'on retrouve 3 et 1, ou 1 et 3, et donc 13 : 365 an-nu-el étant constitué de 3 et d'une différence entre 6-5 = 1, c'est un point de vue.

Mais 65 est également connecté sur les 26.000 (ans) de l'année platonicienne : 65 x 2 = 130 (13 à nouveau), et moitié de 260 qui est la constante du carré de Mercure, et donc 65 (constante du carré de Mars) x 4 =260 (voir page carrés astrologiques).
Le Carré de Mercure présente bien 4 sous-carrés avec 4 paires de sous-diagonales (aperçu en fin du § introduction) mais ce sont des carrés de 16 cases comme celui-de Jupiter. Une "raison" pour le carré de Mercure d'allier Mars et Jupiter, à noter le M et le J façon WI de Wilielmus.

Noter aussi que 260 est aussi un nombre afférent au calendrier Maya (avec 13 × 20 = 260).

Ce 26 est aussi bien connu pour une première raison : c'est le nombre de lettres de notre alphabet à 20 consonnes + 6 voyelles, la seconde plus obscure est que c'est le seul nombre compris juste entre un carré (celui de 5) et un cube (celui de 3), en effet : 5² = 25, intervalle 26, et 3³ = 27,
on aura remarqué 2+6 = 8 pour une triade de la séquence de Fibonacci 3,5,8, où 3 = 1+2, à obtenir 1,5,8,2 à évoquer une date intéressant directement l'astrologie pour un ajustement.

Ce nombre cubique de 27 est reconnu en astrologie karmique dans les interférences cycliques, en effet c'est 270 ans pour la course d'un demi-zodiaque en conjonctions tous les 18 ans à progression de environ 1 décan, exemple de tropique sud (année 1787) à tropique nord (année 2057), soit 180° en 14 décans et les 360° en 28 phases, un nombre lunaire.
A remarquer que 36 décans par 18 ans pour un zodiaque complet donne 648, dont 64 et 8, mercuriels, en trois coins 6,4,8 du carré de Saturne.
28 axes conjugués dans la même sens auxquels il faut ajouter les 28 intermédiaires de sens inverse tous les 9 ans, ce qui donne 56 alignements pour un tour complet de zodiaque en 504 ans (28 x 18). Voir l'antique notion d'éclipses analogiques, de Saros et d'Exeligmos.

Quant à 56, ne pas oublier que c'est le nombre des Aubrey Holes à Stonehenge, ce qui sera développé par la suite (éclipses de Lune).

Cependant que cette triade 5² = 25, intervalle 26, et 3³ = 27 est elle-même "encadrée" par 24, produit de 3x8 et par 28, produit de 4x7, c'est ainsi relier une suite 5 nombres avec un central 26 en 2x13, comme deux fois la même case ceNtrale 13, en chiffres et en lettres (revoir images de la fin du paragraphe précédent), d'autant que dans cette suite de 5 apparaissent 3 au début (3x8) et 4 à la fin (4x7) pour un aspect isiaque, outre un 8 ascète...
Noter également à propos de ces deux nouveaux extrêmes 24 et 28 que le premier est le nombre "rectangulaire" (3x8) encadrant le 5 dans la suite de Fibonacci et le second un nombre officialisé lunaire (cycle sidéral). Cette suite naturelle de cinq nombre est elle-même encadrée par deux nombres premiers 23 et 29 qui de par leur finale appellent le 39 et pas en vain. Noter aussi et déjà aperçu que pour 23 ou 2 & 3 : 2³ = 8, +1 = 9 =3².
Enfin peut-on passer sous silence la somme 23 + 29 = 52 qui assomme du nombre de semaines entières annuelles les chiffres 2 et 5, œuvres des boucles respectivement de Mars et de Vénus autant que 25 le symétrique de 52 est nombre de cases (M) et case centrale (V), 23 et 29 encadrant les cinq autres nombres, au 26 central dont 2+6 = 8, numéro d'ordre de Mercure et 26 = 2 x 13.
Et de façon "intermédiaire" pour 24 et 28, 24 lié à 2 (produits) et 28 lié à 1 (produit), comme les deux branches d'un V dont un vers la Lune (28) et l'autre vers 24 ou l'arbre généalogique (suite 4,2,1).
Mais c'est que 23 et 29 sont eux-mêmes encadrés par le 22 (nombres d'arcanes majeurs au tarot) et le 30 (contenant 3 & 0 ou le chrisme et l'œuf), avec un nouvel encadrement par 21 : Le monde et 31, symétrique de 13, et on s'arrêtera là.
Tout ça avec au centre le 26 qui est aussi un nombre essen-tiel du calendrier Maya avec le 10.



- Annexe RLC de 5 à 6 et récit-pro la plupart du tant en sel sur cheval 2-3

- 6°) De six comme de(ux) sexe(s) en base Singulière au Pluriel

à proVoquer d'embase six autres du haut à glisser par axes en douce et en douze dans une méga foire saisonnière zodiacale aux externalités métaphoriques :

Les 12 Métaphores (S & P) :

- Bélier (Phase JD 1° - JC 4°) : Intrication pulsionnelle
- Taureau (JD 2° - JC 5°) : Incarnation, chair, concret
- Gémeaux (JD 3° - JC 6°) : Découverte immédiate

- Cancer (Phase JD 4° - NC 1°) : Figure Maternelle
- Lion (JD 5° - NC 2°) : Figure paternelle, repères
- Vierge (JD 6° - NC 3°) : Logique, raison, limites

- Balance (Phase ND 1° - NC 4°) : Pulsion grégaire
- Scorpion (ND 2° - NC 5°) : Sexualité, génitalité
- Sagittaire (ND 3° - NC 6°) : Ailleurs (espace et temps)

- Capricorne (Phase ND 4° - JC 1°) : Société
- Verseau (ND 5° - JC 2°) : Idéalisme, cérébralité
- Poissons (ND 6° - JC 3°) : Irrationnel, fusionnel

Il est intéressant de relier les trois derniers à la trilogie de Pascal. D'autant que ceux-ci ont d'autres spécificités "h-i-ver-nales" déjà évoquées.

A noter aussi pour le Taureau de Luc, son anagramme, pour le Lion (Régulus, la règle) de Marc, la consonnance "marques", pour le Verseau de Matthieu (mats yeux), vert/vers/vair - seau/sot/sceau, pour l'aigle de Jean (anagramme anje, phonétique ange ou enjeu), aigle devenu Scorpion, ce corps pion (initialement ScorpiO, O & S de caput à cauda, comme Ophiuchus et Serpens, ce duo qu'il introduit au-dessus de lui - six et sexe ?).

Chaque quart de zodiaque se voit attribué une saison, elle-même divisée en C-A-R (Création - Action - Réaction, dito aussi cardinal-fixe-mutable) en fonction de deux rapports combinés parmi ceux-ci : JD (Jour Dominant - en durée), ND (Nuit Dominante - en durée), JC (Jour Croissant), NC (Nuit Croissante) - avec donc quatre "prototypes" de phases : 1° JD - JC = printemps, JD - NC = été, ND - NC = automne, ND - JC = hiver.
Voir aussi page "construire un zodiaque".

A droite : Le sigle du SerPentaire et son "tilde" façon 6 signes "Singuliers" à gauche et 6 signes "Pluriels" à droite, façon inverse des personnages de La Cène, et Ophiuchus (graalesque) au centre.
A gauche : Le 6° signe est celui de la Vierge, ici confrontation œdipienne résolue.

Une autre division du zodiaque en 2 x 6 s'opère de fait par la voie lactée : depuis la fin des Gémeaux (limite Taureau) jusqu'au début du Sagittaire (limite Scorpion), c'est aussi la séparation entre Poissons et Vierge. A noter que le côté Vierge inclut alors le cercle de précession.






- 7°) LE SEPTENAIRE ou la rythmique ascète de 7 jours en hune sème aine, 7 est le Médian médiatique de 1 à 13, avec une potion 6 & 5 ordrée sur l'option 1 à 12 :
(7 en 2 luminaires & 5 planètes), ne pas confondre Septenaire et Serpentaire ci-après en §9 et §11)

C'est le panthéon des astres : 2 luminaires (Soleil et Lune, toujours Directs) et 5 planètes (Directes & Rétrogrades), 7 jours de la semaine à 2 + 5 distribués façon étoile chaldéenne à 7 branches : Lundi - Lune, Mardi -Mars, Mercredi - Mercure, Jeudi - Jupiter, Vendredi - Vénus, Samedi - Saturne, Dimanche - Soleil - (Sunday, Zondag).

On remarquera dans le schéma plus bas à gauche comment se fait la construction qui consiste à aller chercher le jour suivant en face dans un cercle distribué de pointes en sens horaire à partir de l'astre le plus lent (en bas à gauche : Saturne) à celui le plus rapide (en bas à droite : Lune), ceci dans l'ordre des vitesses apparentes respectives percues depuis la Terre (géocentrisme).


Et de fait de Saturne à Lune : 3 pour Saturne, 4 pour Jupiter, pour Mars, 6 pour le Soleil, 7 pour Vénus, 8 pour Mercure et 9 pour la Lune. Cet ordre de vitesse apparente est important car il conditionne un numéro d'ordre accordé à chacun des astres, aussi bien dans l'antiquité qu'au moyen-âge où sera mise en place une cabale chrétienne à leur propos, à partir des chiffres arabes et non plus romains - avec Gerbert d'Aurillac, alias Sylvestre II et Pape de l'An Mil. (voir page carrés astrologiques).
PSittt : 7 est la somme de 2 + 5, mais également de 3 + 4, et en lettres comme yin & yang, sud et nord, des mots à oppositions implicitement isiaques ?
Il est également envisageable d'effectuer ici un comparatif avec Stonhenge dans la distribution des astres par ce qui se rapprocherait d'une simili-congruence.

Image à droite extraite du film "Une nuit en enfer". Vénus, bikini en 2 et 5 (V),(plus intime pour 3 & 8, diff. 5), et 7 x 7 = 49 cases pour le carré de Vénus, dont case centrale 25 (2 & 5). Avec Salma Hayek dans le rôle de Santanico Pandemonium, danseuse du bar (From dusk till dawn).

Les Pléiades sont aussi au nombre de 7 (sœurs) et ont une valeur symbolique particulière liée à leur mythologie, d'une part, mais également leur orthographe interpelle : PléiadeS (SP) et surtout leur phonologie : Les Pléiades = L'épelé IAD au triangle d'éTé : 1° - Véga 2xI -ce qui renvoie aussi au geai (et bain de fourmis), 2° - Altaïr, 3° -Deneb-, et IAD comme DIAgonale.


Dans la voûte céleste la constellation des Pléiades se situe juste au-dessus de celle du Taureau et les deux sont diamétralement opposées à celle du Scorpion, lui-même surmonté du Serpentaire (Ophiuchus & Serpens). Il est évident que cette disposition aura une influence pour la suite (déjà au §11). Le mythe : la grande beauté de ces compagnes virginales d'Artémis attira le guerrier Orion qui pendant cinq ans les pourchassa. Pour les sauver, Zeus les transforma en colombes.

Si de sept jours est composée une semaine (vu plus haut), et l'année en comporte 52 pleines (encore 5 & 2), à 52 x 7 = 364 = 354 isiaque + 10, le X romain, de même que en toute logique 28 x 13 = 364, et manque une case journalière pour 365, également de 7 notes de musique est composée une gamme tel 2 luminaires et 5 planètes d'un septenaire à poser sur un clavier pour visualiser 5 touches noires (pour Diéser ou Bémoliser).
La gamme de Guy d'Arezzo est-elle un code secret médiéval fondé sur une base astrologique (UT est ruse) ?
On s'interrogera aussi sur le passage d'une portée musicale de 4 à 5 lignes durant le Moyen-Âge, et officialisée ensuite, autant que sur le passage de la note Ut à la note DO (grave) si proche du symbole du Sel (§2) sur sa sixième ligne, tandis qu'à l'autre extrémité c'est la note SI (Sancte Iohannes)...en référence encore à l'Aigle ?
Le mot "portée" (musicale) lui-même, si proche de port (navig-ation) et de porc-épic (l'ordre, voir §5) ne serait donc pas inno-cent. Outre le fait qu'une des notes DO d'un clavier est parfois dite DO du milieu ou DO de serrure.

Extrapolation : Ci-dessous, Calice représentant Apollon avec une lyre à 7 cordes (Musée de Delphes, 460 avant notre ère), remarquer le corbeau (corps beau ?), constellation située sous le signe de la Vierge, à côté de celle de la Coupe, le long de la constellation de l'Hydre, sous-jacente aux quatre autres du zodiaque des constellations, de Cancer à Balance (voir carte voûte céleste). Ci-dessus à droite : extrait de l'Arcane XXI du tarot des Avenières. A gauche le Cocher, situé en début de voie lactée au-dessus des constellations du Taureau et des Gémeaux. Le chariot est aussi évoqué sur la casserole (case-rôle ?) de la grande ourse qui détient 7 étoiles, dont quatre forment un trapèze, et le 7° signe est celui de la balance, est-ce à dire que les roues ici seraient comme deux plateaux...que le bas lance (Fou-ette, cocher !) ou même que ces deux roues bien écartées pourraient représenter les deux cercles d'un 8, ici allongé ? Deux chevaux pour un roitelet, comme sur le jeu d'échecs ?

7 c'est aussi le nombre des pluriels en "oux" (U de Urbi et O de Orbi pour OU) : Poux, Choux, Bijoux, Genoux, Joujoux, Cailloux, Hiboux, un nom de code pour PeX (Pech) BuGaRaCH, avec 2 luminaires directs et 5 planètes rétrogrades et des subtilités au R pour les j : jota, qui renvoie à "Rotas" du palindrome (§5), avec deux "j" aptes à évoquer le 11 à voir plus loin (§11). En outre PeX rappelle le chrisme et Bug-ara-ch contient ara (cet oiseau jaune et bleu couronné de vert, revoir §3).

Le chant ascète du Soleil est un champ de cas d'astres au set de six reines dont L'une est exclue, et qui d'écarts tiers recycle son giron ?

Sem-aine : 7 x 24 h = 168 h, relation chiffrée avec le nombre d'or (1,618034). (à suivre...)

7 couleurs (arbitraires ?) de l'arc-en-ciel.

7 chakras, comme autant d'astres du septenaire et de jours dans la semaine, depuis lundi (en bas, racine) jusqu'à dimanche (en haut, coronal), avec une représentation de l'écart entre écliptique et équateur céleste pour la Lune et cercle de précession pour le Soleil.

A retenir le K de Kundalini, un K (inversé) figure sous le manteau en haut de la fresque à Rênes-LeXTao, un K-rôle (Carol) figure à gauche sur le tableau de Poussin (V2).

- Interlude 7 à 8 :
Quand le Lion cherche allié ou à lier, pour peu de proupre en gar-ance comme en flag-rance de prou(e) le sphinx deviendrait phénix qui s'ébroue et qu'en 2/5 N'émets trait de son aiR à 3 Tant ventilé par-mi les Boeufs de Géryon à épeler IAD à l'OD hissé(e) en Luc sûr plus que face au Taureau Crétois ?



Le Lion a cette particularité d'avoir son étoile Régulus (le cœur du lion) au plus près de l'écliptique et de servir ainsi de référence à celle-ci, nécessairement solaire (image de gauche).
Une autre particularité est le nom de son étoile de queue : Denebola, qui ressemble (étrangement ?) de nom au même "endroit" pour le Cygne avec Deneb, dont D et B (déjà évoqué pour D la moitié et B pour le double), et ENE (de Tenet).
Un troisième particularité de la constellation du Lion est d'être la seule parmi les 12 répertoriées dans le zodiaque à pouvoir s'insérer complètement entre l'écliptique et l'équateur céleste (et ceci face au cygne connecté au cercle des étoiles polaires).

Les deux lions de Saint-Genis :
(à gauche de l'entrée, sous le linteau, en haut de l'image. Lion(s) est aussi la conjugaison d'un Verbe) :
Ne pas oublier ce défi métaphorique significatif quant à la connaissance de l'écliptique dans l'antiquité : tuer Lion de Némée (créature fantastique de la mythologie grecque), et rapporter sa peau constitue le premier des douze travaux d'Héraclès. La peau de lion (ou léonté) est un des attributs d'Héraclès, une façon de s'approprier le zodiaque. Noter le N et le M de NéMée. C'est cet axe à droite, de Régulus du Lion à Dorsum du Capricorne (et passant par Deneb) que l'on retrouve en trame sur la tapisserie de la Dame à la Licorne (MON SEUL DESIR en 3,4,5 isiaque).

Dans la même idée à Tréhorenteuc, ci-dessus, où les quatre Lions signifient la possibilité pour ce signe de figurer comme référence à la saison d'éTé dans les quatre quarts du zodiaque sidéral, même s'il sera toujours maître de la saison d'été en zodiaque tropique. Régulus est une étoile de référence située sur l'écliptique (intra-muros), autant que Dorsum (d'extra-muros). "DOMUS MEA DOMUS ORATIONIS VOCABITUR", à Rênes LeXTao, où il y est question de pri(s)-ères. Gizeth, pyramides et sphinx 🎬 (les 5 minutes de 1.25 à 1.30)




- 8°) L'octogone et le zodiaque, et le SCORPION en 8 lettres, et 8° signe, et autant qu'on Fit bonne assise à l'é-troit-esSe du 8 dans les largesses de ses diverses représentations à perce-voir, quand l'âpre y œuvre par n'œuf où s'agite ère aussi bien que air et aire au-tour du chiffre 8 adouBé à 2 Bulles qui n'a rien d'innocent :
Quatre directions cardinales (Nord, Sud, Est, Ouest) et quatre gardiennes de l'antiquité = huit directions autour d'un point central.

Le chiffre 8 a cette propension naturelle avec ses deux ronds superposés à traduire deux solstices, tel que proposé au § 2. Ce même 8 en cas d'inégalité des deux ronds a la possibilité de suggérer l'analemme ou le cadran analemmatique, celui-là même qui se traduit dans certaines cathédrales par une méridienne.

Si l'octogone est souvent la forme des baptistères, c'est aussi une forme élémentaire pour passer du carré à l'idée d'un rond en incluant un losange régulier dans ce même carré et de continuer ainsi l'opération dans chaque intervale obtenu (voir aussi plus loin §10).
Huit directions c'est aussi un centre (neutre) - image de gauche, voir plus loin §15 le carré de Saturne.

A gauche le carré de Mercure (8x8), dont les diagonales et sous-diagonales déterminant d'ailleurs 12 secteurs sont naturellement en place pour passer au carré dit magique à constante de 260, un nombre qui est utilisé dans un des rouages du calendrier Maya !
Ces douze secteurs servaient autrefois à établir un thème natal (comme aperçu dans le § intro). Diagonales et sous-diagonales placent 8 points sur le pourtour, dont un en point vernal à gauche entre 25 (Poissons) et 33 (Bélier) (important 👍).
Le 33 pouvant être lui-même considéré issu d'un 8 divisé en deux verticalement, alors composé de deux trois dont un en inversé (effet miroir), voir § intro du début.

A droite le corps féminin, source d'inspiration et de désir depuis des millénaires, et vecteur de transmission de la vie, souvent schématisé (schème attisé) à ce titre, ici en un 8.

Comme quoi le 8 c'est aussi l'art du 7 & 3 = X (ou c'est étroit de la taille) sur le carré de Saturne où huit élé-ments entourent le V romain central et graalesque, à pouvoir y placer de pair un N ou un Z (image ci-dessous à gauche) : Ci-dessus à droite : Le (pulpeux ?) Poulpe de la Dalle de Blanchefort, huit tenta-cul-es, dont les deux du bas composent un Oméga. Cette dalle est "intervenante" à Rênes-LeXTao. C'est un peu le 8 avec la Pi-œuvre par N'œuf, comme l'escarboucle en haut à gauche avec son centre (d'in-Té-rêt).
A gauche le zodiaque égyptien de Dendérah, à l'origine au plafond d'une chapelle dédiée à Osiris, située sur le toit du temple d'Hathor à Dendérah. Noter la similitude avec le carré de Mercure comme présenté au-dessus.

A droite le 8 de l'analemme solaire peu avant midi en temps universel (d'où la légère inclinaison), en haut et bas les solstices, au centre les équinoxes. Le décalage du croisement est dû à la latitude (nord ici) du lieu de répertoire des photos sur un an.
L'esperluette (évoquée sur l'image du Capricorne en §1) peut être considérée comme un 8 inégal ainsi que sont inégaux les Poissons sur leur constellation (voir image de droite en §11).

Plus haut à gauche, 8 lignes de constante 15 : 3 verticales + 3 horizontales + 2 diagonales, sur le carré de Saturne chiffré à 9 cases dont celle centrale immuable. Pour autant deux 3 en effet miroir forment un 8 (Epsilon et Trois), et 2 x 3 font 6, deux chiffres (8 & 6) à retrouver en bas ici des diagonales et sur le nombre d'or (1,618034) également diagonale de carré de côté 1.

Plus haut à droite, les deux plateaux de la Balance forment un 8, comme les deux mains de Platon en sCène évoquent les plateaux d'une balance et celle de Socrate une épée.
Le secret du Cloître de Saint-Génis :

Il est lié au carré de Mercure d'ordre 8 (E & I ?), mais également au carré de Mars de constante 65 et avec sa case 13 centrale, appelée à devenir case 52 (nombre symétrique de 25) du carré de Mercure, pair (père ?) et devant le reine blanche, son complément à 65 étant le 13 (impair et en symétrie centrale) devant la reine noire sur l'échiquier.
52 comme le nombre de semaines dans l'année solaire (semaine = sème aine ?).

13 (1 & 3, M-F) remplacé par 52, lui(t)-même nombre multiple de 13 (x4), inverse de 25, case centrale du carré de Mars, et 2° & 5° signes : Taureau et Lion, case 25 pré-faite sur le carré de Mercure en vernal VS la case 33, nombre christique.
1+3 = 4 (éléments), 2+5 (ou 5+2) = 7, nombre d'astres du septenaire.
13 et 52 : 1+5= 6, 3+2= 5, l'appel de la "case" centrale 33 d'un 65 cases en 13 x 5.
(Voir la triade 5,8,13 de Fibonacci en § 17)

C'est ainsi que le carré central du cloître forme un échiquier (noir et blanc) avec ses 8 arcades de chaque côté. Arcades incluant elles-mêmes l'idée 65 (64 + 1 case) et constante de Mars par 6 & 5 pierres alternées en voûte.
Et que peut être entretenue une confusion sans contusion entre Mars et Mercure dont l'initiale est la même et que Saunière à RLC repérera pour "Marri Mât de l'aiNe".
(à suivre...)
Aucun monument n'est plus explicite du carré de Mercure aux diagonales et sous-diagonales pré-faites, et sans case centrale que le château de Quéribus (Salle du Pilier).

La constellation du SerPentaire (ou Ophiuchus et Serpens) et celle du Dragon ont cette particularité commune d'avoir un ensemble Caput-Cauda (Tête et Queue) ou Alpha et Oméga, lesquels sont mentionnés sur le personnage central du linteau (image ci-dessous à gauche).

Prérogative de l'An Mil sur le linteau de Saint-Genis instaurant cette modification :

Le ScorPion, en 8 lettres, et 8° signe du zodiaque, remplace désormais l'Aigle de Saint-Jean, avec au-dessus de lui le SerPentaire, ou quand le personnage central du linteau s'appuye de ses pieds sur le Scorpion (image ci-dessus à gauche) :

C'est ainsi qu'ultérieurement François 1° fera "inverser" sur plan une tour du donjon de Chambord à son retour de captivité d'Espagne (la tour nord-est et le quart complet du donjon), correspondant à l'automne ou au scorpion, en référence à l'Aigle de Saint-Jean antérieurement.

C'était assez fin de sa part d'un point de vue culturel en référence à la chrétienté et cela évitait au donjon d'évoquer uniquement une chorégraphie de svastika à partir des quatres signes fixes.

Ce donjon est conçu sur la base d'un carré de Mars à 25 cases dont case 13 centrale en escalier à double révolution pour le 13° signes : le SerPentaire, lui-même constitué de deux "aspects" comme des deux ronds du 8 : 6 du Soleil (jour) et 9 de la Lune (nuit) (total 15 = constante de Saturne), Masculin - Féminin, Yang (4 lettres) - Yin (3 lettres) voir aussi petit et grand r(au)ques, peuple chrétien et peuple juif (tropique & sidéral), Aigle et Cygne pour SerPentaire, analemme pour nord et sud, ou toute autre dualité en pertinence de relation d'opposition différentielle...
Le plan général entier du Château de Chambord n'évoque-t-il pas un volatile aux ailes déployées ?

Scorpion sur le cercle du zodiaque, Serpentaire, constellation d'Hercule (ère recule), constellation du dragon et donc cercle de précession, tout cet échafaudage céleste fut répertorié et mis en place à Saint-Genis en deux temps (éclipse et équinoxe de printemps) et trois mouvements (3 jours comme pour Jonas) -voir carte en § 9- au titre d'une mise à jour du phénomène de la précession (revoir § 1) et appliqué ensuite et c'est même la signification pour le tableau de la Joconde.

Quand La Joconde s'inspire d'un schéma initié à Saint-Genis au centre du linteau, reprenant lui-même le concept ancestral de précession :

-Dragon
(Saint-Michel)

-Hercule
(ère recule)

-SerPentaire
(Cygne + Aigle)

-ScorPion
(ce corps pion)

Qui dit ScorPion dit né-cess-aire-ment :
SerPentaire

(carte du ciel à gauche)


Le cercle étant l'anneau et couronne, et lui le diadème de cette reine du Castel (qui SPica au jeu ?)...

Quand un rond peut s'igni-fier autre chose que le Soleil et un croissant autre chose que la Lune avec L'Esprit (laisse prit ?) et la Matière (l'amas tiers ?) :

) L'écliptique est un cercle immuable, s'agissant de la course du Soleil sur les constellations.
) Les étoiles polaires successives se situent sur le cercle de précession et sont chacune le centre de l'équateur céleste du moment (1° tous les 72 ans).
) C'est dire que les deux cercles (écliptique et équateur céleste) sont excentrés et qu'avec leur écart maximum se forme un croissant assimilable à celui de la Lune (pieds du personnage central sur le linteau). D'autant que la Lune est variable aussi dans sa "présentation".
) Le cercle de précession (étoiles polaire) est lui aussi immuable, sauf à admettre d'infimes variations d'inclinaison de la planète Terre. Cette immuabilité rappelle la première citée plus haut (écliptique solaire) dont le cercle est concentrique à celui de la précession. Ainsi le cercle de précession est assimilable à l'écliptique, et donc au Soleil.
) Le croissant ainsi formé rappelle aussi la constellation du Capricorne, qui servira de support in fine à la croix cardinale.
) Une mise à jour de l'état de précession dans l'ère des PoissonS s'opèrera vers le ScorPion à l'occasion de la fin du passage du curseur sur la constellation de l'Aigle.
) C'est ainsi que les 45° de l'ère des PoissonS sont évoqués avec la mise en place du Scorpion (à l'écart maximum évoqué plus haut, pieds du personnage central sur le linteau) et donc du Serpentaire, 45° en conformité avec le + et le X du carré Sator porté par le personnage central. Remarquer le J de Jean sur la gauche (au pied droit).
) Avant le in fine du Capricorne, c'était le croissant (ou la barque) du Capricorne, et avant lui encore ce pouvait être un croissant suggéré par la voie lactée qui servait de référence à la précession.

Mais un 8 fut invité sur la Cène pour entourer les deux plats de PoissonS, à l'horizontale pour évoquer l'analemme et former un lemniscate :
8, un nombre magique ?
Du moins total de 2 + 6, deux chiffres qui génèrent 26 parfois considéré comme un nombre sacré.
Et comme déjà aperçu dans le § 5, celui-ci est situé directement entre un carré (5² = 25) et un cube (3³ = 27), l'ensemble lui-même étant situé dans un contexte de produits de part et d'autre, 24 et 28 :
24 est le produit de 3 x 8, mais aussi de 4 x 6, ce qui évoque de fait les chiffres du nombre d'or (6,1,8), directement avec 8 et 6, et indirectement le 1 par différence 4-3. Noter que 24 c'est aussi 2 x 12 et pour reprendre les chiffres cités (3,8,4,6), c'est (3 x 4) x (8 - 6). Et des deux chiffres 2 & 4 de 24, 2 x 4 = 8 (que l'on retrouve).
28 est le produit de 4 x 7, et c'est un nombre lunaire en rapport avec le cycle sidéral de 27,321 j (arrondi au nombre supérieur). Noter que le produit de 2 x 8 est 16, ce qui renvoie à nouveau aux 3 chiffres du nombre d'or. Noter que des chiffres 2 & 8 de 28, 2 + 8 = 10, le X romain.

Extrapolation : L'octogone (8 côtés) peut être considéré à juste titre comme une ébauche de cercle. Ce cercle auquel est lié le nombre irrationnel π = 3,1416 où figurent déjà les 1 & 6 du nombre d'or, le 8 est obtenu en additionnant 3 + 1 + 4 de 3,14, noter aussi le 3 des trois cycles lunaires ( voir § 3) et 14 le nombre de stations d'un chemin de croix.

Ci-dessus au centre : schéma déjà aperçu dans § 3 à 4, à mettre en relation avec Melencolia 1 de Dürer. Remarquer 2 & 3 (2³ = 8, 3² = 9, ainsi que le passage de 8 à 9 en biais, également 2,3,5,8 en séquence de Fibonacci (à retrouver sur le K), mais encore : 14 avec 1+4=5 et 15 avec 1+5=6, tout comme depuis le haut 2+3=5 et 2x3=6, un 65 à retrouver plus loin, de plus 2+15=17, comme 3+14, comme 8+9, comme 5+12, et 17 est la moitié de la constante 34 de Jupiter. Noter que ce carré de Jupiter contient 4 intervalles pour les chiffres entre 5 lignes comme une portée musicale. Les nombres en verts seront inversés pour obtenir la constante.

Cependant qu'il faut bien savoir pourvoir un 8 en place du 12 pour des questions de latitudes avec l'inclinaison du zodiaque à 23°30 arrondi à 24° en 12,8,4, la somme des deux derniers chiffres étant 12 (avant et après solstices), l'X étant alors applati, c'est savoir apporter le zodiaque sur une portée (musicale).
Annexe RLC octogonale :

- Interlude de 8 à 9 : De l'im-portance du centre à régner sur l'échiquier...

Théorème (d'HéLèNe deux Trois ?) — Les deux seules puissances d'entiers consécutives sont 8 et 9 (qui valent respectivement 2³ et 3²).


- Annexe RLC de 8 à 9 ou de 2³ à 3² au cheval 2-3 par LN
Cheval 2-3 :
2³ = 8 (2x2x2 = 8)
3² = 9 (3x3 = 9)
2 + 3 = 5
2 x 3 = 6
Chiffres des deux rangées de droite du carré de Saturne (ci-contre à gauche).
8° signe : Scorpion
9° signe : Sagittaire
Entre les deux : la "porte d'entrée" au centre du zodiaque pour le 13° signe, le Serpentaire
Ci-dessous à gauche. Noter les 3 "S".



- 9°) UN'OEUF COSMOLOGIQUE gémellaire à symétrie toute en contraste :
Quand l'inversion rouge et jaune (ou sang et or) mène à l'idée de la lyre puis du tétramorphe par les arcs outrepassés, c'est encore un message de Wilielmus :

Car au Moyen-Âge "ils" avaient le sens du figuratif et de la justification intrinsèque ou inclusive (surtout avec Gerbert d'Aurillac), alors cette recette à remuer pendant la cuisson et servir show : 2 & 5 vs 1 & 6, ou 25 & 16 (M & J comme Mars (5x5) et Jupiter (4x4) mais aussi Marie et Joseph), mais encore 1 & 2 vs 6 & 5 ou 12 (cavaLier d'échec 1/2 ou 2/1 et arcanes 12 et 21 -dans la cave à Lier) vs 65 (mercuriel à 64 +1), et avec 2 Martien (bisannuel) et 5 Vénusien (pentagramme en 8 ans) soit le passage de l'X saisonnier décroisé en deux I & I sexués au vertical façon croissances (un blanc et un noir) comme suggéré ci-dessous avec l'œuf cosmologique (revoir C & D en schémas §2, et plus loin §21).

Traduction pragmatique : La Vierge est la plus grande constellation du zodiaque sidéral et elle est la plus opposée à la voie lactée, comme aux Poissons (voir sur la carte céleste), le signe de la Vierge peut être mis aisément en relation avec le Taureau, cause les Pléiades (voir plus haut §7), constellation adjacente située juste au-dessus de la sienne. Et le Lion (solaire) est mis en relation avec le Bélier : point vernal et ascendant théorique, et surtout case 33 du carré (pair) de Mercure destinée à être "permutée" en case centrale par Régulus (image ci-dessus à droite, et voir page carrés astrologiques : carré de Mercure), c'est la loi du père (l'ascendant), la métaphore paternelle du Lion (remarquer Lion(s), du verbe lier, comme Bé-lier). Encore LN 2-3 pour 2/5 (signes) et 3/8 liaison Scorpion et Gémeaux, voire 8 et II au tarot.

Cette "déixisation" autorise une libération ou même libérisation de la lyre et l'instauration sur le tétramorphe (des tympans d'église) des Lion à gauche et Taureau à droite, par Le Bélier et La Vierge à agrandir l'arc du solstice d'été, soit un cran au-dessus par 2° et 5° signes vers 1° et 6°, initiant 12 (3+4+5 isiaque) autant que 12 et 21 au tarot, que 1 & 2 dans la marche du cavalier d'échec, et son corol-laire par 5 & 6 : le 65 (64+1 merKuriel), c'est l'arc outrepassé tel qu'on le retrouve en façade à Saint-Génis des Fontaines.

4 est le numéro d'ordre de Jupiter, 5 est le numéro d'ordre de Mars, le rouge (Sang) est la couleur de l'élément feu, et son signe fixe le Lion, l'ocre ou jaune ou Or est la couleur de l'élément Terre, et son signe fixe est le Taureau.

Saint-Genis des Fontaines initie par le linteau ses spécificités d'équinoxe de printemps (§3) avec la présence de Mars en Bélier (signe de Feu) et Jupiter en Vierge (signe de Terre), ce qui revient à se "remonter" d'un cran vers l'équateur depuis les signes fixes cités ci-dessus (Lion et Taureau, 2° et 5° signes, le 2° (Terre) passe en 1° (Feu, et 21 ou 12) et le 5° (Feu) passe en 6° (Terre, 56 ou 65), et là tout devient cohérent dans un échange et mixage de bons pro-cédés (en X aplati juste sous l'équateur) : Jupiter peut avoir 5 bandes de Terre et Mars 4 bandes de Feu (pour un total de 9, n'œuf) : Taureau à Vierge et Lion à Bélier.

A gauche, le vitrail à la nef (neuf ?) de l'église de Bugarach, noter la voile actée pour la voie lactée, comme dans la plu-par-t (!) des lectures ornementales, avec la hune qui trace une croix occitane, et une évocation de la roue de fortune (arcane X du tarot), forte hune ?. En fait la hune représente le cercle de précession, la coque la constellation du Capricorne, les deux séparés par la voie lactée, le lever de soleil à l'horizon est une insinuation du SerPentaire.

Ci-dessus : L'Hermite, remarquer le chiffre de l'arcane composé de V et IIII pour 9 et non écrit IX romain. PSiittt : Encore qu'à l'occasion le neuf (chiffre) soit d'un'œuf la confusion phonologique, et si proche aussi de nef ou de néf-lier.
Voir également plus loin §11
L'Abbé Gillard à Tréhorenteuc présente "sa" station N'œuf sous forme d'une croix étalée aux pieds de la Fée Morgane (consonnance femme organe), dans un rouge et blanc (de sperme et de sang) évoquant le drapeau monégasque qui lui même évoque le fameux "Monaco" de Cocteau ès qualités de Marri Mât de l'aine. Les rochers (rocs, roques, Saint-Roch) forment ici des dents que l'on retrouve aussi sur la nef (9 ?) de Cocteau, dont voile avant -proue- et voile arrière -poupe (!)- ou grand voile, à rapprocher de petit et grand roques aux échecs.
(voir page NaviG-ation).

Le drapeau monégasque est (aussi) rouge et blanc et blason en principe oté (!) est constitué de los-anges (!) qui rappelent la constellation de la Lyre, laquelle se voit attribuer dans la voûte céleste le rôle du sexe féminin (autant que la mandorle, voire la constellation d'Orion). Remarquer aussi les couleurs des 2 soldats romains.
N.B. : Cette station 9 pourtant si explicite de la nature humaine et de sa sexualité-génitalité causera la "perte" de l'Abbé Gillard pour des motifs de pudibonderie...éPiScopale !.
Ce 9 reste le numéro d'ordre de la Lune, menant à son carré, 6 étant celui du Soleil : 6 comme sexe (solaire), 9 comme N'œuf (lunaire) ces 6 et 9 que l'on retrouve si liés dans le sigle du Tao.

La Lyre avec sa forme particulière façon losange-rectangle est à même de relater le passage d'un 64 de carré mercuriel à un rectangle de 65 cases et les deux "L" de Longueur et Largeur (de la Lyre) sont alors à relier à PégaSe (constellation) pour ses deux aiLes, ainsi qu'aux deux branches des PoissonS, PégaSe lui-même attribué au cavalier du jeu d'échecs avec son déplacement spécifique en L (1 & 2 ou 2 & 1, 1 pour Largeur et 2 pour Longueur), à noter également les deux L dans WiLieLmus, encadrant i & e comme les 1 et 3 de 13 : le treizième signe, le SerPentaire, et explicitant le centre du linteau de Saint-Genis-des-Fontaines (de la même façon que petit et grand r(au)ques) .
N.B : WILIELMUS (cliquable) contient 9 lettres, soit une lettre par paramètre astrologique essence-ciel, et dans l'ordre sur le linteau de gauche à droite, chacun avec son numéro d'ordre astro² : Saturne 3, Vénus 7, Mercure 8, Mars 5, Soleil 6, Jupiter 4, LN 1, Lune 9, Nodal 2.
Or WILHIELMUS s'écrit en principe en 10 lettres, c'est dire que le H (8° lettre) aurait été occulté mais peut-être pour donner toute sa signification Hermétique au linteau avec le H de Hermès (voir le regard (et l'attitude) de Mercure sur le linteau) entre les deux L et si près de I et E (1 & 3) pour établir un schéma directeur qui sera entre autres repris à Chambord.
Le WIlHIELMUS est devenu l'hymne officiel des Pays-Bas et est considéré comme le plus vieil hymne national du monde (XVI° siècle), il y est question entre autres de Prince d'Orange et de Roi d'Espagne.

Se pose alors cette question de savoir si le H de Wihielmus n'aurait pas été remplacé volontairement par un L que l'on retrouve dans Wilielmus. (à suivre...)
i.e. (ou 13) : Pourquoi tous ces non-dits quant à l'idée de fécondation, que Wilielmus exprime si bien sur le linteau ?
A Rênes-LeXTao, Saunière pose los-anges (4 anges) en losange devant et à côté de la station 9.

C'est alors qu'il faut se remémorer les états de la matière et les couleurs du paragraphe 3, ainsi que les 4 élements (du § 4) pour bien capter la signification de cet "échafaudage" à l'entrée (et à la sortie) de l'église de Saunière. Lequel joue de Corbières et Pyrénées comme Courbes y errent et Périnée.

Chercher ici encore et en-corps l'appareil sexuel et génital féminin, graalesque, en qualité de vecteur de création. Tel le caducée de Mercure, le BaS lance en base idyllique deux basilics (B-asil-i-C-S) pour le vain ou levain : c'est toute l'alchimie de la chair(e) en cette logique de SuBlimation célébrant le féminin sacré qui N'ombre le graalesque sans perdre à l'aiN-e.

TU LEVAIN CRAS ou TU LE VAIN-C & R.A.S.,
avec V & A entre E & I ou 13 sans s'y tromper
(LE, aiLe droite ou aiLe gauche de l'aiLée foune).
Gazeux, Solide, Liquide, et le reste de BiaiS en "aïe" de rauque(s) ent(r)e SPica Virginis et Véga : A comme Air, Ï comme SuBlimation, E comme Eau. Saunière en fait une planche anatomique à l'entrée et la sortie de l'église de Rênes-LeXTao (image de droite), où l'on remarque un élément d'un côté et deux de l'autre (2 & 1). Etant entendu que la partie en marron a déjà été évoquée en §1 comme afférant au Cygne et à l'Aigle (initiales C & A et axe CAncer-CApricorne).

PSiittt : LE V(A)IN est une affaire d'hom(m)e ? Demande à ton V-entre ce kill en panse...

Palindrome Sator où Mars eut pia(u)le centrale en 1 et 3 que le BaS lance à deuX diagonales indissociables autant qu'indices sociables ? Rien de p-ara-do-x-al en continu, à Saint-Genis le cloître s'ouvre à l'ouest en cases 5 & 6.
Et la Pleine Lune ne serait pas hostile au style de l'hostie ni à l'aRôme tout lèche main y mène ?

Sur la base de 9 critères astro d'une carte céleste, Wilielmus envoie du lourd à la nouvelle référence de seconde partie de l'ère des PoissonS :
Les 2 luminaires (Soleil et Lune) en opposition, et sur 2 axes conjugués (Grand axe et axe nodal), avec les 5 planètes du septenaire (dont mention spéciale pour le carré de Mars à main gauche du personnage, et diagonale vers sa droite) pour introduire le ScorPion et le SerPentaire au-dessus.

C'est que 9 relève aussi d'une dimension karmique par interférence des deux cycles lunaires Draconitique et Anomalistique tournant en sens inverse sur le zodiaque.

(à suivre...)

- Annexe RLC à n'œuf d'un 3² en 3x2 mué comme une carpe en l'air des PoissonS, ici Racines et Elévation au soleil levant, réf. au point vernal : Sel, Poivre et pas pris K des pâmes bleues de met-il l'aiNe en Largeur 3 & Longueur 4, épi t'as gore ?
Le 9 entre 4 et 5 comme le 17 entre 6 et 4 : central !

Constantes de Kaprekar ne sont pas un caprices de star, et c'est du niveau primaire :
- 495, c'est carrément isiaque d'un trois central en oeuf.
- 6174, c'est fendu de janvier en disette à la disserte d'un échiquier, d'autant que 1 + 7 = 8, carrément.
(Total 495 + 6174 = 666.9 , Bethmale ?)

Comme le V graalesque a une composante décroissante et une autre croissante : comprendre comment sonne hier à Rênes-LeXTao...
J pour Jupiter (d'ordre 4) et Joseph, M pour Mars (d'ordre 5) et Marie ? Ou quand les constantes 3 & 4 de Kaprekar interrogent quant à un éventuel anachronisme.

Un oeil cosmologique en 6 (Soleil) et son inverse 9 (Lune) orienté Est pour le point vernal, surtout avec l'échaffaudage carré au-dessus de l'autel qui évoque une élévation (!) du 3 au carré (et double de 3 pour le 6). Le V lui-même est de par sa forme une aptitude au décroissant puis croissant de l'algorithme de Kaprekar. Noter (accessoirement ?) que la différence est de 5679, soit les chiffres encadrés par 4 & 4 autour du + à l'exception du 1. Tout ceci n'échappa pas à Saunière...

L'anachronisme de rigueur consiste à admettre que des découvreurs ont bien donné leur nom à des formules préexistantes avant mais non structurées ainsi. C'est alors ici que le V revêt toute sa splendeur symétrique. Et le N° d'ordre de Jupiter est bien 4 et celui de Mars 5. L'ermite au tarot indique également V (5) et IIII (4), et il en est question à Rênes-LeXTao. Et pour 4 et 5 à nou-veau : signes du Cancer (4°) métaphore maternelle et Lion (5°) métaphore paternelle, ce qui cadre bien aussi avec l'image ci-contre.

8 = 7 + 1, ou 2 luminaires + 5 (V) planètes et 1 intru, ou un bikini et une dose de papriKa en option...

- Interlude de 9 à 10,
13 x 3 = 39 = x² + 10x à l'indice symétrie ou pas-sage de 3 décuplé et de son carré dU terrain Konu à ficher en Ter(re) in-connu(e) :


Les nombres et les planètes sont très liés et le seront encore plus avec Gerbert d'Aurillac à partir de l'An Mil (et avec Wilielmus): 3 est le numéro d'ordre de Saturne, 9 est le numéro d'ordre de la Lune.
C'est aussi la référence de base (3²=9) pour 39, commun à Mars et Vénus (respectivement 780 / 39 = 20 et 584 / 39 = 15, soit 4 x 5 et 3 x 5), et à la Lune (273) au coefficient 7 (nombre d'astres) et 13 x 3 = 39, avec cette particularité d'équation : 39 = x² + 10x, où le nombre du résultat indique la racine et son carré en chiffres et conçu à partir du carré et de dix fois sa racine, valable aussi pour 1 et 2 :
1² + (10 x 1) = 1 + 10 = 11 racine 1, carré 1
2² + (10 x 2) = 4 + 20 = 24 racine 2, carré 4
Noter que 24 - 11 = 13 de la même façon 39 - 24 = 15, mais 13 + 15 = 28 lunaire soit donc la différence entre 11 et 39.

Cet affichage racine et carré dans le résultat fonctionne pour 1,2 et 3 avec le coefficient 10 (carré inférieur à ce nombre), pour la suite il faut changer de décimale en fonction de la valeur du carré.
- Exemple (carré entre 10 et 100), coef. 100 : 9² + (100 x 9) = 981 racine 9, carré 81
- Exemple (carré entre 100 et 1000), coef. 1000 : 12² + (1000 x 12) = 12144 racine 12, carré 144

Ces prérogatives étaient-elles connues de Gerbert d'Aurillac dès l'An Mil et transmises à Wilielmus ? Possible...
780 (Mars) + 584 (Vénus) = 1364 (phonologie 13 sans 64, ou la case centrale du carré de Mars sans le carré de Mercure).

De la même façon mais avec un résultat qui n'a plus rien à voir avec l'affichage du carré et de sa racine, mais en reprenant la même formule que pour 1,2 et 3 :
4² + (10 x 4) = 16 + 40 = 56, symétrique de 65 = 5 x 13, or 16 est le carré de Jupiter et 65 (en 5 x 13) est l'"extension" du carré de Mercure en rectangle (64 + 1), à "case centrale" 33 (et "christique"). A Saint-Genis les 5 et 6 sont "en-voûtés" autour du cloître, comme un leitmotiv. Remarquer cependant que le 56 concerne l'équation appliquée au 4, et que la suite 4,5,6 est celle de la diagonale descendante du début (carré de Saturne). En outre 56 + 65 = 121, soit le carré de 11.

Toujours avec la même équation, appliquée ici au numéro d'ordre 9 de la Lune : 9² + (10 x 9) = 81 + 90 = 171, où le 7 est encadré par les deux 1 du 11 évoquant le 17/1 (17 Janvier) à Rênes-LeXTao.

Gestation en semaines : 39 x 7 = 273 = 10 x 27,3 du cycle lunaire sidéral.

Et 369 est le nombre de la constante de la Lune, en y incluant le numéro d'ordre (6) du Soleil entre le 3 et le 9 de 39. Cependant que dans 3,6,9 le double de 3 est bien 6 et son exposant ² est bien le 9.
Noter aussi que l'équation appliqué au 6 du Soleil donne : 6² + (10 x 6) = 36 + 60 = 96, ou le sigle du Tao (Jour/Nuit 6 & 9) en inversé.




- 10°) Classées X Natur-eLLe-ment que les diagonales sentent la dis-grâce, et quand jointes en leur centre une silhouette de sabl-ier fait rêve-errance au soleil appointé.

Autrefois les thèmes de naissance étaient dressés à partir de 3 carrés imbriqués qui rappellent l'octogone et déterminant 12 cases extérieures et non d'un zodiaque rond.
Les diagonales séparaient les saisons, la diagonale descendante était celle de l'équateur (Balance à Bélier) celle montante était celle de l'axe des solstices (Capricorne à Cancer).

L'idée de la diagonale dans la voûte céleste revient à la constellation d'Orion (revoir §3), et même plus : des deux diagonales.

Noter aussi que toujours avec 2 & 5 (=7, comme 2 x 5 = 10 ou X) avec un écart de 3, mais aussi avec 3 et 8 (=11) avec un écart de 5, que ces deux nombres appellent un 4, typiquement nombre du carré ou du losange régulier. Il est en fait très difficile de sortir d'une dynamique isiaque, et pour cause. La case 25 est aussi la case centrale du carré de Vénus et 25 est le nombre total de cases du carré de Mars.

Cependant que le X des diagonales est le 10 romain, somme de 4+3+2+1 en référence à la tétraktys pythagoricienne, reprise par la papauté en y ajoutant 5 pour obtenir 15 (XV) en relation directe avec le carré de Saturne par sa constante (15) et carré aux deux diagonales "fondamentales" à retrouver ensuite sur le carré de Mars.
La tétraktys pythagoricienne, se trouve valorisée par la loi de Titius-Bode en astrologie-nomie - du type ensemble Terre & Lune à 4 + (3 x 2¹).
Ces chiffres : 4,3,2,1 (et de la Tétraktys) sont aussi ceux de la conjecture de Syracuse déjà évoquée plus haut. Ne pas oublier que diagonale contient en première syllabe celle de diable et que l'anagramme de cette première syllabe est Ida, comme le nom d'un Mont à découvrir dans le §13.
Dans le jeu d'échecs le fou circule en diagonale(s), et le fou n'est autre que le successeur de la pièce initiale de l'éléphant (ailé faon ?). Et le N de Zèle proposerait (aussi) deux diagonales, dont une inversée ?

La tétraktys autant que le sable du sablier peuvent évoquer de formes les items des quatre éléments en astrologie, autant qu'un cœur et un pique, à pouvoir bien visualiser que 2 x V (dont un inversé) teliés par la pointe = X :

Le secret du 10 (X sur le carré de Saturne) est cette différence entre 13 x 28 = 364 et 29,5 x 12 = 354, ou le passage du lunaire sidéral à un tracassant (3,4,5) luni-solaire synodique, toujours le culte de la fécondation.

A jouer avec les puissances de 10 ? : 10² = 5³- 5² = 4³ + 6², où l'on retrouve les chiffres 4,5,6 de la diagonale descendante du carré de Saturne, autant que ces mêmes chiffres serviront au carré de Mercure (64) et à sa faculté d'extension (65).

Image à gauche Wilielmus au centre du linteau de Saint-Genis présente le carré de Mars (5² = 25 cases), tenu par les 5 doigts de la main gauche, avec des suggestions : la case centrale (13) et les diagonales, essentiellement pour la symétrie des compléments à 26-1 (=25, remarquer que notre alphabet comprend 26 lettres, un hasard ?). Les carrés d'ordre impair ont tous une case centrale (Saturne ordre 3 : case centrale 5 (V romain), Mars ordre 5 : case centrale 13, Vénus ordre 7 : case centrale 25, Lune ordre 9 : case centrale 41), les carrés d'ordre pair ne possèdent pas de case centrale (noter le rapprochement à effectuer avec le principe (sexué) de genre : pair-père-masculin, et donc impair-féminin-mère-case centrale ?). Cette question trouvera son "épi-logue" avec le carré de Mercure (y compris à Saint-Genis).
N.B. : Case centrale 25 de Vénus, symétrie, calembour : s'y mettre "i". Et 26 lettres : 2 à 6, Taureau - Vierge.


- Interlude :
Quand l'aviaire, et l'avis-ère qui lave hier s'avisèrent au lavis-air qui erre de Cygne en Signe :

Le plus mage angélique de Wilielmus :

La constellation du Cygne présente cette particularité d'avoir le bras gauche si près de la constellation du Dragon où s'inscrit le cercle de précession (étoiles polaires), de même pour Véga de la Lyre.




- 11°) Dualités-gémellités dans les coups lisses de l'indivis duel où Sol se tisse du coLLectif, à l'11 en fa-on de l'appât trié d'un 101 pur au CAs du Cygne et de l'Aigle se revendiquant issus d'un même 0euf sur une èRe d'accordé ON, qui s'ingénient là où Va BenNer de Noir et Blanc le Baucent en bossant manie qu'est un à l'oMbre de oNZe vers un Mars en-chanté :

A l'onze en faON de l'appât trié sur le volet qu'1 & 1 fondent 11 à lyre 6 + 5 (Soleil et Vénus-pentagramme) vers un 101 pur ?
(101 est le plus petit des nombres premiers à trois chiffres)
C'est que I & I...font II en chiffres rOmains. Ci-dessous à gauche évocation du 11 (et du 101 ?), momument du bicentenaire au champ de Mars apparu en 1989 à Paris.

S'il n'est de gloire que d'ego lire (ou l'ire) à river en 8 lettres et d'anagramme, alors ne jamais oublier cette LapaLissade qui ose et hausse l'ego en égaux :
1, l'unité, est toujours et à la fois le double de la moitié et la moitié de deux. Il en va ainsi dans sa lignée de chaque humain, mais en astrologie aussi : L'unité de l'année se compose à la fois de deux semestres, chacun d'eux autour d'un solstice opposé (Mercure et KaduCée), mais aussi d'une moitié du transit bisannuel de Mars -yang ou yin martien suivant les années en fonction de sa dépendance ou non à la triade Soleil-Mercure-Vénus, notion reprise en astrologie chinoise pour 2 années consécutives pour chacun des 5 agents chinois.

Image ci-dessus à droite : VItruVe (l'homme de-), de la même façon que Vaux-le-VIcomte (son parc est traversé à l'Est par le Ru des Jumeaux)... 11 c'est aussi l'intercalation astrologique :

(à suivre...)

101 pur jus du nombre d'or :
101 = 8² + 1² + 6²
= 64 + 1 + 36,
ou carrément (!) l'alliance Mercure (8) - Soleil (6) à propos d'une case (1) à "développer", et 8,1,6 chiffres du bas du carré de Saturne mis en constante.
Le 11 initial évoquerait donc le caducée de Mercure (Voir l'extrapolation plus loin, même §) où Mars essaye aise au treize hors (eau & air) ?
C'est l'occasion de rappeler la marche du cavaLier d'échec en L à 1+2 ou 2+1, que deux arcanes du tarot sont un 12 et un 21 (et pas des moindres pour ce dernier), et que deux L peuvent former un T, hantées de ne pas être ceLLes de L'aigLe (SeL ? revoir son symbole alchimique §2).

Image à gauche : Carré naturel de Saturne à constante de 15 déjà acquise dans la plu(s)-par-t des axes, ceux passant par le V central. donc où seuls les barres du + et du x développent 15, soit le "plus" et le "par", avec les verticales à 12,15,18 et horizontales à 6,15,24, différences de 3 pour les premières et 9 pour les secondes, 3 & 9 de 39, le deuxième (9) étant le carré du premier (3).

Le 11 apparaît aussi comme l'alliance du + (plus) et du x (par) autour du V central sur le carré de Saturne, chaque signe + et x opérant pour une parité (pair, impair), voire un sexe (masculin, féminin) ? Toujours l'addicte dîme mention sacré du "ça crée", 1 et 1 inversés dans le M (et sa consonnance), tels deux entités en relation d'opposition différentielle pertinente à produire un 0 (n'œuf, par coeff. 1 au masculin et 3 au féminin).
L'AlchiMie alambiquée dénombre, dénonce et démembre les n'ombres (et quelquefois des lettres) : 13 case centrale du carré de Mars à 25 cases, Case-tord et Pollux, toujours la Gémellité, et autres carrés Voués à devenir rectangles. Tant D'O au final que 25 + 13 = 38, nombre qui dessine un 3 à l'endroit suivi d'un 3 à l'envers (symétrie, s'y mettre i) et un autre 3 à l'endroit, 38 dont la somme est 11 (3+8) tout en évoquant 3 x 3 et même la note DO, de même principe que ces détails du 38. DO est le début de l'expression DOnec Erunt Ignes, tout à fait pertinente pour l'alchimie, outre une possibilité de passage de 38 au fam-eux 39 par le biais du carré de Jupiter et sur le schéma un 38+1 quasi en isiaque à la façon du triangle d'éTé.
Ainsi également le signe des Gémeaux inclut Castor et Pollux, la voie lactée partie de la Licorne à leurs pieds se divise plus loin (revoir §7) en deux en DENEB, avec à chaque extrémité du nom de cette étoile (important) : D (idée de moitié de O, voir plus loin dans ce § 11) vers l'Aigle et B (idée de double O en superposé, ou O torsadé à la façon d'un 8) vers le Cygne, lequel place le bout de son aiLe gauche dans le cercle de précession (voir page éponyme). Le signe de la Balance a pour sigle deux plateaux, celui du Capricorne a une tête de caprin et une queue de poisson, et le signe du VerSeau n'est pas contre le VS. On remarquera (subsidiairement ?) que le Bélier est pourvu de deux cornes, comme le Taureau et comme le Capricorne. Mais aussi que le Cancer (crabe) a deux pinces, tout comme le Scorpion (et l'écrevisse ou le homard de l'Arcane XVIII du tarot de Mars-seille, dont on sait que pour le dernier cité chaque pince a une utilité différente (des rapprochements à effectuer ?).
Dualités-gémellités et bien sûr sans oublier les Poissons, de taille et de direction différente dans leur constellation et reliés par la queue (image ci-dessus à droite), ils ont donné le nom à notre ère actuelle depuis plus de 2.000 ans. On notera que si le Mi indique la moitié c'est aussi la première syllabe de Michel, et son Saint en référence au DragOn, qui contient D & O comme une moitié de cercle suivi de son entier (formant note de musique éponyme), que DOuble commence par DO, et que B comme le chiffre 8 évoque ce qui fait mine un en deux parties liées tel un O initial torsadé. M & i étant également les initiales de "Ici et Maintenant", expression certes lacanienne mais dévolue aux Gémeaux dans leur principe mercuriel.

Extrapolation : Poisson qui inspirera le mystérieux cryptogramme "SOT PECHEUR" à Rênes-LeXTao (deux poissons réliés par la queue forment avec celles-ci un losange, et Carpe diem en pâmes bleues de mets-i-l'aine. Mira est une étoile de la constellation de la Baleine pointée par le V des Poissons, Mira... comme le "Mira gestorum" de la gamme musicale (§7), et comme dans mira-cle, voire comme dans mirabelle, fruit du mira-bellier, variété de prunier, répandu spécialement dans l'est : en l'OR-reine) ?
PSiittt : Constellation de la Baleine et légende de Jonas pour 3 jours (encore le 3) voir les tableaux Gasc-Poussin.

Ainsi est-il possible d'envi-sager que la meilleure "formule" d'idéogramme pour exprimer un entier et ses deux moitiés autant qu'un entier en temps que moitié d'un autre entier serait d'aDOuBer un Y dans l'alphabet, ce qui n'aura pas échappé au fait culturel d'autrefois, avec cette nuance de gémellité parfois inégale comme Castor et Pollux ou les deux branches de la constellation des Poissons. Moitié ne valant pas égalité (à méditer), non plus que les deux mâts en attente de l'Arcane 12 (!) du tarot, le 21 pour celui du Monde, autant que le Y ramène à l'alternative de la chatte de Schrödynger(!)-12- avec ses tré-mas sur le ö et son y en minuscule où le bas évoque une "orientation initiale ou finale" de diagonale (8-5-2 ou 4-5-6, voir plus loin), rappel (§ 4) : "Toutes les écritures ont commencé avec des rébus", et que phonologiquement O & R (comme dans chrysopée) peuvent s'écire Eau et Air, comme dans VairSeau, si proche de "VerSus", également admis VS.

Cependant qu'avec ce paragraphe sur les dualités et gémellités ne peut être passée sous silence la notion de métonymie, et spécialement celle de la relation "contenant-contenu" (sans jeu de mots).
Une récurrence en astrologie consiste en la suite géométrique de raison 2 et de premier terme 1 (1,2,4,8,16,32,64,128,256,512...), s'agissant aussi de moitiés et de doubles. Les premiers termes rejoignent les astres du Septenaire avec Mercure et son caducée (1 -tout en constrate) à "appliquer" aux dualités Soleil-Lune (2 - luminaires), puis Mars-Vénus et Jupiter-Saturne (4 - planètes), et aussi arbre généalogique.

Mais surtout 8 et 16, respectivement 4° et 5° (Jupiter et Mars), à la rescousse du nombre d'or.
N.B.: "raison 2 et de premier terme 1" à évoquer les arcanes 12 et 21.
Comment dans la composition d'un 8² introduire 11 avec deux notions de diagonales, sachant qu'elles figurent déjà en X dans le 10 sous forme de 2 + 3 + 5 ou Méton doit dans l'engrenage béton d'un 2 x 3 = 6, + 5 pour le 11 avec l'idée suggérée d'une case en plus pour 8² + 1 = 65 ?

C'est le Cas de la 11° lettre dépeinte à deux pentes :

Dont une à 2/5 Taureau-Lion façon § 9, et l'autre à 3/8 façon Gémeaux-Scorpion (et Serpentaire induit) : Aigle centrifuge du zodiaque et Cygne centripète.
Ce sont aussi deux pentes à former un X sur le carré de Saturne : les deux Diagonales, initiale(s) D comme deux les "D" inversés ci-dessus à droite.

11 tel Mars et Vénus formant un couple c'est aussi la somme d'une racine et de son carré (déjà évoqué) 3 et 9, numéros d'ordre respectif de Saturne et Lune. C'est également que 39 est le nombre officiel de semaines en gestation chez l'humain.
3 et 9 sont de part et d'autre du linteau à Saint-Genis : Saturne à gauche et Lune à 3 cycles à droite, dont cycle sidéral en 8° position.
39 (somme de 3 + 9 = 11) est le résultat tangible de cette équation : x² + 10x = 39, où un carré et sa racine sont chiffrés dans le résultat mais peuvent aussi être confondus pour donner 11 (1x1 + 10x1 = 11).
9 ou 3x3 et les côtés d'un boîte, 1x3 pour son couvercle ? Revoir la fin du § 3.
Ce 11 est aussi la moitié de 22, ce que fait savoir Saunière dans son P-arc. - A noter qu'à la 11° phase de la séquence d'une suite géométrique de premier terme 1 et de raison 2 (1,2,4,8,16,32,64,128,256,512,1024,2048,4096,8192...), on retrouve les 3 premiers chiffres de la liste encadrant un 0, ces trois chiffres sont dits masculins par rapport au 3, féminin( issu de 1 (M) et 3 (F), le 13. A noter aussi dans cette suite géométrique (1,2,4,8,16,32,64,128,256,512,1024,2048,4096,8192...) la présence des chiffres du nombre d'or à cheval sur les positions 4 & 5, et 13 & 14. (à suivre...)

Extrapolation :
Ce nombre 11 (de même facture glyphe que le II romain) est particulièrement intéressant à soumettre à la conjecture de Syracuse. En effet en qualité de nombre impair il est destiné au x 3 + 1, soit 11x3 = 33 (un nombre pas innocent) + 1 = 34, un autre nombre qui est celui de la constante de Jupiter (voir également le carré Subirachs). Ce 34 appelant de manière isiaque un 5 (V romain), lequel également nombre impair pour le même sort : 5x3 = 15 (constante de Saturne) + 1 = 16, nombre de cases du carré de Jupiter (4² = 16), lui-même quart du carré de Mercure (16x4 = 64) aux diagonales et sous-diagonales déjà en place. C'est ainsi qu'une certaine chanson commençant avec 11 et se finissant avec un 101 pourrait bien avoir une origine astrologique ?

A gauche : la Gare "On(e)" n'est pas voie "Off", et le pronom "On" est dit indéfini.

(à suivre...)
Pronunciamiento du SerPentaire en 1020 si OSé et bien exprimé au linteau de Saint-Genis : Arrive-t-il que blanc et noir en basique dualité de contraste puissent s'associer de gré sans systématiquement se fondre en gris ? :
Le Cygne et l'Aigle à I + I en cas de n'œuf font 11 : le SerPentaire est le treizième signe, à deux composantes initiales en constellations : Ophiuchus et Serpens, il est situé à l'intérieur du cercle zodiacal pour valoriser les fonctions solaire-diurne et lunaire-nocturne et les quatre saisons dans le process intriqué-imbriqué C-D-J-N qu'exprime à merveille le sigle du Tao : Croissance et Dominance alternativement du Jour et de la Nuit sur un an dans un cycle sans fin. Ce symbole du Tao, expression de la réalité est à placer au centre du cercle zodiacal (image sous le titre). Voir la page "construire un zodiaque".

Il a été mis en place vers l'An Mil, ce qu'indique la façade au linteau de Saint-Génis des Fontaines. Une page de ce blog lui est consacrée. En fait le SerPentaire (Sagittarius-Serpentarius) est l'expression de la régression (naturellement rétrograde) de Capricorne vers Sagittaire, régression-rétrogradation commune du Cygne et de l'Aigle à exprimer leur gémellité dans un œuf cosmologique originel, dès lors que le rayon de précession sur l'écliptique commençait à atteindre la constellation du Sagittaire (vers l'An Mil) - Triangle d'été avec la constellation de la Lyre et constellation d'Hercule explicite phonologiquement d'une régression-rétrogradation. Voir plus loin §21. Cette constellation du Serpentaire (Ophiuchus & Serpens) est situé au-dessus du signe du Scorpion. On la retrouve sur la tapisserie de la Dame à la Licorne (inscrit sur la tente du serpentaire : "MON SEUL DESIR" = celui d'un enfant, ou 6° sens, celui de la maternité) - voir également page art et astrologie de ce blog.
PSittt : Le mot de la fin pour ce §11 revient à l'Abbé Gillard, de Tréhorenteuc : "La porte est en dedans" pour "La portée en deux dans".
Mention spéciale aussi au XV° siècle pour Jean de Berry avec son double mot : "aproche * aproche *" sur le mois de janvier, voir page art et astrologie.
Autrement, 11 (croisements) en option intello ? Voir ce lien 👀 (déjà évoqué en §3).

Salvador Dalí semble très proche des prérogatives établies à Saint-Genis, notamment avec ce tableau :
- Interlude Annexe pour 8 et 11 au tarot :

Controverse sur l’ordre Justice-Force (8-11) :

* La version officielle
* Autre version : (à suivre)



- Annexe RLC au 11° : ELEVEN





- 12°) Duodécade en parade isiaque chez Pythagore (et en douce sur le Yang-Tsé-Kiang ?) et réalité tropique (ou saisonnière) du zodiaque à externalités métaphoriques :

Parade isiaque la formule pythagoricienne 3 + 4 + 5 = 12, non plus que toutes autres formules ou formes régulières ou non et associées ou pas à des mythes et légendes de l'anti-quité fondateurs de paradigmes devenus des structures (dont on s'accordait de façon empirique).

Ci-contre à droite : Nutrisco et ExtinG(u)O : sans le "u", 17 lettres en Janvier et même les autres moi(s). Noter le 8 du lemniscate (1+7=8), le EGO inclusif (et intrusif ?), et le nom même de la saLAmAndRe aussi inclusif de quatre lettres du mot GRAAL. Et si le G du phylactère était écrit comme à l'en-vers pour y inclure un U mis au rang quart. Phylactère en 12 + 5, chiffres de biais du carré de Jupiter, et croisés directement avec 2³ et 3² ?

Le triangle isiaque est une évocation du triangle d'éTé (des T de TeneT ?), constitué par Deneb (du Cygne), Véga (de la Lyre), Altaïr (de l'Aigle), avec une "variation' sous Véga pour le rendre rectangle. On le retrouve sur le tableau de Léonard de Vinci : la Vierge aux rochers (rochers, rocs, roques ?).
A droite une disposition intéressante à propos du triangle isiaque (féminin, masculin, enfant).
Intéressante aussi la distribution des pairs et des impairs à voir au § 15 et sur la page carrés astrologiques de 1 x 45° à droite pour les pairs et 3 x 45° (!) à gauche pour les impairs, en partant avec un écart naturel de 45°, écart final : 5 x 45° (= 135°, soit 13 & 5).

A gauche comtoise qu'on toise ? Encore "oi" pour IO (IO comme Isis et Osiris, voir §14), à rapprocher du sel alchimique au vertical, partage du 1 en alternative de 2 possibilités pour un 4 en suspens(e), métaphore de la chatte de Schrödynger : AlterNatiVe par L en 1 & 2 ou en 2 & 1 = 12 ou 21 (inverse), soit deux hypothèses. Remarquer les deux triangles formés par le "tic-tac" du personnage en hypothèse d'hypoténuse.

C'est ainsi qu'un seul rectangle s'accorde deux triangles rectangles, et même mieux : avec deux hypoténuses -soit une pour chaque triangle- si ce rectangle est issu du produit de deux nombres de la suite de Fibonacci dans une triade de trois (voir tableau du §17), ce à quoi obéit le carré de Mercure qui plus est détient un caducée (K du C ?) apte les envisager (voir page carrés astrologiques).

Ne pas oublier qu'abstraction faite de l'hypoténuse chaque triangle rectangle forme d'abord un L (l'Aigle de Saint-Jean possédait bien 2 aiLes), qui est aussi la marche du cavalier d'échec en deux formes.
PSiittt : On aura remarqué dans hypothèse et hypoténuse la consonnance "hippo" qui ramène au cavalier d'échec avec ses déplacements en "L", ailes comme ceLLes de PégaSe. Deux "L" que l'on retroue aussi dans la constellation de Persée dont l'étoile principale est Algol (outre que Persée contient P & S comme dans SerPentaire (et avec un P comme celui du chrisme).


Ci-contre à gauche le carré de Vénus d'ordre 7 présente à l'évidence l'identité remarquable a² + 2ab + b² assumant ici la justification de deux triangles isiaques (et deux autres par symétrie), et incluant deux autres carrés (Saturne d'ordre 3 et Jupiter d'ordre 4), avec centre du carré en limite : case 25. Le numéro d'ordre de Mars étant le 5, le triangle isiaque établirait donc un lien "isiaque" entre Saturne (3), Jupiter (4) et Mars (5), avec une "valeur d'hypoténuse" pour ce dernier.
A noter que la constante du carré de Saturne est 15, celle de Jupiter est 34, pour un total (tout théorique) de 49, ce qui est le nombre de cases du carré de Vénus (7²). La diagonale descendante pour les trois carrés (Saturne et Jupiter, inclus dans celui de Vénus au total des deux) ferait donc abstraction des 2 rectangles de 12 cases, total 24, soit 1 case de moins que le carré de Mars. Ces rectangles sont de 3x4, et ces 3 & 4 : chiffres de la constante de Jupiter.
PSittt : Pour un peu sur cette diagonale de Vénus la petite diagonale de Saturne pourrait représenter la petite branche de la constellation de Poissons et Jupiter la grande. Quant à la case manquante de Mars pourrait-elle d'une façon ou d'une autre s'inviter sur la case 25 de Vénus, par ex. si c'était la case 13 centrale d'un carré de Mars laissant une marge autour dans le carré de Vénus (aux 49 cases où 4+9=13) ?

12 c'est le nombre de signes du zodiaque, reprenant le nom et l'ordre des constellation d'origine avant écart entre les deux (signes égaux et constellations inégales) mais c'est aussi le nombre des travaux d'Hercule. Il existerait donc un rapprochement à effectuer.

Dans « Les Travaux d’Hercule ». Alice A. Bailey exposait l’ordre d’épreuves que voici :
1. Bélier : capture des cavales mangeuses d’hommes - 2. Taureau : capture du taureau de Crète - 3. Gémeaux : Cueillette des Pommes d’Or des Hespérides - 4. Cancer : Capture de la Biche de Cérynée - 5. Lion : Massacre du Lion de Némée - 6. Vierge : Prise de la Ceinture d’Hippolyte - 7. Balance : Capture du Sanglier d’Erymanthe - 8. Scorpion : Destruction de l’Hydre de Lerne - 9. Sagittaire : Extermination des Oiseaux de Stymphale - 10. Capricorne : Destruction de Cerbère, Gardien de l’Hadès - 11. Verseau : Nettoyage des Écuries d’Augias - 12. Poissons : Capture des Bœufs roux de Géryon.

Cette correspondance est variable suivant les auteurs.
Quels sont les douze travaux d’Hercule ?

1°) Tuer le lion de Némée

2°) Tuer l’hydre de Lerne, un serpent à plusieurs têtes

3°) Capturer la biche de Cérynie, une biche ayant la particularité de posséder des pieds d’airain, protégée par Artémis

4°) Capturer le sanglier d’Érymanthe

5°) Nettoyer les écuries d’Augias en un jour

6°) Tuer les oiseaux du lac Stymphale, qui mangent les hommes

7°) Capturer le taureau furieux de Crête

8°) Capturer les juments de Diomède, qui ont la particularité de se nourrir de la chair des hommes

9°) Rapporter la ceinture d’Hippolyte, reine des Amazones

10°) Tuer le monstre Géryon et voler son troupeau

11°) Prendre les pommes d’or du jardin des Hespérides

12°) Capturer Cerbère et délivrer Thésée des enfers

En savoir plus sur: https://jeretiens.net/les-12-travaux-dhercule-heracles/


Mais il est possible d'effectuer des assocations entre les travaux cités et des constellations zodiacales et même hors écliptique :

- Ainsi le monstre Géryon pourrait avoir un rapport avec la constellation d'Orion, surtout par ses "trois corps joints au niveau de la taille", ce qui n'est pas sans rappeler le chrisme et les trois cycles lunaires.
Noter aussi la proximité phonétique entre Géryon et Orion. Mais il est question aussi de la ceinture d'Hippolyte (quelquefois d'ailleurs attribuée à la constellation de la Balance).





- Annexe RLC sous l'éGide de la dodécade




- Interlude 12 à 13
(que l'ON de-V-rait dire de 13 à 12 ?) :
Alors 12 ou 13 signes du zodiaque en comptant d'émoi le SerPentaire hors écliptique ?


1°) Addition et addiction : Tout d'abord remarquer que 12 + 13 = 25, nombre de cases du carré de Mars et numéro de la case centrale du carré de Vénus (en fait on n'en sort pas de ces deux là, comme si tout était fait pour...).

13 c'est le nombre de lunaisons sidérales, admises officiellement à 28 jours (nombre divisible par 4 pour l'équivalence en semaines), ce qui donne en une année 13 x 28 = 364
En réalité 27,32 jours x 28 = 355,16 (soit une différence de presque n'œuf jours avec le nombre officialisé ci-dessus à 364, et X jours avec 365).

12 c'est le nombre de lunaisons synodiques (rapport Soleil/Lune comme en témoigne ici le "y") ou lunes de calendrier, admises à 29,5 jours, ce qui donne en une année : 12 x 29,5 = 354 (isiaque)

Avec la notion précédente la différence est de 10 (364 - 354), soit un X romain ou deux diagonales peuvent exprimer le décalage entre 13 lunaisons sidérales et 12 lunaisons synodiques (inclusives d'un y pour ces dernières).

La différence entre ce nombre de lunaisons synodique isiaque (354) et le nombre de jours dans une année (365) est l'intercalation de 11 jours.

Additionner les 11,12,13 ci-dessus c'est obtenir 36, le nombre de décans et aussi les deux premiers chiffres de la constante de la Lune : 369, manque le 9 (n'œuf) où déjà 3+6 = 9. Remarquer le total 3+6+9 = 18, nombre de l'arcane XVIII au tarot : la Lune.

Sachant que 14 (nombre de stations d'un chemin de croix) est la moitié de 28 (nombre lunaire), on se retrouve ici avec un quarteron 11,12,13,14 au total de 50 (L romain) auquel il manque juste le 15 de la constante de Saturne pour obtenir le (fameux) 65 de l'extrapolation d'un carré de Mercure à 8x8 +1 (soit 13x5 par Fibonacci).

2°) Multiplication : Ensuite remarquer que 12 x 13 = 156, nombre qui contient 1 lié à 5 et 6 de 65, qui vont intéresser les schémas ci-dessous, tout en évoquant les 56 Aubrey Holes de Stonehenge.

Mais on retrouve aussi ce challenge de passer du 3-64 d'un 364 lunaire sidéral au 3-65 d'un 365 annuel et solaire, où interviendrait pour 65 un "L" (comme Lyre) et mieux 2 L (2x50 romain, soit 100 ou sang), et qui ouvrent la voie au rectangle évoqué ci-dessus et figurant ci-dessous.

Image à droite : "Apportez du whisky au vieux juge blanc qui fume", manque une lettre lunaire par excellenCe (en 8+2+6+2+5+4+5+3+4 lettres = 39).

"Le retour du sacré et du local traduisent une forme d'enracinement dynamique à l'opposé d'un retour en arrière"
(Michel Maffesoli, sociologue, «Logique de l'assentiment»).


Cherche à Lyre 8 fendu pour case 33 à l'eXport, diabolique ou dia-oblique, qui en Long, en Large et en-Tra-Vert :

Extraordinaire tableau de la seconde moitié du XV° siècle, très révélateur de l'après prise de Constantinople en 1453, en rapport avec la case 33, à droite le zodiaque sidéral suivi du zodiaque tropique (ou les trois religions du livre) : Finalement la différence entre 13 et 12 est de X, avec leur critère respectif :
28 x 13 = 364 et 29,5 x 12 = 354




- 13°) AU FEMININ LU'N'AIRE l'addicte dîme-mention du sacré où ça crée des 13-OR sur le qui-vive à L'ivre où VAiR, LN de 3 fait mine un et au masque eut l'1 : NASCENDO QUOTIDIE MORIMUR

Plus de femmes que d'hommes seraient intéressées par l'astrologie, sans doute parce que celle-ci tient compte de l'horloge interne du cycle féminin lunaire depuis l'antiquité. Ce que dévoile le palindrome SATOR...qui contient ROTAS : les rouages (du temps) (évoqué en § 5), mais encore ci-dessous ce tableau hyper-érotisé qui rappelle le Jugement de PâriS, et surtout une merveille pour l'astrologie tant il révèle bien des 3 cycles lunaires à la relève d'un quatrième :

- à gauche : la Lune Noire, devant la coupe sous laquelle un paon souffle l'idée de la boîte de Pandore, mais dessine avec la jambe droite de la belle brune (open - aux pennes) un losange allongé évoquant la constellation de la Lyre, du triangle d'été (jambe droite en diagonale montante). Voir aussi la légende de LiLith, aux deux "L" de zèle du cavalier d'échec.
Le transit de la Lune Noire dans un signe est d'environ 9 mois, dans le sens naturel des signes du zodiaque, allusion à la durée de la gestation chez l'humain et du désir de sexe ou/et d'enfant- voir par la suite avec Mars et Vénus et les 39 semaines.

- ensuite, une femme rousse : Lune au cycle sidéral uniquement lunaire de 28 jours (13 fois en une année, 28 j x 13 = 364 j), mais tellement bien éclairée par le soleil (donc comme une idée de fécondation) que la lune sidérale a vocation à devenir la fameuse lune synodique du calendrier (🌑-🌒-🌓-🌔-🌕-🌖-🌗-🌘), où 12 x 29,5 j = 354 j (nombre à chiffres "isiaques", déjà évoqué). Chaque lunaison de 29,5 jours se produit en entier 12 fois par an sur 13 signes (deux fois le même au départ et à l'arrivée) : 29,5 x 12 = 354.

- Au centre du tableau avec une lance : la destinée ou l'axe nodal, c'est le potentiel des éclipses (ou quand le Soleil a rendez-vous avec la Lune), son transit est d'environ 18,6 mois en sens inverse du zodiaque, un nombre qui rappelle par ses chiffres le 1,618034 du nombre d'or et la diagonale du carré. Personnage à jambes croisées et idée de diagonale...descendante (façon 456 en suite de trois (et La descendance, où le 6 fait mine un pour 2x3), voir carré de Saturne au § 15 suivant). Notion luni-solaire nodale donc notoire à faire accepter le soli-lunaire synodique.

- A droite sur un banc en forme de croissant (lunaire) : PâriS (fils de Priam), noter P & S, pour surtout Priape de périgée face à la Lune Noire d'apogée pour l'idée de fécondation, mais aussi banc (d'essai) évoquant la voie lactée face à une vasque comme cercle de précession (amalgamme Lune Noire et cercle de précession, et Priape et Voie Lactée). La "pomme de la discorde" semble destinée à la Lune Noire pour le cycle anomalistique (discorde-anomalie).
Faire également le rapprochement entre le mont Ida de cette légende du Jugement de Pâris et "ida" comme dans Eridan et la constellation éponyme, et d'anagramme le préfixe dia (comme dans diagonale).

Extrapolation : Les trois "candidates" de la querelle sont Aphrodite, Héra et Athéna, noter au centre le H comme Hermès (Mercure).

- Le cycle féminin-lunaire de 28 jours (en réalité 27,32 j) se produit en entier 13 fois dans l'année sur les douze signes (tour complet du zodiaque à chaque fois mais pas plus), 13 x 28 j = 364 j, et ayant donné lieu à la légende sur nombre 13 , sur le propos d'une fécondation désirée ou non -chance ou malchance. Le 13 reste théoriquement seulement un nombre purement lunaire, car il est aussi placé en case centrale du carré de Mars - et N (aine) du palindrome, revoir § 5, cependant que 13 contient 1 & 3, voir ci-dessous. Le carré de Mars est bâti sur un numéro d'ordre impair (5) ce qui lui autorise d'ailleurs cette possibilité de case centrale que les carrés liés aux nombres pairs n'ont pas, et à spécifier dans la "Transmutation" au rectangulaire du carré de Mercure.

13, un nombre composé de chiffres : le 1 masculin (feu), lié au cycle solaire annuel et le 3 féminin (3 états physiques de la matière), lié aux trois cycles féminins : anomalistique (apogée-périgée), sidéral (à vocation synodique) et draconitique (éclipses), 1 & 3 conformes à l'alchimie Soleil-Lune du Rebis. .

A noter que 13+12= 25 =12+13, encore et toujours les 2 & 5.

Semaine et sème aiNe : 13 cycles féminin-lunaires complets en une année, mais aussi 39 semaines de gestation par Mars, Vénus et Lune, 9 mois de transit d'une Lune Noire dans un signe et le double pour l'axe des éclipses.

Déja cité en §9 : "La Vierge est la plus grande constellation du zodiaque sidéral et elle est la plus opposée à la voie lactée (voir sur la carte céleste)"
Ainsi sur ce tableau le banc est assimilable à la voie lactée (cascade adjancente) et la vasque à la virginité, autant que le périgée lunaire et l'apogée.

PSiittt : Les cycles lunaires de conjonction soleil-lune de NL à NL suivante sont de 13 signes en 29,5 jours, la lune parcourt en effet le même signe au début et à la fin quand elle se cale sur la soleil qui a lui-même parcouru ce signe (façon pendule déjà évoquée ci-dessus : 12 h 00, 13 h 05, 14 h 10, 15 h 15, etc), et ceci 12 fois dans l'année.

Le trèfle évoque aussi l'idée de fécondation phallique des trois cycles lunaires conjugués. On y retrouve le 3 féminin (autant que le E - grammatical) et le 1 masculin (autant que le I et la suite 1,2,4), le 5 (V romain semblant plus neutre ou commun aux deux (voir plus loin § 15) et au centre de tout.
12x13 signes(et +) , cycle de 29,5 j, mécanisme de superposition, et 13x12 signes, cycle de 28 j, différence X : 354 à 364. (à suivre...)

Extrapolations "artistiques" sur le 13 : A centre du Massif du Canigó (lequel a pu servir de schéma directeur pour La Cène de Léonard de Vinci - hauteur des personnages) se trouve le Puig dels Tres Vents (et à côté du Cady - et in arcadia ego). Outre le fait que Tres évoque 3, Tres évoque aussi treize (initialement Puig de Tretzevents, et proche du Roc Negre pour la Lune Noire ?) cette montagne au centre du massif se présente sous la forme d'une coquille quand elle est aperçue depuis le sud de la plaine du Roussillon. Se pose alors cette question : Sandro Botticelli pour son tableau "La Naissance de Vénus" s'est-il inspiré du Massif du Canigó en l'inversant horizontalement (avec les deux vents à gauche) ?. A noter également le calembour : détresse vent. (à suivre...)
A droite : La Sybille de Cumes, peinture florentine d'Andrea del Castagno (1419-1457) - Offices de Florence - Toute ressemblance avec un élément du site des orgues d'Ille serait fortuite ?






- 14°) Double de 7 et Moitié de 28 pour qui ose iris en fleur à l'orque idée : (à suivre...)


La Lune seule accomplit le tour du zodiaque et donc le transit sur les douze signes en 28 jours (27,32 exactement), soit en théorie (de calage) 14 jours d'un solstice à l'autre, et en théorie également 7 jours par saison, soit un peu moins de 2,5 jours par signe, encore plus théorique suivant l'apogée (3 jours) ou le périgée (2 jours).
Mais ne pas confondre Quatorze (14) avec Castor (ou case tord option case tord), puisque dans un K on peut placer 4 éléments (image de droite) et pour mettre le 1 devant qui ne soit pas de vent il faille (!) savoir biaiser l'échiquier (voir page carrés structurels astro).

Et dans ce §14 un autre mythe ne peut être passé sous silence, celui d'Isis et Osiris. Un premier du genre avait été abordé avec Léda et le Cygne en §4, avec lequel il est possible de faire un rapprochement comparatif. Il est souvent question en astrologie d'un triangle isiaque (de Isis), de jours épagomènes (panthéon égyptien), du zodiaque de Denderah (temple d'Hathor) comme référence à celui que nous connaissons, et 14 "morceaux" dans ce mythe, voire d'un quinzième ensuite.
Mais dans un premier temps il sera question de Geb et Nout, déesse du ciel et dieu de la terre, féminin en 3 lettres et masculin en 4, à s'en mettre à GeNoux, manque plus que le 5 (V) graalesque :
Isis et Osiris initiales IO...ouvrant encore sur une autre légende !
Léonard de Vinci reprendra ce mythe sur La Cène avec LUcrezia (signe de la Vierge) et CEsare (personnage central) pour constituer la Vierge au Serpentaire (de Vinça, voir marge, colonne de gauche), voir autre blog.
De même pour IO (Isis et Osiris), voir un tableau du Guerchin avec MirepOIx : "Et in arcadia ego".

Extrapolations :
- 1°) Pour un total de 14 lettres, Saunière à Rênes-LeXTao (en 5 & 6 lettres) nous rappelle que Marie-Madeleine s'écrit en deux mots (maux ?) : le premier en 5 lettres (comme Vénus, inclusive d'un pentagramme) et l'autre eN'œuf lettres (lunaires) - et accessoirement contient ce calembour : marri mât de l'aine (en 5-3-2,1,4).
- 2°) C'est aussi pour le septénaire ascète (7) une "faculté" astro d'un doublement à 14 : (C & D) x 2 luminaires et (D & R) x 5 planètes, avec ce 14 aussi moitié de 28 du cycle féminin-lunaire, qui fut bien extrapolé par les Abbés Saunière et Gillard dans une similarité de leur chemin de croix respectif avec un rebis alchimique et récréatif de la Création : 6 Soleil-jour et 9 Lune-nuit (voir pages carrés, et plus loin §17). Les abbés Saunière à RLC 🎃 et Gillard à Tréhorenteuc 🎃, et en option ou en potion l'abbé Théophile Moreux à Bourges 🎃, ce sont là 3 Abbés qui reconnaissent tacitement et implicitement le zodiaque tropique et saisonnier comme un élément essence-ciel de la civilisation occidentale. Cependant qu'il convient d'ajouter ici la Chapelle des Avenières.
Mention spécale pour Rênes-LeXTao de Saunière : cette vidéo 🎬

- Et par les 2 & 5 (du septenaire) = 25 est le 5² de Mars, 25 est la case centrale du carré de Vénus (7²), outre son réversible ou inverse-miroir de 52, qu'il existe dans le zodiaque un 2° signe et un 5° signe, sans oublier les diagonales X d'un rectangle 2x5 qui évoquent le cas d'un 8 du sablier, lequel sable est aussi plus héraldique qu'éradiqué, autant qu'à mentionner dans PeCH BuGaRaCH les 7 pluriels en ouX où chaque X représente deux diagonales, une pour le O et l'autre pour le U (Urbi & Orbi, voir paragraphe suivant N°15)...

PSiittt : 14 = 52 - 38, ce Katorze instaurerait donc ainsi le cas d'une relation hanTée à la racine entre 2 & 5 et 3 & 8, autant que la constellation des Poissons est constituée d'un grand et d'un petit segment...





- 15°) Constante de Saturne & Vif du Sujet, et schéma fonda-mental d'at-traction de diagonales teLLes deux qui-nz'aiNes en un moi(s) de TrENTE :

Quand le sable noir (zibeline ?) invite aux carrés et quadrillages...

C'est qu'à partir d'un simple clavier numérique on peut obtenir une dimension de réflexion avec la mise en place d'une constante numérique, ici 15, somme de chaque ligne horizontale, verticale et diagonale (respectivement 3 h + 3 v + 2 d = 8 lignes au total) et au travers d'un sceau tracé pour cet établir ordonnancement avec la suite naturelle de 1 à 9, obtenu en 1 x 45° des pairs la barre à droite (1, pair, masculin) , et 3 x 45° des impairs à gauche (3, impair, féminin).

Et d'y considérer spécifiquement les deux diagonales pour un classé X (10 en faisant abtraction du 5 (V) central, mais autour de celui-ci :

- Celle montante : 8-5-2, des chiffres déjà évoqués dans le §5, des nombres de la séquence de Fibonacci, et un 2 & 8 comme 28, avec 8 & 2 = 10, pour justifier de la première barre du X (10 romain). Outre que 5 et 2 sont les chiffres de 25, au-dessus du point vernal évoqué au §8 sur le carré de Mercure.
C'est la direction transversale indiquée par les deux aiLes de l'aigle, 2 L du cavalier d'échecs.

- Celle descendante : 4-5-6 où un 6 pour 2x3 fait mine un d'une allusion isiaque (et une suite numérique de trois, avec 4 & 6 = 10 pour justifier de la deuxième barre du X). Cette suite 6-5-4 inclue le V (5) entre le 6 et le 4, le 64 mercuriel, à évoquer le potentiel d'une 65° case. Voir aussi la page carrés astrologiques. Outre que 6 = 3+3, chiffre de 33, en dessous du point vernal évoqué même endroit que ci-dessus.
C'est le cygne à l'éthique, la direction indiquée par le corps et le cou du cygne de Deneb (la queue) à Albiréo (le bec), noter les D & A pour cette diagonale, et ajouter à cela le ï (aux deux trémas) de Altaïr.

- Elles incitent à se remémorer le tableau du § 13 avec les deux jambes en biais, qui évoquent effectivement ces diagonales et dont il sera question plus loin encore. Se rappeler aussi le Pourpre et le Sinople en biais des émaux-gémeaux (§3), mais également (§ 5) que le N de TeNet -palindrome- est potentiellement composé de deux V disposés tête-bêche, .
- Elles sont donc directement en relation avec le Cygne et le cercle de précession (pour la seconde) et l'Aigle et le cercle zodiacal (pour la première), voir les schéma à gauche.

PSiittt : Noter ci-dessus la constellation du petit renard (« Vulpecula cum Anser », noter le V et le A), une relation à établir avec la fable de La Fontaine : Le corbeau et le renard ?
Sceau de Saturne, et comptine 1,2,3...beaucoup moins innocent(r)e qu'il n'y paraît ?
De même la BD de Constan-Tin² ad hoc de Moul-in-star ?
Reste aussi l'hyperbole de la courbe du diable.

Réflexion à propos du carré de Saturne (d'ordre 3) : cette suite naturelle numérique initiale de 1 à 9 accorde de fait la maîtrise du temps à Saturne, tel que dans la tradition mythologique. Chaque astre du Septenaire a un numéro d'ordre de 3 à 9. Restent le 1 et le 2 avec leurs particularités de carrés (exposant), d'unité pour le 1 (1² = 1) et de double pour le 2 (2² = 4 = 2 + 2), à qui pourraient être attribués les deux axes : grand axe pour le 1 et axe nodal pour le 2, simple suggestion. Dans le tarot, le 1 et le 2 concernent le Pendu (12) -anagramme "pendule"- et le Monde (21)-anagramme "le démon".

Une certaine objection pour 1582 :

(à suivre...)
Ci-dessous l'emblème du Vatican :
- Deux clefs, une d'or, une d'argent, l'être & l'avoir, quatre saisons, en bas à gauche l'Hiver, en bas à droite le Printemps, en haut à droite le Lion de l'été, en haut à gauche le Scorpion de l'automne.
- Une tiare pontificale où s'inscrivent les trois cycles lunaires.
- Un cordon en forme de cloche où le battant entre eau (Poissons) et feu (Bélier) suggère le déplacement du point vernal (en bas) par la précession.
- La clé d'argent apparaissant comme celle des moyens et la clé d'or comme celle de la finalité, en analogie avec les deux diagonales du carré de Saturne.

- INTERLUDE, PAUSE, et Aver-tissement :

Après c'est encore plus déjanté mais ceux qui ont bien percuté les 15 premiers § pourront suivre !



"...après un long sommeil, les mêmes hypothèses ressuscitent, sans doute nous reviennent-elles avec des vêtements neufs et plus riches mais le fond reste le même et le masque nou-veau dont elles s'affublent ne saurait tromper l'homme de science..."
Abbé Théophile Moreux
Directeur de l'Observatoire de Bourges
Page 10, du livre "L'alchimie moderne"
Attention, avec ce blog vous ne saurez plus vous contenter de peu parce qu'il vous entraîne ETonnammENT et irréméDIAblement vers un rapport fusionnel à la Nature et à la Culture... Attention, avec ce blog vous ne saurez plus vous contenter de peu parce qu'il vous entraîne ETonnammENT et irréméDIAblement vers un rapport fusionnel à la Nature et à la Culture... Attention, avec ce blog vous ne saurez plus vous contenter de peu parce qu'il vous entraîne ETonnammENT et irréméDIAblement vers un rapport fusionnel à la Nature et à la Culture...


RAPPEL, DANS L'AVANT-PROPOS au début de ce blog :
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- 16°) Ascèse au-tour d'un 4X4 Jupitérien sans case centrale... :

En deux foi(s) label de K d'X AD yeux de vœux lourds... : 1 home à-vert-Y en V.Ö d'euX

A droite, le trèfle, qui évoque si bien les cœurs et les piques, dans un trilobé si féminin ?

A gauche le carré de Jupiter, 16 cases et constante 34 (revoir §12), et dessous ce même carré modifié par Subirachs pour accéder à une constante de 33 comporte la suppression des 12 et 16 (total 28) et le doublement du 10 (total 20, ou vain) et le doublement du 14 (total 28). En fait 15-1 sur première ligne horizontale et la troisième ligne verticale (1° et 3°), 12-1 sur la deuxième h et quatrième v, 11-1 sur la troisième h et deuxième v, 16-1 sur la dernière ligne h et première v.
A remarquer à partir des 10 (X), deux diagonales : 2x6=12 et 3x7=21.


A droite, noter la sulfureuse foudre en jaune et rouge (terre et feu, alchimie du soufre).

Image de gauche :
En X, 3, 5, 4 lettres au-dessus des armoiries du Pape Léon XIII, où l'ensemble IS-EST et LOCUS sont liés en biais à évoquer la lyre, et forment "TISSE CLOUS" ou "SITES CLOUS".

Image de droite : Sceau de Jupiter affublé schéma mercuriel en 2x8 de gémellité, où la constante 34 appelle d'isiaque un V graalesque. Et où 2x8 = 16 et 2x9 = 18 (nombre d'or) avec 8+9 = 17
Melencolia § I






- 17°) VIXI à l'étiolé D'1 entre eux-deux... :

Si c'est neuf comme 6 & 9 au Tao : VI & IX à l'aRôme de XVII, comme VI et IX incluent II au centre et XV en extérieur. Ce II (ou ce 2 romain ou le 11) qui évoque le SerPentaire et ce 15 qui rappelle la constante de Saturne.

Nombre d'Or, Phi, en disette d'à côtés = 1,618034
L'enTé d'un K du C merCuriel à qui Fibonacci fit bonne assise pour sublimer un carré : le 17 encadré et encarté par des partiels (pare-ciel) du nombre d'OR. Le nombre 17 est un nombre impair qui présente cette particularité d'être compris entre deux nombres pairs évoquant le nombre d'or : 16 & 18.
16 est la somme de 8 + 8 (carré de Mercure) et 18 est la somme de 13 + 5, rectangle d'extrapolation de ce carré dans la suite de Fibonnaci (5° ligne du tableau ci-dessous). Ce 17 a donc vocation à cette mutation à l'as-somme d'un 8+8 vers un 13 + 5 qui luit même de zèle à deux aiLes prod-uites en Longueur et Largeur suite à un croisement de diagonales à case tord (séquence Saturne, Mars, Vénus, Mercure).
Saunière en fait bon usage à Rênes-LeXTao (en 5 & 6 lettres) avec les PâMes Bleues du 17 Janvier (dont MPB du plomb de Saturne).
Ceci outre que des décimales du nombre d'or (1,618034) mènent au double de 17 après avoir franchi une forme d'œuf.
Outre que 34 double de 17 est aussi constante de Jupiter, autant que somme de 21+13 : le Monde et l'Arcane sans nom.

XVII = XV + II, soit 15 la constante de Saturne et ses 2 diagonales ou 15 et 11 (total 26, 1 de plus que le carré de Mars et moitié de 52, nombre de semaines en une année).

L'ETOILE = LE T LE IO,
ou IO et le T de JupiTer ?





- Barre haute du T : 3 x 8 = 24 (aire) mais 3 + 8 = 11, x 2 pour le périmètre = 22, autant que d'arcanes dans le tarot ou deux L en 8x3 de zèle.
Mais aussi 2 x 8 ramène à Mercure (88, nombre de points autour de la mandorle centrale de Saint-Genis) et 2 x 3 ramène au 8 fendu (revoir § intro), ce 8 qui est le numéro d'ordre de Mercure.

- Barre verticale du T : 2 x 5 = 10 soit X en chiffre romain (aire), mais 2 + 5 = 7, comme le septenaire (Soleil et Lune les 2 luminaires, et 5 planètes), x 2 pour le périmètre = 14, autant que de stations de chemin de croix dans une église et moitié du 28 lunaire.

- Total des aires du T : 24 (barre horizontale) + 10 (barre verticale) = 34, constante de Jupiter (Jup-i-T'aire).

- C'est la barre verticale qui va intéresser l'image de droite, X (ou 10) = 2 x 5. En effet le 2° signe est celui du Taureau, le 5° signe est celui du Lion.

Noter au pas-sage que ce sont les 2 seuls signes du bestiaire zodiacal que l'on retrouve directement des 12 travaux d'Hercule : le Lion de Némée et le Taureau Crétois, s'agissant respectivement des 1° et 7° travaux d'Hercule ou Héraclès. (à suivre...)








- 18°) L'une erre et l'autre Pas quand Cybèle déciderait des décibels pour roques and rôles :

Château astrologique de Vaux-le-Vicomte : au centre les trois portes traversant le salon ovale aux cariatides zodiacales et formant la "transparence" orientée vers la statue d'Hercule au fond du parc. Remarquer au premier plan la couronne à huit branches. Un aigle figure au plafond du salon ovale.


- Interlude de 18 à 19 "Sol Y Luna" en lice SPécial Annexe RLC :
Pour les vrais connaisseurs de RLC (et du reste...), la Synergie Mercurielle Soleil-Lune en K fait expressO des cas faits innés au pis liés :





- 19°) Au sÖl est mi-haut, que ça tort L'apereau en porc-épic par mat inique on the rauques :

8 + 11 = 19, polémique au tarot entre deux protagonistes...solaires ? Ou que le 9 en 3² soit la finalité optionnelle du 1 ?
(ou rivalité dans l'expression d'une dualité ?) (ou 8° scorpion vs 11° verseau ? : le pouvoir spirituel contre celui temporel ?)






- 20°) S'entend ce 5x5=25 reçu à cœur épique deVin deVenu(s) 2 & 5 de vain, code W-64-96 :

Forêt de Brocéliande :
Foret de Brosser l'"i" an (en) D..."La portée en deux dans"

A gauche le Mucha de Rênes LeXTao : l'Aigle et le Cygne. En bas le bassin de ce corps pion (Scorpion), en haut la tête DeneB portant de fleurs le Voile Acté Naturel (Lune Noire et axe Périgée-Apogée).
L'aigle et sa diagonale montante en marron, le cygne et sa diagonale descendante, en blanc. L'idée du carré se fait avec la pierre en bordure (bord dur) d'escalier (est-ce cas lié).
(à suivre...)







- 21°) Vœux lourds Du Monde où feinte de 7 & 3 à fa-cettes par-le plus que 13 et 8 à la hune ? :
Le SerPentaire comme œuf cosmologique gémellaire présenté dans la mandorle (la Lyre) par l'Aigle (alias Mars) et le Cygne (alias Jupiter) et dont ils sont issus et tissus à Saint-Génis-des-Fontaines sur le linteau, façon l'Origine du Monde de Gustave Courbet (tableau à rechercher sur internet). Basilique Saint-Pierre de Rome : Médaillons des quatre évangélistes au baldaquin, à la croisée de la basilique, sous la coupole.





- 22°) Rigole est tôP entraVe hiaTaLe et cuisse de Jupiter ou pas en avant :

C'est reparti pour un tour de zodiaque et deux tours aux roques (aurochs ?)
Qu'il faille "armer" le Mât d'une Licorne en bâton et pour Sirius ou Procyon et Saint-Roch de même, à chercher le lever héliaque de Sirius dans la canicule ?

22 = 10 + 12 (moyenne 11 ou 1 et 1), 10 = 1+4+5 (1 x 45° pair à droite), 12 = 3+4+5 (3 x 45° impair à gauche) : le plus et le par inversés en premier lieu sur les 9 cases chiffrées du carré de Saturne avec application ensuite sur le palindrome Sator...
N.B. l'écart initial étant (aussi) de 45°, le décalage total est de 1X45° + 3x45° + 45° initial = 5 x 45° = 225° entre le nouveau 2 et le nouveau 1 de la constante 15 (2 et 1 le Monde), soit 22 et V : graalesque.

Au pi(s) aller : 22/7 = 3,1428, la plus basse approximation rationnelle de π.




- 23°) LN 2-3 : 2 la papesse et L 2 bâtons, 3 l'impératrice et N 3 bâtons


- 24 à 29) Prolongations vers la Saint-Michel (29/N'œuf)



* 24 = 3 x 8 = 4 x 6

* 25 = 5 x 5 = 5²

* (24 + 25 = 49 Vénus)

* 26 = 2 x 13, avec 26 coincé entre un carré (5²) et un cube (3³) et que 6-2 = 4.

* 27 = 3 x 9 = 3³

* 28 = 2 x 14

* Entre 28 et 29, ça fait vriller tous les 4 ans, comme 2 & 2 font 4 ou en cor 22 pour 8 à 9

* 29 = Saint-Mi-chel en embuscade commence tel Wi-liel-mus à justifier LN 2-3, mais c'est aussi pour que 11 (2+9) dise huit (2x9) ascèse (2x8).


- 30°) TRENTE = TENET + èRe

- 31°) Symétrique de 13
- 32°) C'est 4 x 8
- 33°) Carré Subirachs



"La compréhension du passé contribue activement à notre faculté d'appréhender le présent"
(Robert Langdon - Film DVC)


"C'est l'angoisse du temps qui passe qui nous fait tant parler du temps qu'il fait"
(Extrait du Film...d'Amélie Poulain)


FIN provisoire de page d'accueil, nouveautés suivront sous peu dans tous les différents paragraphes...


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CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil... CI-DESSOUS : Annexes et Archives de la page d'Accueil...

Il est possible d'envisager le passage de l'astrologie à l'astronomie à partir de la construction de l'observatoire de Paris, en seconde moitié du XVII° S.
Trois axes en interférence : Synodique (P.L.), Nodal et Anomalistique (avec éclipse de Lune) :

L'Ayanamsa, and YMCA vous seoir ?

L'Ayanamsa certes point copa-cabana,
Y'a deux rames au ca-noë du zodiaque :
Affreux dise y'a que des constellations
Nature référente d'intel-lectu-alisation,
A flouer les des-tinées qui en suggérant
Métaphores, quand d'autres admettant
Signes trop piquants de singeries folles,
Amère creux d'y descendre à BriS mol.

Fit ain-si que le mOnOcle sert-i d'ivoire
Osant s'ap-peler Ronde Lune d'un soir
Calait comme une pendule à 12 étoiles.
A sa main on lit leurre dans cette toile,
L'outrecuidance montrant d'héberger L'
Inconnu(x) qui passe en fresque d'alléGer
Sauf de fr-aude tantôt Danse art-Mateur,
En signant d'ano-nyme Pousse un heurt,
R-amant à coque l'HeXagone en meneur.

Trente de gré y hante-R-ait "tenet" en for,
A campo défleuri ferait, florès d'amphore,
Revi-siteR d'anciens concepts si stell-aires
A syn-crét-isme qui par 2 foi(s) mi-LL-én-aire,
Un tel voile d'étoiles n'y fisse tulle omettre
D'étroits val et bre-L'an poc a poc air à L'ettre
En foc-a-lisant À quinte d'eux tous ces Ve-nus,
R-eGard comm-Uni-qué perdu dans les nues...

**/*****En s(e)ignant : Baron-de-Synclair



Archives pêle-mêle pour le lecteur évolué qui en redemande en post-moulinée après évacuation :

1°) Te rends-tu compte de l'impéris-sable :

1°) le demi-périmètre d'un carré de 8x8 est 16
2°) le demi-périmètre d'un rectangle de 5x13 est 18
3°) 5,8 et 13 forment une triade de la séquence de Fibonacci
4°) 16 et 18 sont "membre actifs" du nombre d'or (1,618...)
5°) 17 se cale entre les deux comme un losange montant en diagonale dans le carré de Saturne et plus, au périmètre (père ou pair y mettre) in-dé-fi-ni...

6°) Et là tu comprend-ra-s mieux la Sainte Rose-li(g)ne du 17 Jan-vi-er aux pâmes bleus de Saunière à Rênes-LeXTao...

PSiittt : les carrés et surtout eux forment une modélisation gigogne (= egg-O, ign(e), alors laisse PACE les cigognes en CATimINi comme ton regard de garde sur la stèle (§ 5)...


2°) Brève de compt-oir à l'estive :

Prendre un coup de soleil sur le sable c'est in-sis-ter sur un 8 à décaniller le K du C de MerCure pour un n'œuf à l'oc-casion d'une aune au mât topé en locution sans occlusion : "Terr-i-bi-lis est locus iste"...


3°) Réfléchis un peu avec ce blog :

Coincé entre rigueur et fantaisie dans la CAverne de plat-ton, chacun peut faire le tri tout en sachant que le point de vue contemporain et son raisonnement concomitant en clivage de disciplines n'étaient pas celui des perspectives médiévales et antiques, beaucoup plus holistiques et foncièrement contemplatives...

4°) Regarde les étoiles et pose-toi la question :

En plafond de verre journalier sans nuages, la voûte céleste est plat faux nez quelque soit leurre ?

5°) Arche de la Défense cherche la défonce, carré-ment biseautée :

Pour qui Força (la) Réal-i-té...


6°) Un peu (?) d'HIStoire ?


7°) Planche de scrabble et scarabée sur carrés :
* 15 x 15 = 225 cases, autant de degrés que dans 1x45° pair + 3x45° impair + 45° d'écart initial entre pair (2) et impair(1) sur le carré de Saturne.

* Les cases rouges correspondent aux T initiaux et déplacés du carré Sator ainsi qu'au carré et au losange du thème à l'ancienne.

* Les deux diagonales sont clairement tracées avec une case centrale, autant pour les carrés (impairs) de Saturne (3x3), Mars (5x5), Vénus (7x7), Lune (9x9), et autres.

* Le carré de Mars apparaît 5 fois (coins en bleu) et ensemble ils forment une croix.



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Méfie-toi de la suite car à force de rouler ta bosse sans amasser le Must, "eLLe" tE diT :




Tuyau à com-prendre l'Oc-cul-te isthme ? Il sulfite d'eux mander à qui s'ex-prime cor-recte-ment :




A-VER-TISSE-MENT pour la suite : comme un air de troisième mi-temps mais qui pourrait bien inclure cresc-en-DO des données pré-cieuses pour tes recherches, lecteur !

Mais là va pas falloir à-voir froid ose yeux...
Et pause-toit en sel-le la question qui faîtage d'huile de vie d'ange :
Où est le bec à piquer l'égo-fret à mi-échelle du zéro tonique ?

Pour qui siéra de cas d'i, home de vie tr(o)uvera...
Qui a dit que les deux ailes de l'aigle étaient égales : à hue rit (jaune) et au dia-bleu vaut vert, c'est qu'UT est ruse et non cul-ter-r-eux, par clé de Saint-Luc et l'étroitesse des trois "T" ?


+ANNO VIDESIMO QUARTO RENNATE ROTBERTO REGE WILIELMUS GRATIA ABA ISTA OPERA FIERI IUSSIT IN ONORE SANCTI GENESII CENOBII QUE VOCANT FONTANES

Coulée de serendipité sérinée du serpent dépité qui sent des pieds dans ce guêpier en toute sérénité :


Alors Testé-lesTé-resTé en fond de cale autant qu'en font de culot :

1°) Pas confondre chat de Schrödinger avec cantique désenchanté :
La chatte de SchrÖdinger aux D'eux très maths en Ö, évide amant !

L'expérience virtuelle de Schrödinger en cliquant ici.
(à suivre...)
Le premier peintre du XVII° siècle à "jouer de la lyre" sur un tableau est Le Guerchin (ci-dessous). En effet sur sa boîte de P'Andorre de la Serra del Cadí, il propose en relation avec la constellation des Poissons : La Vallée du Valira du Nord et la Vallée du Valira de l'Orient (O & N, on, pronom indéfini).
(à suivre...)
Quand le chat Népal a les souri(r)es denses et que le corps en saignant retrouve en salle ibère T l'espoir de si(li)cate risée ?



Avec 61 ? Je te l'ai dit mille fois à la racine* que c'est carrément* étroit le monde ! (comme une NèPe en Courbette à la PeiNe)

Deux par deux : 61-37-21. (C'est étroit au centre avec l'arcane 21 la mandorle, comme à Saint-Genis à lyre au centre du linteau).

En entier : 613721 = 61 x1000 + 61², mille fois la racine suivi de son carré.
(alors essaye avec les autres nombres pour enlever ou ajouter des zéros, et trouve les limites, ou pas...)

Parce que là t'auras aussi remarqué que 37-21=16, le symétrique de 61.

Z'étaient forts en l'An Mil avec Gerbert d'Aurillac devenu Pape de l'An Mil (français), et astrologue médiéval, alchimiste, et mathématicien, et copain de Robert le Pieux, et de Wilielmus...
(à suivre...)

4°) Li-corne de brume à la navig-ation ou le sacre de la virginité qui SPica au jeu :

La Licorne est issue d'une légende sur le chrisme (aux trois axes) à propos de la virginité. Elle est tout à fait fondée à partir du "qu'a Pris corne", surmonté du petit cheval (constellations) et pointant vers le cygne, lui-même membre de la communauté des étoiles polaires ou cercle de précession autour de la constellation du dragon, évoquant la grande année platonicienne. L'ensemble fait face à la constellation du Lion, affublée d'Arcturus, en référence au zodiaque annuel seulement.

Ce sont deux axes qui s'enroulent serrés autour d'un troisième fictif ou à occulter :
Les deux axes sont constitués de l'axe nodal (luni-solaire, éclipses) et le grand axe périgée-apogée lunaire.
Le troisième axe est celui sidéral de la Lune (uniquement lunaires) et il doit rester sidéral et surtout et caché pour ne pas devenir synodique (soleil - lune (calendrier) = fécondation, non-envisagée - lune jamais "pleine").
C'est donc la faculté de création féminine qui est ainsi mise en veilleuse, en fiction et donc symbole de virginité.

Le mythe de la fécondité est un des plus anciens de l'humanité, c'est devenu un rituel. L'unicorne est une évocation phallique.

On le retrouve avec la Dame à la Licorne, pointant l'oriflamme à trois lunes (axes) sur la plus connue de cette série de tapisseries.
Le charme du langage médiéval en lecture ornementale...

Noter sur l'image à droite (Licorne Captive) les A de Anomalistique et D de Draconitique (cycles lunaires) entourant un losange régulier évoquant la Lyre (constellation)...et le sexe féminin..
Option 1 pour le A et 3 pour le D (W-in-ter) et deux aiLes pour L'aigLe singeant deux L issus d'une potentielle division en diagonale endiablée de la constellation de la Lyre (contient y comme synodique), et renvoyant aux "L" du cavalier d'échecs.

Un arbre (gêné à logique ?) au milieu.

Autrement pour concurrencer la Licorne, y'a bien la Sirène qui voit disparaître l'aiNe (en V comme la constellation des Poissons), dans la navig-ation cé-leste, avec encore moinsss de possibilité de fécondation...
Aller au Pont du Gard du côté de Tavel sans Thot aussi bien que de se rendre à Shugborough Hall sans la DéMo...crazy !

Et en plus d'y jouer aux échecs par l'idée de l'analemme pouvait ouvrir l'esprit De six à n'œuf en surdité comme le sigle du Tao...


PSiittt :

Quand l’escriture D.M. trouvée,
Et cave antique à lampe descouverte,
Loy, Roy, & Prince Vlpian esprouvés,
Pavillon Royne & Duc sous la couverte.

Centurie VIII - 66 (Nostradamus)


Le code D.M. = DorsuM ? OO-USA-VVV comme Wi-liel-mus usa de Dorsum (alias Theta Capricorni) entre Algedi (α Capricorni) et Dabih (β Capricorni).

Avec cette "équivalence" entre Régulus et Dorsum, ou Lion et Capricorne sur la tapisserie de la Dame à la Licorne...

Les P.-O. sont remplies de secrets médiévaux...


5°) Pommes, pâmes et parme de charme :

Un détroit d'imager l'an au su de tousse sans l'imaginer aux trois-quarts, et même les pommes bleues iront au diable vauvert de gris comme des pâmes on the r(au)ques osent échecs des 2 Camps (sur guili-guili), cy-près de la Pêche qu'un Bug arrache !
En art bonne aise :
LA LEGENDE ARTHURIENNE

Après le service, ils se rendirent là où se trouvait la Table ronde. Le roi invita les compagnons à s’asseoir et, lorsque ce fut fait, le treizième siège resta vide. Perceval demanda au roi ce que signifiait ce siège vide.
– Mon ami, répondit le roi, la signification de ce siège vide est très importante : c’est là que doit prendre place le meilleur chevalier du monde.
Perceval pensa alors en lui-même qu’il s’y assiérait.
– Sire, dit-il au roi, accordez-moi en don de m’y asseoir.
Le roi lui répondit qu’il n’en était pas question : cela pourrait lui être fatal car, jadis, un faux disciple s’était assis sur ce siège et tout aussitôt il avait été englouti par la terre.
– Et même si je vous en donnais la permission, ajouta-t-il, vous ne devez pas vous y asseoir.
Ces paroles irritèrent Perceval qui lui répondit :
– Sire, au nom de Dieu, si vous ne m’autorisez pas à m’y asseoir, je vous assure que je ne ferai plus partie de votre maison.
Cette réplique peina beaucoup Gauvain qui aimait profondément Perceval.
– Sire, dit-il au roi, donnez-lui votre permission.
Lancelot à son tour en pria le roi, suivi par les douze pairs, et leur demande fut si insistante que le roi, non sans réticence, céda et dit à Perceval :
– Je vous accorde ce don.
Quand Perceval l’entendit, il en fut très heureux. Il s’avança, se signa au nom du Saint-Esprit et s’assit sur le siège. Or, dès qu’il eut pris place, la terre sous lui se fendit et cria si douloureusement que tous ceux qui se trouvaient là eurent l’impression que le monde s’engouffrait dans l’abîme. Au cri de la terre jaillirent des ténèbres si épaisses qu’on ne pouvait plus se voir sur plus d’une lieue. Ils entendirent ensuite une voix qui dit :
– Roi Arthur, tu as commis la plus grave faute qu’ait jamais commise roi de Bretagne car tu as transgressé les ordres de Merlin. Quant à Perceval, sache-le, il a accompli l’acte le plus audacieux qui ait jamais été fait mais qui le précipitera, lui et ses compagnons de la Table ronde, dans les plus grands tourments du monde.
LA COUVERTOIRADE

La naissance du Soleil (Fils) de Dieu...le Solstice d'Hiver.
Voici l'histoire de la naissance de Jésus sans les paraboles et tel qu'il est pour le gnostique :

La séquence de naissance de Jésus serait complètement astrologique.
L’étoile à l’est est Sirius, l’étoile la plus brillante du ciel nocturne, qui, le 24 décembre, s’aligne avec les trois étoiles les plus brillantes de la ceinture d’Orion.
Ces trois étoiles brillantes dans la ceinture d’Orion sont appelées aujourd’hui ce qu’elles étaient appelées dans l’antiquité : les Trois Rois.
Les trois rois et l'étoile la plus brillante, Sirius, indiquent le lieu du lever du soleil le 25 décembre.
C'est pourquoi les trois rois "suivent" l'étoile à l'est afin de localiser le lever du soleil, la naissance du soleil.
Et après cette heure, le 25 décembre, le soleil se déplace d’un degré, cette fois vers le nord, annonçant des jours plus longs, la chaleur et le printemps.
Et ainsi il a été dit : "...le soleil( fils) est mort sur la croix, était mort pendant trois jours, seulement pour être ressuscité ou né de nouveau...."
C'est pourquoi Jésus et de nombreux autres dieux du soleil partagent le concept de crucifixion, de mort à trois jours et de résurrection...
C’est la période de transition du soleil avant qu’il ne revienne dans l’hémisphère Nord, amenant le printemps et donc le salut...
Dans la Bible est codée une science qui existe des milliers d'années avant elle...
Ce n'est pas un livre et rien dedans ne doit être lu et compris à la lettre...
mais celui qui cherche...trouvera.

San Roberto, l'homme qui a arrêté la terre.

Le 21 juin 1616 dans la salle du capitole du couvent dominicain adjacent à l'église de Santa Maria au-dessus de Minerva à Rome, le dernier interrogatoire a lieu. L'inquisiteur le menace de torture et Galilée répond : « Je suis ici pour obéir>> Ayant paru un livre, imprimé à Fiorenza avec le titre "Dialogue des deux plus grands systèmes du monde" où se disséminent la fausse opinion de la moto terrestre et la stabilité du soleil, il a été ordonné que pour l'édition publique, il soit mis sur l'index et interdit. À un Galileo agenouillé est en train de lire la phrase. "Depuis que tu Galilée... " Fiorentino, dans les années 70, rapporte à ce Saint-office, qui a jugé vrai que le Soleil est le centre du monde et stationnaire, que la Terre n'est pas le centre du Monde ni stationnaire, mais qu'elle bouge eziandio de jour et n'est pas au centre du monde ; nous déclarons la proposition, absurde et fausse en philosophie, et formellement hérétique, pour être expressément contraire à la Sainte Écriture ; Nous vous condamnons à la prison par notre volonté ; et pour une saine pénitence nous imposons que pendant trois ans à venir vous dites une fois par semaine sept psaumes pénitentiaires. Mais voulant procéder à la teco avec bénignité, il a été décrété que l'Éminent Cardinsle Bellarmino vous a ordonné que vous deviez laisser cette fausse opinion, et refuser de laisser ladite doctrine et de l'abhorrer devant le notaire et les témoins. L'ouverture. Moi Galilée, fils de Vincent Galilée de Fiorenza, de mon âge dans les années 70, agenouillé devant vous, très éminents et révérend Cardinaux, Généraux inquisiteurs ; ayant devant mes yeux les Évangiles sacrés, que je touche de mes propres mains, j'ai été jugé sur suspicion d'hérésie, c'est-à-dire à ont cru que le Soleil est le centre du monde soyez immobile et que la Terre n'est pas centre et elle bouge. Avec un cœur sincère et une foi sans faux, j'abhorre, maudis et déteste les erreurs et hérésies dites, contrairement à la Sainte Église ; et je jure que pour l'avenir je ne dirai plus jamais ou affirmerai, en voix ou par écrit, de telles choses. Je jure et promets d'accomplir pleinement et d'observer toutes les pénitences qui m'ont été imposées par ce Saint Office. >> Quelques mois après la condamnation, la sentence a été prononcée en résidence surveillée, que Galieo a purgé jusqu'à sa mort à Arcetri. En ce qui concerne la récitation des psaumes pénitentiaires, le scientifique a demandé et a obtenu à sa fille Virginia, la nonne qui clôture, de les réciter pour lui. Le 17 septembre 1621 - Roberto Bellarmino meurt également à Rome. Jésuite, prêtre, cardinal, Saint et depuis 1931 Docteur de l'église. Né en 1542 également en terre toscane, à Montepulciano, petit-fils du pape Marcello II, décide, encore adolescent, de diriger son regard vers la Compagnie de Jésus. Il étudie la théologie à Padoue, où Galilée lui-même avait enseigné pendant des années. En 1599 Clemente VIII le nomme cardinal, « consultant du Saint-Office » et théologien du pénitencier sacré ; il est décrit comme « le jésuite vêtu de rouge ». Avant d'être fait saint, il a eu le temps d'envoyer Giordano Bruno à la crémation pour hérésie, (décision exécutée au Campo de Fiori en 1600), il allait éliminer Tommaso Campanella et inculquer notre Galilée. #anfaceb Article et bibliographie http://www.alphaomega-arte.it/.../san-roberto-luomo-che.../

1er mars 1162 : Milan, la ville juste et indomptable, abdique et se livre à Federico la Barbarossa, empereur du Saint-Empire romain.

Tant qu'ils le pouvaient, les citoyens s'opposaient vigoureusement à lui ; mais la famine impitoyable, compagnon des pires maux, qui seule, sans blessure par coup, suffit à apprivoiser entre les murs des rochers de combat indomptables en guerre, a finalement imposé que les ennemis entrent dans les murs. Forcés par un manque de moyens de subsistance, ils ont gagné l'espoir que la ville ne serait pas détruite par l'empereur – cela a été promis à l'unanimité par les commandants de son armée – le 1er mars 1162, ils se sont livrés à Dieu et à l'empeteur. Mais il a rasé au sol le très haut mur de scotch ainsi que les maisons et pendant cinq années entières il a chargé impitoyablement les épaules des citoyens de très lourds tributs (... ). Ainsi Bonvesin della Riva, à un peu plus d'un siècle, a assisté à la chute de Milan dans le De Magnalibus Mediolani. Tout a commencé des années auparavant, lorsque le pouvoir et le prestige des Communautés italiennes ont commencé à s'imposer sur le point de basculement politique, militaire et économique, au point de prédominance avec l'impérial ; c'est le nouveau qui essayait de faire place à l'ancien, mais avec ce dernier se bat pour sa propre intégrité, du moins au nord de la péninsule italienne, la propagande la plus au sud de l'Empire et peut-être la partie la plus riche de celui-ci. Les tensions, celles italiennes, en particulier celles avec Milan, qui est à la tête de l'expression la plus fière et tenace des communes de l'Italie du nord, se sont accentuées lorsque Federico I Hohenstaufen est monté sur le trône du Saint empereur romain, Federique Ier de Hohenstrauffen, a déclaré Barbarossa. La première confrontation forte entre Barbarossa et Milan a eu lieu en août 1158, lorsque Milan a été assiégé pendant un mois, ce qui a mis la ville et ses capacités militaires à l'épreuve. Finalement j'ai dû céder aux impérialistes. Le 8 septembre 1158, dans un destin de cortège en pleurs, consoles et nobles, avec des épées ruinées et suspendues autour du cou, précédés par le clergé avec des croix saintes sur la tête, se rendent au camp de Barbarossa pour remettre la ville à sa volonté, à sa miséricorde et à son pardon. Témoin de la restauration du pouvoir impérial, et de la victoire personnelle de la Barbarossa, il a été hissé sur le sommet du clocher de Santa Maria Maggiore, la cathédrale de Milan, la bannière des teutoniques. La paix, qui était plus une trêve que ce que l'empereur attendait, était fragile et brève, au point que les hostilités reprenaient très bientôt. Les Milanais avec d'autres municipalités alliées se sont heurtés aux teutoniques de Siziano, Carcano et Crema, jusqu'à ce qu'ils atteignent le deuxième siège dramatique de leur propre ville, qui a commencé au printemps 1161. Après presque un an de siège et de souffrances indicibles, le 1er mars 1162, le capitole. De ses murs, sortent les huit consoles en charge, avec des épées suspendues autour du cou en signe de capitulation, accompagnées d'autant de chevaliers, ils se rendent à Lodi, où l'empereur les attendait. Devant lui, dépouillant de toute dignité et de toute puissance, ils embrassaient ses pieds en signe d'humilité et de soumission la plus grande. Le 4 mars, c'était au tour de trois cents chevaliers, qui se sont rendus à Lodi, ont remis les clés de la ville et de ses forteresses. Le 6 mars, il a touché mille enfants avec le "carriage", symbole de la fierté militaire des Milanais, accompagné de toutes les consoles qui avaient régné la ville au cours des trois années précédentes et d'innombrables cavaliers. Quel signe de soumission définitive aux pietas del Barbarossa, tous les drapeaux de la ville et deux trompettes ont été remis, symbole du gouvernement de Milan. La prosternation, la fierté et l'humiliation qu'elle a reçues et offertes par le gouvernement municipal ne l'ont pas épargnée de ce qui allait se passer dans les jours à venir, mais nous en parler

Les ailes à Lyre seraient celles du Cygne et de l'Aigle, d'après WiLieLmus qui S'ingénie au vol de pente aux mimes sur le linteau.
C'est que du fente-astique huit clos de haut en bas à Hélène deux trois face à face pour s'y mettre "i", c'est leste...

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ET... AC -CROCHE-TOI JEUNOT ! Tu entres ici dans les coulisses de la grande HIS toire et de la Connais-sance (7&5) qui von t t e m...